Dalles de sol, mosaïque, escaliers en marbre, un aménagement parfaitement étudié aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur, tel est l'aspect des cités ayant accueilli ces milliers de familles algéroises, issues de bidonvilles et d'habitats précaires. Ces familles ont certainement marqué d'une pierre blanche l'année 2010 les ayant reconcilié avec la dignité par l'octroi de ces logements haut de gamme. Ces cités sont dotées de toutes les commodités : espaces verts, aires de jeu... ce sont réllement des infrastructures de haut standing. Il faut pouvoir voir les nouvelles cités pour pouvoir comprendre le bonheur des occupants de « ces perles architecturales » . Ces cités font le bonheur de leurs nouveaux locataires, à l'exception de quelques âmes chagrines qui ne sont jamais satisfaites de leur sort. Les enfants sont certainement les plus heureux, inconsciemmement ils se rendent compte que leur avenir se trouvera inévitablement modifié - positivement - par leur nouvel environnement. Les mères de famille, quant à elles sont très fières de leurs nouveaux appartements : « Mon appartement est un vrai petit paradis, dans mes rêves les plus fous je ne pouvais imaginer avoir un jour le bonheur de vivre sous un pareil toit », nous dira une mère de famille relogée depuis quelques semaines à la cité des 1870-Logements à Birtouta. « Nous allons pouvoir savourer le mois sacré du Ramadhan, et nous pourrons enfin inviter nos proches et amis, avant nous avions honte de les recevoir dans trous à rats que nous venons de quitter », nous dit-elle. « Le site de ces nouvelles cités est merveilleux, plein de verdure et très spacieux, au grand bonheur des enfants autrefois entassés dans trois ou quatre mètres carrés », nous dit un père de famille issu du bidonville Doudou-Mokhtar dans la commune d' Hydra. Actuellement la préoccupapion première des autorités locales et de l'Office de promotion et de gestion immobilière reste l'élaboration d'un programme pour la gestion de ces sites afin de les préserver et les garderen l'état. Le directeur du logement de la wilaya d'Alger au cours des diverses opérations de relogements des habitants des bidonvilles et des chalets entamées en mars dernier, a insisté, à chaque fois, sur la nécessité de créer des comités de quartiers et des filiales OPGI dans chacune de ces nouvelles cités afin de coordonner les efforts avec leurs nouveaux occupants et les sensibiliser sur la nécessité de garder leur environnement sain et donc assurer une longue vie à ce cadre de vie agréable. Hormis certaines familles qui se plaignent de l'éxigüté de leurs nouveaux appartements, les nouveaux locataires de Tessala El-Merdja, Birtouta semblent totalement ravis. Cela d'autant que ces familles ont eu le bonheur de bénéficier de ces cités promotionnelles n'ayant rien à voir avec le logement social. D'ailleurs les familles relogées dans les cités de Tixeraïne ont vite déchanté en recevant leurs clefs : en plus de l'exigüté de leurs nouveaux appartements, ils se plaignent en outre de maints carences, mauvaises finitions, des installations des réseaux d'eau, de gaz et d'électricité défectueuses, ce qui a engendré le désarroi de la colère des citoyens qui croyaient être enfin sortis de la misère er des pénuries d'eau, alors qu'ils se retrouvent confrontés aux problèmes de l'absence de gaz de ville et même d'électricité. Dalles de sol, mosaïque, escaliers en marbre, un aménagement parfaitement étudié aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur, tel est l'aspect des cités ayant accueilli ces milliers de familles algéroises, issues de bidonvilles et d'habitats précaires. Ces familles ont certainement marqué d'une pierre blanche l'année 2010 les ayant reconcilié avec la dignité par l'octroi de ces logements haut de gamme. Ces cités sont dotées de toutes les commodités : espaces verts, aires de jeu... ce sont réllement des infrastructures de haut standing. Il faut pouvoir voir les nouvelles cités pour pouvoir comprendre le bonheur des occupants de « ces perles architecturales » . Ces cités font le bonheur de leurs nouveaux locataires, à l'exception de quelques âmes chagrines qui ne sont jamais satisfaites de leur sort. Les enfants sont certainement les plus heureux, inconsciemmement ils se rendent compte que leur avenir se trouvera inévitablement modifié - positivement - par leur nouvel environnement. Les mères de famille, quant à elles sont très fières de leurs nouveaux appartements : « Mon appartement est un vrai petit paradis, dans mes rêves les plus fous je ne pouvais imaginer avoir un jour le bonheur de vivre sous un pareil toit », nous dira une mère de famille relogée depuis quelques semaines à la cité des 1870-Logements à Birtouta. « Nous allons pouvoir savourer le mois sacré du Ramadhan, et nous pourrons enfin inviter nos proches et amis, avant nous avions honte de les recevoir dans trous à rats que nous venons de quitter », nous dit-elle. « Le site de ces nouvelles cités est merveilleux, plein de verdure et très spacieux, au grand bonheur des enfants autrefois entassés dans trois ou quatre mètres carrés », nous dit un père de famille issu du bidonville Doudou-Mokhtar dans la commune d' Hydra. Actuellement la préoccupapion première des autorités locales et de l'Office de promotion et de gestion immobilière reste l'élaboration d'un programme pour la gestion de ces sites afin de les préserver et les garderen l'état. Le directeur du logement de la wilaya d'Alger au cours des diverses opérations de relogements des habitants des bidonvilles et des chalets entamées en mars dernier, a insisté, à chaque fois, sur la nécessité de créer des comités de quartiers et des filiales OPGI dans chacune de ces nouvelles cités afin de coordonner les efforts avec leurs nouveaux occupants et les sensibiliser sur la nécessité de garder leur environnement sain et donc assurer une longue vie à ce cadre de vie agréable. Hormis certaines familles qui se plaignent de l'éxigüté de leurs nouveaux appartements, les nouveaux locataires de Tessala El-Merdja, Birtouta semblent totalement ravis. Cela d'autant que ces familles ont eu le bonheur de bénéficier de ces cités promotionnelles n'ayant rien à voir avec le logement social. D'ailleurs les familles relogées dans les cités de Tixeraïne ont vite déchanté en recevant leurs clefs : en plus de l'exigüté de leurs nouveaux appartements, ils se plaignent en outre de maints carences, mauvaises finitions, des installations des réseaux d'eau, de gaz et d'électricité défectueuses, ce qui a engendré le désarroi de la colère des citoyens qui croyaient être enfin sortis de la misère er des pénuries d'eau, alors qu'ils se retrouvent confrontés aux problèmes de l'absence de gaz de ville et même d'électricité.