Parmi les Ethiopiens qui ont voué leur vie à Allah, il était une femme, Oum Ayman qui fut la nourrice du Prophète (SAW). Elle vivait aux côtés du Prophète (SAW) et le suivit lorsqu'il épousa Khadija. Elle crut au message et fut parmi les premiers convertis. Son mari n'ayant pas accepté qu'elle embrasse l'Islam la quitta. Ainsi, elle dut élever seule son enfant, Ayman. Oum Ayman sut de son vivant qu'elle accèderait au Paradis car le Prophète (SAW) dit à son sujet "que celui qui désire épouser une femme du Paradis, épouse Oum Ayman". Elle fut surnommée la voyageuse, la pénitente, la pleureuse, l'abstinente. En effet, lors de son émigration vers Médine, elle prit le départ sans but précis et sans eau. Elle ressentit alors la soif, qui la tortura au plus haut point jusqu'à ce qu'un seau d'eau fraîche descendit du ciel pour la désaltérer. Elle le prit et bu, et attesta qu'après cet évènement, elle n'eut plus jamais soif. A la mort du Prophète (SAW), elle pleura amèrement celui qu'elle chérissait tant et qu'elle vit grandir et s'épanouir. Elle pleurait parce qu'elle avait compris que la révélation divine prenait fin et avec elle ce lien privilégié qu'entretenaient ces femmes et ces hommes avec le Très-Haut. Hijabandthecit Par Oum Bilal - Publié dans Femmes vertueuses Parmi les Ethiopiens qui ont voué leur vie à Allah, il était une femme, Oum Ayman qui fut la nourrice du Prophète (SAW). Elle vivait aux côtés du Prophète (SAW) et le suivit lorsqu'il épousa Khadija. Elle crut au message et fut parmi les premiers convertis. Son mari n'ayant pas accepté qu'elle embrasse l'Islam la quitta. Ainsi, elle dut élever seule son enfant, Ayman. Oum Ayman sut de son vivant qu'elle accèderait au Paradis car le Prophète (SAW) dit à son sujet "que celui qui désire épouser une femme du Paradis, épouse Oum Ayman". Elle fut surnommée la voyageuse, la pénitente, la pleureuse, l'abstinente. En effet, lors de son émigration vers Médine, elle prit le départ sans but précis et sans eau. Elle ressentit alors la soif, qui la tortura au plus haut point jusqu'à ce qu'un seau d'eau fraîche descendit du ciel pour la désaltérer. Elle le prit et bu, et attesta qu'après cet évènement, elle n'eut plus jamais soif. A la mort du Prophète (SAW), elle pleura amèrement celui qu'elle chérissait tant et qu'elle vit grandir et s'épanouir. Elle pleurait parce qu'elle avait compris que la révélation divine prenait fin et avec elle ce lien privilégié qu'entretenaient ces femmes et ces hommes avec le Très-Haut. Hijabandthecit Par Oum Bilal - Publié dans Femmes vertueuses