Bien qu'inaugurée récemment, la cité AADL dans la commune de Draria à Alger, est dépourvue de toute commodité à ce jour. Un réseau d'assainissement défectueux et des routes complètement détériorées ou plutôt des pistes impraticables, cette situation rend la vie des locataires de ladite cité de plus en plus pénible et ce face au silence assourdissant des autorités concernées sollicitées plusieurs fois par les habitants. Il est noter que la précarité du réseau d'assainissement fait que les eaux usées débordent des caves des immeubles et des conduites formant des lacs nauséabonds en plein quartier générant d'énormes nuisances et attirant des milliers d'insectes. Il faut dire aussi que les habitants, piétons et automobilistes, n'arrivent plus à accéder à leur quartiers à cause de l'état des routes pleines de cavités. Il est à signaler que la cité AADL de Draria, qui est parmi les première cités livrées à leurs bénéficiaires à travers la capitale, n'a pas contrairement à d'autres cités le moindre contact avec l'agence AADL, qui n'aurait jamais, selon les résidants de la cité, répondu à leurs sollicitations pour régler les problèmes qui devraient être pris en charge par l'agence». Ainsi les habitants disent avoir contacté, à maintes reprises, les responsables locaux qui eux rejettent la balle dans le camp de l'AADL. En attendant de déterminer les responsabilités les résidants continuent de pâtir de cette situation. Bien qu'inaugurée récemment, la cité AADL dans la commune de Draria à Alger, est dépourvue de toute commodité à ce jour. Un réseau d'assainissement défectueux et des routes complètement détériorées ou plutôt des pistes impraticables, cette situation rend la vie des locataires de ladite cité de plus en plus pénible et ce face au silence assourdissant des autorités concernées sollicitées plusieurs fois par les habitants. Il est noter que la précarité du réseau d'assainissement fait que les eaux usées débordent des caves des immeubles et des conduites formant des lacs nauséabonds en plein quartier générant d'énormes nuisances et attirant des milliers d'insectes. Il faut dire aussi que les habitants, piétons et automobilistes, n'arrivent plus à accéder à leur quartiers à cause de l'état des routes pleines de cavités. Il est à signaler que la cité AADL de Draria, qui est parmi les première cités livrées à leurs bénéficiaires à travers la capitale, n'a pas contrairement à d'autres cités le moindre contact avec l'agence AADL, qui n'aurait jamais, selon les résidants de la cité, répondu à leurs sollicitations pour régler les problèmes qui devraient être pris en charge par l'agence». Ainsi les habitants disent avoir contacté, à maintes reprises, les responsables locaux qui eux rejettent la balle dans le camp de l'AADL. En attendant de déterminer les responsabilités les résidants continuent de pâtir de cette situation.