La production nationale en matière d'énergie électrique a augmenté durant l'année 2009. Selon le bilan de la Commission de régulation de l'électricité et du gaz (Creg), la production a atteint en 2009, les 42,77 Téra Watt heure (1000 GWh ou 1 million de Mg), soit une hausse de 7%, par apport à l'année 2008. Or, cette augmentation ne règle toujours pas les coupures du courant, récurrentes particulièrement lors des saisons estivales, la ou la demande explose. Dans le même sillage, la même source a indiqué que le taux d'électrification national est de 98%, alors que pour le gaz de ville, il est de 44%. Pour autant, les problèmes de distribution ne seront pas encore réglés, selon les responsables de Sonelgaz. D'ailleurs, le P-dg du groupe, Nouredine Bouterfa, avait reconnu, lors d'un point de presse, animé en début de semaine, que les problèmes de distribution d'électricité qui affectent plusieurs wilayas du pays, persisteront si des contraintes ne sont pas levées, notamment, la difficulté d'accès au foncier pour réaliser de nouveaux postes de distribution. En plus, il y a les oppositions de tiers, avait-il ajouté, pour l'obtention des droits de passage des lignes électriques, retardant la concrétisation des projets de renforcement de la distribution d'électricité. En outre, et selon les responsables de la Sonelgaz, la consommation en énergie électrique de l'Algérie enregistre un bond, le 24 août dernier, exactement aux environs de 20h30, qui a atteint 7.718 MW contre 7.280 MW enregistré le 27 juillet 2009, soit une hausse de 6%. Globalement, les coupures d'électricité affectent chaque jour, près de 1.000 à 3.000 foyers, à travers le territoire national. Et pour faire face à ce problème, le groupe compte investir à l'orée 2020 quelque 465 mds DA pour installer une capacité de production de 375 MW en photovoltaïque et en éolien. Mais, le gros des investissements va porter sur l'augmentation de l'offre d'énergie électrique classique. Le groupe devrait ainsi investir 3,3 milliards (mds) de dollars (241 mds DA) en 2010, soit le même niveau d'investissements consentis en 2009 (240 mds DA). Le montage financier de ce programme d'investissement sera assuré à hauteur de 70% par les banques, à 20,7% par l'Etat et à 9% par les clients, souligne-t-on. Toutefois, le groupe devrait réalisé, d'ici la fin du programme quinquennal 2010-2014, de nouvelles centrales électriques d'une capacité globale de 4.000 MW, et un réseau de transport de plus de 14 mille km. Cependant, il est à noter que 62% de la production nationale a été assuré par la société algérienne de production d'électricité (SPE), filiale du groupe Sonelgaz. Les 38% restants sont partagés entre quatre sociétés, à savoir, Sharikat Kahraba Skikda (15%), Sharikat Kahraba Hadjret, En Nouss de Tipaza avec 10%, Sharikat Kahraba Berrouaghia (Médéa) avec 7% et Kahrama (Oran) avec 6%. Parallèlement, la capacité totale installée en 2009 a augmenté, précise-t-on, de 3.078 méga watts (MW) pour atteindre 11.324 MW, dont 10.834 MW sur le réseau interconnecté. La production nationale en matière d'énergie électrique a augmenté durant l'année 2009. Selon le bilan de la Commission de régulation de l'électricité et du gaz (Creg), la production a atteint en 2009, les 42,77 Téra Watt heure (1000 GWh ou 1 million de Mg), soit une hausse de 7%, par apport à l'année 2008. Or, cette augmentation ne règle toujours pas les coupures du courant, récurrentes particulièrement lors des saisons estivales, la ou la demande explose. Dans le même sillage, la même source a indiqué que le taux d'électrification national est de 98%, alors que pour le gaz de ville, il est de 44%. Pour autant, les problèmes de distribution ne seront pas encore réglés, selon les responsables de Sonelgaz. D'ailleurs, le P-dg du groupe, Nouredine Bouterfa, avait reconnu, lors d'un point de presse, animé en début de semaine, que les problèmes de distribution d'électricité qui affectent plusieurs wilayas du pays, persisteront si des contraintes ne sont pas levées, notamment, la difficulté d'accès au foncier pour réaliser de nouveaux postes de distribution. En plus, il y a les oppositions de tiers, avait-il ajouté, pour l'obtention des droits de passage des lignes électriques, retardant la concrétisation des projets de renforcement de la distribution d'électricité. En outre, et selon les responsables de la Sonelgaz, la consommation en énergie électrique de l'Algérie enregistre un bond, le 24 août dernier, exactement aux environs de 20h30, qui a atteint 7.718 MW contre 7.280 MW enregistré le 27 juillet 2009, soit une hausse de 6%. Globalement, les coupures d'électricité affectent chaque jour, près de 1.000 à 3.000 foyers, à travers le territoire national. Et pour faire face à ce problème, le groupe compte investir à l'orée 2020 quelque 465 mds DA pour installer une capacité de production de 375 MW en photovoltaïque et en éolien. Mais, le gros des investissements va porter sur l'augmentation de l'offre d'énergie électrique classique. Le groupe devrait ainsi investir 3,3 milliards (mds) de dollars (241 mds DA) en 2010, soit le même niveau d'investissements consentis en 2009 (240 mds DA). Le montage financier de ce programme d'investissement sera assuré à hauteur de 70% par les banques, à 20,7% par l'Etat et à 9% par les clients, souligne-t-on. Toutefois, le groupe devrait réalisé, d'ici la fin du programme quinquennal 2010-2014, de nouvelles centrales électriques d'une capacité globale de 4.000 MW, et un réseau de transport de plus de 14 mille km. Cependant, il est à noter que 62% de la production nationale a été assuré par la société algérienne de production d'électricité (SPE), filiale du groupe Sonelgaz. Les 38% restants sont partagés entre quatre sociétés, à savoir, Sharikat Kahraba Skikda (15%), Sharikat Kahraba Hadjret, En Nouss de Tipaza avec 10%, Sharikat Kahraba Berrouaghia (Médéa) avec 7% et Kahrama (Oran) avec 6%. Parallèlement, la capacité totale installée en 2009 a augmenté, précise-t-on, de 3.078 méga watts (MW) pour atteindre 11.324 MW, dont 10.834 MW sur le réseau interconnecté.