Trois projets de décrets exécutifs relatifs à la loi d'orientation sur l'éducation nationale ont été examinés par le Conseil des ministres. Le premier organise l'inspection générale de l'Education nationale, dont le champ de compétence est désormais focalisé sur le contrôle, l'inspection et l'évaluation de la gestion administrative de près de 600 mille enseignants et agents et de près de 25 mille établissements pédagogiques des trois paliers de l'enseignement. Le second projet de décret organise l'inspection générale pédagogique de l'éducation nationale. Cette structure nouvelle aura pour mission de suivre un effectif enseignant de plus de 350 mille cadres, ainsi qu'une population scolaire supérieure à 8 millions d'élèves, avec, en outre, un processus continu de réforme des programmes et des manuels. Enfin, le troisième projet de décret met à jour les dispositions du décret d'avril 1976 portant organisation et fonctionnement des établissements d'enseignement secondaire, et cela à la suite de la promulgation de la loi du 23 janvier 2008 sur l'orientation de l'éducation nationale. Les chercheurs universitaires mieux lotis Le Conseil des ministres a étudié deux projets de décrets exécutifs concernant la recherche scientifique. Le premier portant statut du doctorant, qui bénéficiera en plus d'une bourse mensuelle conséquente, d'autres formes de soutien et pourra concourir à temps partiel à l'enseignement supérieur contre rémunération. Le second décret fixe les conditions d'exercice des activités de recherche par l'enseignant chercheur hospitalo-universitaire ou l'enseignant chercheur, ainsi que les modalités de leur rétribution. Le décret précise que la rétribution de cette activité fluctuera mensuellement entre un maximum de 45 mille dinars pour le professeur et un minimum de 20 mille dinars pour le maître-assistant de classe B. Elle sera, en outre, majorée pour les responsables d'unités de recherches régulièrement nommés, avec des montants allant de 20 mille DA pour un directeur d'unité de recherche, à 10 mille DA pour un chef d'équipe de recherche. Trois projets de décrets exécutifs relatifs à la loi d'orientation sur l'éducation nationale ont été examinés par le Conseil des ministres. Le premier organise l'inspection générale de l'Education nationale, dont le champ de compétence est désormais focalisé sur le contrôle, l'inspection et l'évaluation de la gestion administrative de près de 600 mille enseignants et agents et de près de 25 mille établissements pédagogiques des trois paliers de l'enseignement. Le second projet de décret organise l'inspection générale pédagogique de l'éducation nationale. Cette structure nouvelle aura pour mission de suivre un effectif enseignant de plus de 350 mille cadres, ainsi qu'une population scolaire supérieure à 8 millions d'élèves, avec, en outre, un processus continu de réforme des programmes et des manuels. Enfin, le troisième projet de décret met à jour les dispositions du décret d'avril 1976 portant organisation et fonctionnement des établissements d'enseignement secondaire, et cela à la suite de la promulgation de la loi du 23 janvier 2008 sur l'orientation de l'éducation nationale. Les chercheurs universitaires mieux lotis Le Conseil des ministres a étudié deux projets de décrets exécutifs concernant la recherche scientifique. Le premier portant statut du doctorant, qui bénéficiera en plus d'une bourse mensuelle conséquente, d'autres formes de soutien et pourra concourir à temps partiel à l'enseignement supérieur contre rémunération. Le second décret fixe les conditions d'exercice des activités de recherche par l'enseignant chercheur hospitalo-universitaire ou l'enseignant chercheur, ainsi que les modalités de leur rétribution. Le décret précise que la rétribution de cette activité fluctuera mensuellement entre un maximum de 45 mille dinars pour le professeur et un minimum de 20 mille dinars pour le maître-assistant de classe B. Elle sera, en outre, majorée pour les responsables d'unités de recherches régulièrement nommés, avec des montants allant de 20 mille DA pour un directeur d'unité de recherche, à 10 mille DA pour un chef d'équipe de recherche.