Les énergies renouvelables et leurs applications étaient, mardi et mercredi, le thème d'un atelier international organisé à l'université Hadj-Lakhdar de Batna par le laboratoire de physique énergétique appliquée. Les énergies renouvelables et leurs applications étaient, mardi et mercredi, le thème d'un atelier international organisé à l'université Hadj-Lakhdar de Batna par le laboratoire de physique énergétique appliquée. Première rencontre du genre à se tenir dans cette université, cet atelier a regroupé des universitaires nationaux activant au sein de laboratoires dont les travaux sont consacrés à cette thématique, ainsi que des chercheurs venus de France, de Syrie, de Tunisie et du Maroc. Le directeur du laboratoire organisateur, a noté que cette rencontre permet notamment de rapprocher les compétences scientifiques nationales spécialisées dans les énergies renouvelables, de suivre les travaux menés dans les autres pays arabes et européens et, éventuellement, conclure des accords de partenariat entre les institutions scientifiques des pays participant. La rencontre visait également à favoriser le développement de projets répondant à des besoins nationaux, respectueux de l'environnement et présentant un intérêt social et économique pour le pays. Dans une intervention intitulée "l'hydrogène d'origine renouvelable pour une recherche utile au service du développement durable", le directeur du Centre de développement des énergies renouvelables a souligné l'importance de l'hydrogène en tant qu'énergie renouvelable pour un environnement propre et sain. Dans le cas de l'Algérie, l'intervenant a plaidé pour l'instauration durant la période 2010-2014 d'une formation de qualité pour les chercheurs activant dans ce domaine de manière à parvenir à créer un réseau spécialisé qui pourra permettre, dans une seconde étape (2015-2020), l'émergence d'un technopôle régional des énergies renouvelables. Le même universitaire a passé en revue les technologies utilisant l'hydrogène et les expériences menées par certains pays, affirmant qu'une politique ambitieuse relative aux énergies renouvelables ouvrira de vastes perspectives pour le pays. En plus des communications présentées en plénière, la rencontre a donné lieu, à son premier jour, à l'ouverture d'ateliers sur les énergies solaire, éolienne et d'hydrogène. La première unité de recherche sur les énergies renouvelables à l'université de Batna a été ouverte en 1983. Elle avait permis de réaliser des expériences sur l'électricité solaire dans des régions rurales d'Arris et Khenchela, grâce au soutien des autorités locales, a indiqué le Dr. Zeroual. Le laboratoire de physique énergétique appliquée a été créé en 2003 et a été à l'origine de la concrétisation de projets d'alimentation en électricité solaire au sein de l'université, parallèlement à la direction de 30 magisters, dont 26 soutenus, et six doctorats d'Etat. APS Première rencontre du genre à se tenir dans cette université, cet atelier a regroupé des universitaires nationaux activant au sein de laboratoires dont les travaux sont consacrés à cette thématique, ainsi que des chercheurs venus de France, de Syrie, de Tunisie et du Maroc. Le directeur du laboratoire organisateur, a noté que cette rencontre permet notamment de rapprocher les compétences scientifiques nationales spécialisées dans les énergies renouvelables, de suivre les travaux menés dans les autres pays arabes et européens et, éventuellement, conclure des accords de partenariat entre les institutions scientifiques des pays participant. La rencontre visait également à favoriser le développement de projets répondant à des besoins nationaux, respectueux de l'environnement et présentant un intérêt social et économique pour le pays. Dans une intervention intitulée "l'hydrogène d'origine renouvelable pour une recherche utile au service du développement durable", le directeur du Centre de développement des énergies renouvelables a souligné l'importance de l'hydrogène en tant qu'énergie renouvelable pour un environnement propre et sain. Dans le cas de l'Algérie, l'intervenant a plaidé pour l'instauration durant la période 2010-2014 d'une formation de qualité pour les chercheurs activant dans ce domaine de manière à parvenir à créer un réseau spécialisé qui pourra permettre, dans une seconde étape (2015-2020), l'émergence d'un technopôle régional des énergies renouvelables. Le même universitaire a passé en revue les technologies utilisant l'hydrogène et les expériences menées par certains pays, affirmant qu'une politique ambitieuse relative aux énergies renouvelables ouvrira de vastes perspectives pour le pays. En plus des communications présentées en plénière, la rencontre a donné lieu, à son premier jour, à l'ouverture d'ateliers sur les énergies solaire, éolienne et d'hydrogène. La première unité de recherche sur les énergies renouvelables à l'université de Batna a été ouverte en 1983. Elle avait permis de réaliser des expériences sur l'électricité solaire dans des régions rurales d'Arris et Khenchela, grâce au soutien des autorités locales, a indiqué le Dr. Zeroual. Le laboratoire de physique énergétique appliquée a été créé en 2003 et a été à l'origine de la concrétisation de projets d'alimentation en électricité solaire au sein de l'université, parallèlement à la direction de 30 magisters, dont 26 soutenus, et six doctorats d'Etat. APS