Avec les 81 entreprises spécialisées dans le pétrole ayant déjà soumis leurs candidatures à la société ALNAFT pour la recherche et l'exploration de pétrole dans les bassins d'Illizi, l'Algérie devient le premier pays au niveau africain à drainer des investissements massifs étrangers Avec les 81 entreprises spécialisées dans le pétrole ayant déjà soumis leurs candidatures à la société ALNAFT pour la recherche et l'exploration de pétrole dans les bassins d'Illizi, l'Algérie devient le premier pays au niveau africain à drainer des investissements massifs étrangers Les compagnies pétrolières étrangères continent de consentir des investissements à l'image du groupe italien Saipem et de la firme française Technip qui ont récemment décidé d'investir dans des projets d'investissement en Algérie en partenariat avec la compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach. En effet, les responsables de Saipem qui est détenu à plus de 40 % par le groupe pétrolier ENI, ont fait savoir récemment qu'il ont remporté de nombreux contrats en Algérie évalués à 500 millions d'euros, mais ce groupe s'est également engagé dans d'autres projets au Nigeria et au Congo. Saipem projette de mener à bien la gestion l'ingénierie et la construction d'une usine de séparation d'huile et gaz naturel, ainsi qu'un réseau de collecte comportant des collecteurs et des canalisations ayant une longueur de plus de 140 km. Ce projet est localisé dans les champs pétrolifères du complexe de Hassi Messaoud où ce groupe pétrolier a déjà signé un accord d'appels d'offre EPC lancé par Sonatrach pour la réalisation d'une ligne directe haute pression. S'agissant du groupe français Technip-France, il a conquis un autre contrat récemment dont l'objet essentiel consiste à porter à 35 % le taux visant à moderniser et augmenter les capacités et potentialités de raffinage du complexe d'Alger. Le projet prévoit notamment la mise en place de nouvelles unités de craquage de fuel et de désulfurisation de gasoil dont les travaux devront permettre l'augmentation des capacités de la raffinerie de 2,7 millions de tonnes à 3,65 millions de tonnes annuellement. L'enveloppe financière consacrée à ce projet est de l'ordre de près de 682 millions d'euros. Alors que la durée de réalisation de ces nouveaux équipements qui prévoit pas moins de 38 mois, le marché national et notamment les localités de l'intérieur du pays, seront mieux desservies et suffisamment approvisionnées en carburant, essence et gasoil. Sachant que des tensions surgissent notamment durant la période hivernale. Avec les 81 entreprises spécialisées dans le pétrole ayant déjà soumis leurs candidatures à la société ALNAFT pour la recherche et l'exploration de pétrole dans les bassins d'Illizi, l'Algérie devient le premier pays au niveau africain à drainer des investissements massifs étrangers dans le secteur des hydrocarbures. A. A. Les compagnies pétrolières étrangères continent de consentir des investissements à l'image du groupe italien Saipem et de la firme française Technip qui ont récemment décidé d'investir dans des projets d'investissement en Algérie en partenariat avec la compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach. En effet, les responsables de Saipem qui est détenu à plus de 40 % par le groupe pétrolier ENI, ont fait savoir récemment qu'il ont remporté de nombreux contrats en Algérie évalués à 500 millions d'euros, mais ce groupe s'est également engagé dans d'autres projets au Nigeria et au Congo. Saipem projette de mener à bien la gestion l'ingénierie et la construction d'une usine de séparation d'huile et gaz naturel, ainsi qu'un réseau de collecte comportant des collecteurs et des canalisations ayant une longueur de plus de 140 km. Ce projet est localisé dans les champs pétrolifères du complexe de Hassi Messaoud où ce groupe pétrolier a déjà signé un accord d'appels d'offre EPC lancé par Sonatrach pour la réalisation d'une ligne directe haute pression. S'agissant du groupe français Technip-France, il a conquis un autre contrat récemment dont l'objet essentiel consiste à porter à 35 % le taux visant à moderniser et augmenter les capacités et potentialités de raffinage du complexe d'Alger. Le projet prévoit notamment la mise en place de nouvelles unités de craquage de fuel et de désulfurisation de gasoil dont les travaux devront permettre l'augmentation des capacités de la raffinerie de 2,7 millions de tonnes à 3,65 millions de tonnes annuellement. L'enveloppe financière consacrée à ce projet est de l'ordre de près de 682 millions d'euros. Alors que la durée de réalisation de ces nouveaux équipements qui prévoit pas moins de 38 mois, le marché national et notamment les localités de l'intérieur du pays, seront mieux desservies et suffisamment approvisionnées en carburant, essence et gasoil. Sachant que des tensions surgissent notamment durant la période hivernale. Avec les 81 entreprises spécialisées dans le pétrole ayant déjà soumis leurs candidatures à la société ALNAFT pour la recherche et l'exploration de pétrole dans les bassins d'Illizi, l'Algérie devient le premier pays au niveau africain à drainer des investissements massifs étrangers dans le secteur des hydrocarbures. A. A.