Belkhadem a appelé ces instances à « assumer leurs responsabilités » à l'égard des violations israéliennes. Le SG a, en outre, relevé qu'au delà de sa dimension politique et de ses objectifs humanitaires, ce colloque symbolise « l'incapacité de la communauté internationale à résoudre ces problèmes » Belkhadem a appelé ces instances à « assumer leurs responsabilités » à l'égard des violations israéliennes. Le SG a, en outre, relevé qu'au delà de sa dimension politique et de ses objectifs humanitaires, ce colloque symbolise « l'incapacité de la communauté internationale à résoudre ces problèmes » L‘organisation d‘un colloque arabe international de soutien aux détenus palestiniens dans les prisons israéliennes « témoigne d‘une prise de conscience de la tragédie et des souffrances qu‘ils endurent », a estimé, hier à Alger, Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du Front de libération nationale. Intervenant à l‘ouverture des travaux du colloque, Belkhadem a indiqué que les conditions dans lesquelles vivent les Palestiniens sont « un exemple regrettable de la logique de la force ». Il a, dans ce sens, déploré « la contradiction » qui caractérise l‘attitude des instances internationales. Ces institutions, a-t-il ajouté, adoptent la politique de « deux poids deux mesures » en ce qui concerne la cause palestinienne. A cet effet, Belkhadem a appelé ces instances à « assumer leurs responsabilités » à l‘égard des violations israéliennes. Le SG a, en outre, relevé qu‘au delà de sa dimension politique et de ses objectifs humanitaires, ce colloque symbolise « l‘incapacité de la communauté internationale à résoudre ces problèmes ». Le même responsable a estimé qu‘« il est temps que la conscience universelle se réveille pour mesurer la gravité de la situation dramatique de ces détenus », relevant que « la majorité écrasante dans le monde éprouve de l‘humiliation à l‘égard des violations dont sont victimes les détenus palestiniens dans les prisons israéliennes ». « Il importe de défendre la légalité internationale, et de revendiquer l‘application effective de la charte des Nations unies sans exclusive », a-t-il dit à propos de la solidarité avec les détenus palestiniens. Par ailleurs, Belkhadem a souligné la nécessité de saisir l‘occasion de la présence à cette rencontre des « défenseurs des détenus en Palestine et en Irak ». D‘autre part, Belkhadem a réaffirmé l‘engagement de son parti à l‘instar des autres partis algériens de défendre les causes justes dans le monde en vue « de préserver la dignité humaine ». Il a, à cette occasion, appelé à « consacrer le droit du peuple palestinien à la liberté et à l‘indépendance ». L‘Algérie ne sera jamais un terrain de normalisation avec l‘ennemi sioniste L‘Algérie ne sera jamais un terrain de normalisation avec l‘ennemi sioniste. Un message lancé, hier, au Colloque arabe international de soutien aux détenus palestiniens dans les prisons de l‘occupation, tout en soulignant le rôle de la Révolution algérienne dans le soutien des mouvements de résistance dans le monde. « L‘Algérie ne sera pas un terrain de normalisation avec l‘ennemi sioniste », a noté Maan Bachour, président du Centre arabe international de communication, ajoutant que la révolution nationale est un exemple pour la lutte palestinienne contemporaine et a été un modèle pour les mouvements de libération dans le monde, notamment arabe. Cette rencontre se veut une occasion propice pour « lancer une campagne internationale de soutien aux détenus palestiniens dans les prisons israéliennes et parachever le projet de développement civilisationnel dans ses dimensions historiques et humanitaires », a-t-il ajouté. De son côté, Abdelaziz Sayed, président du comité de préparation du colloque arabe international de soutien aux détenus palestiniens, a estimé que « la libération de la Palestine ne sera possible qu‘avec la libération du dernier détenu palestinien ». D‘autre part, Abdelaziz Sayed a cité les cas des détenus palestiniens, le martyr Hassan Laoui resté des dizaines d‘années dans les geôles de l‘occupation, après que « l‘occupation britannique l‘eut remis à l‘occupation sioniste » et Marouane Barghouti, condamné plusieurs fois à perpétuité. L‘organisation d‘un colloque arabe international de soutien aux détenus palestiniens dans les prisons israéliennes « témoigne d‘une prise de conscience de la tragédie et des souffrances qu‘ils endurent », a estimé, hier à Alger, Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du Front de libération nationale. Intervenant à l‘ouverture des travaux du colloque, Belkhadem a indiqué que les conditions dans lesquelles vivent les Palestiniens sont « un exemple regrettable de la logique de la force ». Il a, dans ce sens, déploré « la contradiction » qui caractérise l‘attitude des instances internationales. Ces institutions, a-t-il ajouté, adoptent la politique de « deux poids deux mesures » en ce qui concerne la cause palestinienne. A cet effet, Belkhadem a appelé ces instances à « assumer leurs responsabilités » à l‘égard des violations israéliennes. Le SG a, en outre, relevé qu‘au delà de sa dimension politique et de ses objectifs humanitaires, ce colloque symbolise « l‘incapacité de la communauté internationale à résoudre ces problèmes ». Le même responsable a estimé qu‘« il est temps que la conscience universelle se réveille pour mesurer la gravité de la situation dramatique de ces détenus », relevant que « la majorité écrasante dans le monde éprouve de l‘humiliation à l‘égard des violations dont sont victimes les détenus palestiniens dans les prisons israéliennes ». « Il importe de défendre la légalité internationale, et de revendiquer l‘application effective de la charte des Nations unies sans exclusive », a-t-il dit à propos de la solidarité avec les détenus palestiniens. Par ailleurs, Belkhadem a souligné la nécessité de saisir l‘occasion de la présence à cette rencontre des « défenseurs des détenus en Palestine et en Irak ». D‘autre part, Belkhadem a réaffirmé l‘engagement de son parti à l‘instar des autres partis algériens de défendre les causes justes dans le monde en vue « de préserver la dignité humaine ». Il a, à cette occasion, appelé à « consacrer le droit du peuple palestinien à la liberté et à l‘indépendance ». L‘Algérie ne sera jamais un terrain de normalisation avec l‘ennemi sioniste L‘Algérie ne sera jamais un terrain de normalisation avec l‘ennemi sioniste. Un message lancé, hier, au Colloque arabe international de soutien aux détenus palestiniens dans les prisons de l‘occupation, tout en soulignant le rôle de la Révolution algérienne dans le soutien des mouvements de résistance dans le monde. « L‘Algérie ne sera pas un terrain de normalisation avec l‘ennemi sioniste », a noté Maan Bachour, président du Centre arabe international de communication, ajoutant que la révolution nationale est un exemple pour la lutte palestinienne contemporaine et a été un modèle pour les mouvements de libération dans le monde, notamment arabe. Cette rencontre se veut une occasion propice pour « lancer une campagne internationale de soutien aux détenus palestiniens dans les prisons israéliennes et parachever le projet de développement civilisationnel dans ses dimensions historiques et humanitaires », a-t-il ajouté. De son côté, Abdelaziz Sayed, président du comité de préparation du colloque arabe international de soutien aux détenus palestiniens, a estimé que « la libération de la Palestine ne sera possible qu‘avec la libération du dernier détenu palestinien ». D‘autre part, Abdelaziz Sayed a cité les cas des détenus palestiniens, le martyr Hassan Laoui resté des dizaines d‘années dans les geôles de l‘occupation, après que « l‘occupation britannique l‘eut remis à l‘occupation sioniste » et Marouane Barghouti, condamné plusieurs fois à perpétuité.