Des étudiants de plusieurs établissements ont manifesté, hier, en observant un sit-in devant le siège du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique pour protester contre la nouvelle classification de leur diplôme. Venus de plusieurs établissements, à savoir l'Ecole supérieure d'informatique (ESI), l'Ecole nationale des travaux publics (ENTP), l'Ecole polytechnique d'architecture et d'urbanisme (EPAU), ainsi que l'Ecole nationale supérieure d'agronomie (ENSA), ces étudiants se sont regroupés devant les portes du département de Rachid Harraoubia pour demander l'annulation de la nouvelle classification rendant leur diplôme d'ingénieur d'Etat équivalent au Master niveau 1 (M1). «Notre diplôme est obtenu après 5 ans d'études, alors que celui d'un Master niveau 1 après seulement 4 ans d'études au niveau d'autres établissements universitaires ayant opté pour le système LMD (Licence Master Doctorat) », a expliqué à l'APS Lyès, étudiant en 3e année à l'ENTP de Kouba. Pour les étudiants de cette école, d'ailleurs comme tous les manifestants, ils ne réclament autre chose que la classification de leur diplôme à hauteur de Master niveau 2 (M2), qui est obtenu au terme de 5 années d'études, soit l'équivalent de leur cursus universitaire. Contactée par l'APS pour donner plus de précisions sur cette affaire, une source du ministère a indiqué que le chef de cabinet du ministre était en réunion avec des représentants des étudiants pour essayer de trouver une issue à cette question. Il est toutefois utile de rappeler que le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia, a affirmé, lundi dernier, que l'équivalence des diplômes « n'est pas une opération mécanique ou administrative mais elle est tranchée au niveau des commission techniques composées d'enseignants spécialisés ». Pour ce qui est de ce rassemblement, Il convient de noter qu'il s'est déroulé dans le calme et aucun dérapage n'a été enregistré et que les agents de l'ordre public n'ont pas utilisé la force pour disperser les jeunes manifestants. C'est dire qu'au moment où le département de Harraoubia signe des conventions de partenariat avec des organes publics portant sur la création d'emploi et d'opportunité de travail pour les universitaires, ces derniers, outre les problèmes affrontés quotidiennement à l'image des cantines, de la bourse et même l'indisponibilité de vespasiennes dans certaines universités, auront à croiser les doigts pour qu'une suite favorable soit donnée à leurs revendications. Des étudiants de plusieurs établissements ont manifesté, hier, en observant un sit-in devant le siège du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique pour protester contre la nouvelle classification de leur diplôme. Venus de plusieurs établissements, à savoir l'Ecole supérieure d'informatique (ESI), l'Ecole nationale des travaux publics (ENTP), l'Ecole polytechnique d'architecture et d'urbanisme (EPAU), ainsi que l'Ecole nationale supérieure d'agronomie (ENSA), ces étudiants se sont regroupés devant les portes du département de Rachid Harraoubia pour demander l'annulation de la nouvelle classification rendant leur diplôme d'ingénieur d'Etat équivalent au Master niveau 1 (M1). «Notre diplôme est obtenu après 5 ans d'études, alors que celui d'un Master niveau 1 après seulement 4 ans d'études au niveau d'autres établissements universitaires ayant opté pour le système LMD (Licence Master Doctorat) », a expliqué à l'APS Lyès, étudiant en 3e année à l'ENTP de Kouba. Pour les étudiants de cette école, d'ailleurs comme tous les manifestants, ils ne réclament autre chose que la classification de leur diplôme à hauteur de Master niveau 2 (M2), qui est obtenu au terme de 5 années d'études, soit l'équivalent de leur cursus universitaire. Contactée par l'APS pour donner plus de précisions sur cette affaire, une source du ministère a indiqué que le chef de cabinet du ministre était en réunion avec des représentants des étudiants pour essayer de trouver une issue à cette question. Il est toutefois utile de rappeler que le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia, a affirmé, lundi dernier, que l'équivalence des diplômes « n'est pas une opération mécanique ou administrative mais elle est tranchée au niveau des commission techniques composées d'enseignants spécialisés ». Pour ce qui est de ce rassemblement, Il convient de noter qu'il s'est déroulé dans le calme et aucun dérapage n'a été enregistré et que les agents de l'ordre public n'ont pas utilisé la force pour disperser les jeunes manifestants. C'est dire qu'au moment où le département de Harraoubia signe des conventions de partenariat avec des organes publics portant sur la création d'emploi et d'opportunité de travail pour les universitaires, ces derniers, outre les problèmes affrontés quotidiennement à l'image des cantines, de la bourse et même l'indisponibilité de vespasiennes dans certaines universités, auront à croiser les doigts pour qu'une suite favorable soit donnée à leurs revendications.