La confiance des consommateurs a atteint le niveau le plus bas depuis 2004 en ce début de 2011 tandis que plus de 40% de britanniques pensent que l'économie se détériorera davantage au cours des six prochains mois, a indiqué vendredi à Londres le "Nationwide Consumer Confidence index" (NCCI) organisme qui mesure la confiance des consommateurs. La confiance des consommateurs s'est fortement détériorée en février dernier en raison de la hausse des prix qui a exercé une pression sur les revenus des personnes d'une part et d'autre part, du fait d'une reprise économique restée "atone", soulignent l'étude du (NCCI). La forte baisse de confiance des consommateurs a été également attribuée à une détérioration de l'optimisme de la population quant à l'avenir de l'économie et des perspectives de l'emploi. Selon le rapport, près de 42% des personnes estiment que l'économie britannique va encore se dégrader dans les prochains six mois et 63% pensent qu'il y aura moins d'emplois disponibles. Les personnes interrogées considèrent qu'en plus du chômage et de l'inflation, "les taxes appliquées depuis janvier et les cours élevés de l'essence assombrissent plus la situation". Selon Robert Gardner, chef économiste du (NCCI): "II y a plusieurs facteurs qui peuvent être retenus de cette étude: le marché du travail reste fragile, le taux de chômage encore élevé et des salaires en faible croissance". A son avis, la contraction de l'économie à la fin de 2010 a découragé les consommateurs. Récemment, l'Organisation de coopération et de Développement économique (OCDE) a prévu dans un rapport une croissance de 1,5% de l'économie britannique pour l'année 2011, révisant à la baisse sa projection de 1,7% faite en novembre dernier pour la même année. Par ailleurs, l'Office national des statistiques (ONS) a indiqué que le chômage avait atteint un niveau record "jamais enregistré" depuis 17 ans au Royaume-Uni, avec plus de 2,5 millions de personnes sans emplois. Le nombre de chômeurs a encore augmenté de 27.000 en trois mois pour atteindre 2,53 millions de chômeurs en janvier dernier. La confiance des consommateurs a atteint le niveau le plus bas depuis 2004 en ce début de 2011 tandis que plus de 40% de britanniques pensent que l'économie se détériorera davantage au cours des six prochains mois, a indiqué vendredi à Londres le "Nationwide Consumer Confidence index" (NCCI) organisme qui mesure la confiance des consommateurs. La confiance des consommateurs s'est fortement détériorée en février dernier en raison de la hausse des prix qui a exercé une pression sur les revenus des personnes d'une part et d'autre part, du fait d'une reprise économique restée "atone", soulignent l'étude du (NCCI). La forte baisse de confiance des consommateurs a été également attribuée à une détérioration de l'optimisme de la population quant à l'avenir de l'économie et des perspectives de l'emploi. Selon le rapport, près de 42% des personnes estiment que l'économie britannique va encore se dégrader dans les prochains six mois et 63% pensent qu'il y aura moins d'emplois disponibles. Les personnes interrogées considèrent qu'en plus du chômage et de l'inflation, "les taxes appliquées depuis janvier et les cours élevés de l'essence assombrissent plus la situation". Selon Robert Gardner, chef économiste du (NCCI): "II y a plusieurs facteurs qui peuvent être retenus de cette étude: le marché du travail reste fragile, le taux de chômage encore élevé et des salaires en faible croissance". A son avis, la contraction de l'économie à la fin de 2010 a découragé les consommateurs. Récemment, l'Organisation de coopération et de Développement économique (OCDE) a prévu dans un rapport une croissance de 1,5% de l'économie britannique pour l'année 2011, révisant à la baisse sa projection de 1,7% faite en novembre dernier pour la même année. Par ailleurs, l'Office national des statistiques (ONS) a indiqué que le chômage avait atteint un niveau record "jamais enregistré" depuis 17 ans au Royaume-Uni, avec plus de 2,5 millions de personnes sans emplois. Le nombre de chômeurs a encore augmenté de 27.000 en trois mois pour atteindre 2,53 millions de chômeurs en janvier dernier.