Le marché algérien du bâtiment et des travaux publics est "très prometteur", ont souligné plusieurs participants étrangers à la 10e édition du Salon international du bâtiment, de la construction et des travaux publics, organisée à Oran du 20 au 25 mars. Ces participants ont exprimé, dans une déclaration à l'APS, leur intérêt pour ce marché "dans une conjoncture favorable à l'investissement" marquée par des projets d'envergure tel que celui de la construction de 2 millions de logements prévus dans le cadre du programme quinquennal de développement 2010-2014. Un représentant d'une entreprise italienne de production et de commercialisation de céramique de haute gamme estime que le marché algérien "évolue d'une manière spectaculaire". "Ces programmes constituent des atouts majeurs et offrent une excellente occasion pour le développement de relations d'affaires entre notre société et d'autres algériennes", a-t-il estimé . Pour sa part, un chef d'entreprise turque installée en Algérie s'est déclaré "voir ses rêves d'investisseur se réaliser peu à peu" depuis qu'il a investi sur le marché algérien. "La croissance du marché algérien aujourd'hui n'est plus celle d'hier et maintenant, je dispose de tous les moyens pour bien travailler en Algérie", a-t-il affirmé. Il a, par ailleurs, expliqué la forte participation des entreprises turques au salon par les similitudes géologiques des deux pays, étant tous les deux situés dans des zones sismiques demandant des procédés et des matériaux de construction spéciaux. Pour les 100 exposants algériens, la forte participation des entreprises étrangères au salon "Batimac 2011" est considérée comme une opportunité à saisir et une "forte concurrence" qui s'installe de plus en plus et dont il faut "tenir compte". De l'avis d'une majorité d'entre eux, l'avantage de la présence étrangère dans ce secteur stratégique qu'est le BTPH réside dans les possibilités qu'elle offre pour la découverte des nouvelles technologies dans le secteur, telles qu'appliquées dans les pays plus avancés. "Notre seule arme face à la concurrence étrangère est la maîtrise des nouvelles techniques et des innovations qui apparaissent de par le monde", a résumé un gérant d'une entreprise privée de matériels de construction basée à Oran. Le marché algérien du bâtiment et des travaux publics est "très prometteur", ont souligné plusieurs participants étrangers à la 10e édition du Salon international du bâtiment, de la construction et des travaux publics, organisée à Oran du 20 au 25 mars. Ces participants ont exprimé, dans une déclaration à l'APS, leur intérêt pour ce marché "dans une conjoncture favorable à l'investissement" marquée par des projets d'envergure tel que celui de la construction de 2 millions de logements prévus dans le cadre du programme quinquennal de développement 2010-2014. Un représentant d'une entreprise italienne de production et de commercialisation de céramique de haute gamme estime que le marché algérien "évolue d'une manière spectaculaire". "Ces programmes constituent des atouts majeurs et offrent une excellente occasion pour le développement de relations d'affaires entre notre société et d'autres algériennes", a-t-il estimé . Pour sa part, un chef d'entreprise turque installée en Algérie s'est déclaré "voir ses rêves d'investisseur se réaliser peu à peu" depuis qu'il a investi sur le marché algérien. "La croissance du marché algérien aujourd'hui n'est plus celle d'hier et maintenant, je dispose de tous les moyens pour bien travailler en Algérie", a-t-il affirmé. Il a, par ailleurs, expliqué la forte participation des entreprises turques au salon par les similitudes géologiques des deux pays, étant tous les deux situés dans des zones sismiques demandant des procédés et des matériaux de construction spéciaux. Pour les 100 exposants algériens, la forte participation des entreprises étrangères au salon "Batimac 2011" est considérée comme une opportunité à saisir et une "forte concurrence" qui s'installe de plus en plus et dont il faut "tenir compte". De l'avis d'une majorité d'entre eux, l'avantage de la présence étrangère dans ce secteur stratégique qu'est le BTPH réside dans les possibilités qu'elle offre pour la découverte des nouvelles technologies dans le secteur, telles qu'appliquées dans les pays plus avancés. "Notre seule arme face à la concurrence étrangère est la maîtrise des nouvelles techniques et des innovations qui apparaissent de par le monde", a résumé un gérant d'une entreprise privée de matériels de construction basée à Oran.