La secrétaire générale du Parti des travailleurs a de nouveau soutenu le programme des reformes politiques initiées par le président de la République. Pour Louisa Hanoune, en effet, les dernières mesures annoncées lors de la réunion du Conseil des ministres constituent « un véritable programme ambitieux ». La secrétaire générale du Parti des travailleurs a de nouveau soutenu le programme des reformes politiques initiées par le président de la République. Pour Louisa Hanoune, en effet, les dernières mesures annoncées lors de la réunion du Conseil des ministres constituent « un véritable programme ambitieux ». Ce n'est pas d'ailleurs la première fois que la première responsable du Parti des travailleurs apporte son soutien au Président, même si elle ne manque jamais d'exprimer aussi certaines réserves. « Il y a un processus resistantiel contrarié et contradictoire qui s'est engagé en haut et ce pour se réapproprier la souveraineté nationale et se débarrasser des effets du pan d'ajustement structurel imposé à notre pays par le FMIU » a-t-elle souligné, hier, lors d'un meeting populaire organisé à l'occasion de la commémoration du 66e anniversaire des massacres du 8 Mai 1945. Louisa Hanoune, à l'évidence, faisait référence au programme lancé déjà depuis plusieurs années par le président de la République, dont certaines mesures ont été énoncées par la loi de finances complémentaire 2009, et que d'aucuns ont communément appelé le patriotisme économque. Louisa Hanoune, qui a salué certaines initiatives politiques lancées récemment dans le but de consacrer la démocratie, en a aussi critiqué d'autres, indiquant que « le clivage aujourd'hui n'est pas entre la droite ou la gauche, ce d'autant que c'est un clivage galvaudé mais la ligne de démarcation c'est la défense de la souveraineté nationale et l'intégrité du pays ». Par conséquent la première responsable du PT a martelé devant une assistance acquise à ses thèses que « son parti est prêt à passer un accord avec le président de la République et tous les partis politiques pour justement défendre cette option ». Ce d'autant que, selon ses propos, le contexte régional, marqué par l'offensive des forces impérialistes qui veulent disséquer les Etats, comme c'est le cas en Libye qui « n'est pas une révolution », en Syrie et au Yemen, est fort révélateur. Soutenant la position de l'Algérie dans le conflit libyen, elle a appelé les autorités à tirer les enseignements qui s'imposent pour mettre notre pays à l'abri de visées impérialistes. C'est dans ce sens aussi qu'elle a critiqué ceux qui font le jeu de certaines parties étrangères, dont l'atteinte à la souveraineté nationale et l'intégrité du pays est le seul objectif. « Si les appels à la révolution en Algérie à travers facebook et twitter n'ont eu aucun écho c'est grâce à l'intelligence du peuple algérien » a-t-elle en effet affirmé. « L'Algérie est dans un processus d'une révolution sociale (…) Les revendications sociales et politiques se recoupent et cela constitue pour nous un processus révolutionnaire » dira-t-elle en outre. Elle a annoncé la création de 400 comités populaires à travers l'ensemble du pays pour débattre des préoccupations essentielles des Algériens et a lancé un appel pressant pour la tenue d'une assemblée générale en vue de créer une association nationale. « Une commission qui ne va pas concurrencer la commission annoncée par le président de la République et qui a pour mission de mener les réformes politiques ». Elle a appelé à une assemblée constituante, à un débat profond sur la révision de la Constitution, tout en refusant la politique des quotas en faveur des femmes. Circonstance oblige, Mme Hanoune, a demandé à ce que la journée du 8 Mai soit une journée fériée. Ce n'est pas d'ailleurs la première fois que la première responsable du Parti des travailleurs apporte son soutien au Président, même si elle ne manque jamais d'exprimer aussi certaines réserves. « Il y a un processus resistantiel contrarié et contradictoire qui s'est engagé en haut et ce pour se réapproprier la souveraineté nationale et se débarrasser des effets du pan d'ajustement structurel imposé à notre pays par le FMIU » a-t-elle souligné, hier, lors d'un meeting populaire organisé à l'occasion de la commémoration du 66e anniversaire des massacres du 8 Mai 1945. Louisa Hanoune, à l'évidence, faisait référence au programme lancé déjà depuis plusieurs années par le président de la République, dont certaines mesures ont été énoncées par la loi de finances complémentaire 2009, et que d'aucuns ont communément appelé le patriotisme économque. Louisa Hanoune, qui a salué certaines initiatives politiques lancées récemment dans le but de consacrer la démocratie, en a aussi critiqué d'autres, indiquant que « le clivage aujourd'hui n'est pas entre la droite ou la gauche, ce d'autant que c'est un clivage galvaudé mais la ligne de démarcation c'est la défense de la souveraineté nationale et l'intégrité du pays ». Par conséquent la première responsable du PT a martelé devant une assistance acquise à ses thèses que « son parti est prêt à passer un accord avec le président de la République et tous les partis politiques pour justement défendre cette option ». Ce d'autant que, selon ses propos, le contexte régional, marqué par l'offensive des forces impérialistes qui veulent disséquer les Etats, comme c'est le cas en Libye qui « n'est pas une révolution », en Syrie et au Yemen, est fort révélateur. Soutenant la position de l'Algérie dans le conflit libyen, elle a appelé les autorités à tirer les enseignements qui s'imposent pour mettre notre pays à l'abri de visées impérialistes. C'est dans ce sens aussi qu'elle a critiqué ceux qui font le jeu de certaines parties étrangères, dont l'atteinte à la souveraineté nationale et l'intégrité du pays est le seul objectif. « Si les appels à la révolution en Algérie à travers facebook et twitter n'ont eu aucun écho c'est grâce à l'intelligence du peuple algérien » a-t-elle en effet affirmé. « L'Algérie est dans un processus d'une révolution sociale (…) Les revendications sociales et politiques se recoupent et cela constitue pour nous un processus révolutionnaire » dira-t-elle en outre. Elle a annoncé la création de 400 comités populaires à travers l'ensemble du pays pour débattre des préoccupations essentielles des Algériens et a lancé un appel pressant pour la tenue d'une assemblée générale en vue de créer une association nationale. « Une commission qui ne va pas concurrencer la commission annoncée par le président de la République et qui a pour mission de mener les réformes politiques ». Elle a appelé à une assemblée constituante, à un débat profond sur la révision de la Constitution, tout en refusant la politique des quotas en faveur des femmes. Circonstance oblige, Mme Hanoune, a demandé à ce que la journée du 8 Mai soit une journée fériée.