Dans son allocution donnée en présence d'un grand nombre de participants au salon et plusieurs experts nationaux, maghrébins et algériens, le ministre du Tourisme et de l'Artisanat a notamment mis l'accent « sur le développement du tourisme environnemental qu'il convient de promouvoir et réhabiliter, car l'Algérie recèle d'importantes potentialités touristiques dans ce domaine. Notre pays est riche en biodiversité et en capacités de tourisme environnemental. Il faut absolument développer un projet étudié dans ce sens, parce qu'on a un patrimoine important sur lequel il convient de se concentrer ». Outre le tourisme environnemental, l'Algérie dispose d'un riche patrimoine de plus de 400 stations thermales à travers le territoire national, dont le ministre exhorte les différents responsables à exploiter avec efficience les sites touristiques et contribuer au développement rural touristique en leur offrant les moyens de drainer les touristes. Pour sa part, Jean-Pierre Lozato Giotard, expert français, a présenté un exposé circonstancié relatif à l'écotourisme soulignant qu'« il faut à tout prix renforcer une étude de marché et un plan territorial en spécifiant le type de tourisme, la réalité du marketing et les retombées économiques et sociales. Il s'agit également de déterminer une charte de l'écotourisme et en définissant les objectifs socioéconomiques en prenant en considération les paramètres de la formation et de l'environnement ». Aussi, il a mis en relief le plan qualité et la collaboration entre les pouvoirs publics et les différentes autorités locales ainsi que l'apport technique et professionnel d'une équipe d'ingénierie, car les opérateurs économiques et les tours opérateurs ne peuvent à eux seuls mener à bien une stratégie touristique cohérente. « Il faut une responsabilité collective agissante réunissant le gouvernement, les collectivités locales et les populations autochtones tout en favorisant la formation dans le secteur touristique. J'ai proposé aux autorités algériennes au temps de Chadli la création d'un institut arabe de hautes études touristiques à Alger, car l'inconvénient c'est que l'Algérie n'a pas commencé à développer son tourisme » a-t-il ajouté. Dans son allocution donnée en présence d'un grand nombre de participants au salon et plusieurs experts nationaux, maghrébins et algériens, le ministre du Tourisme et de l'Artisanat a notamment mis l'accent « sur le développement du tourisme environnemental qu'il convient de promouvoir et réhabiliter, car l'Algérie recèle d'importantes potentialités touristiques dans ce domaine. Notre pays est riche en biodiversité et en capacités de tourisme environnemental. Il faut absolument développer un projet étudié dans ce sens, parce qu'on a un patrimoine important sur lequel il convient de se concentrer ». Outre le tourisme environnemental, l'Algérie dispose d'un riche patrimoine de plus de 400 stations thermales à travers le territoire national, dont le ministre exhorte les différents responsables à exploiter avec efficience les sites touristiques et contribuer au développement rural touristique en leur offrant les moyens de drainer les touristes. Pour sa part, Jean-Pierre Lozato Giotard, expert français, a présenté un exposé circonstancié relatif à l'écotourisme soulignant qu'« il faut à tout prix renforcer une étude de marché et un plan territorial en spécifiant le type de tourisme, la réalité du marketing et les retombées économiques et sociales. Il s'agit également de déterminer une charte de l'écotourisme et en définissant les objectifs socioéconomiques en prenant en considération les paramètres de la formation et de l'environnement ». Aussi, il a mis en relief le plan qualité et la collaboration entre les pouvoirs publics et les différentes autorités locales ainsi que l'apport technique et professionnel d'une équipe d'ingénierie, car les opérateurs économiques et les tours opérateurs ne peuvent à eux seuls mener à bien une stratégie touristique cohérente. « Il faut une responsabilité collective agissante réunissant le gouvernement, les collectivités locales et les populations autochtones tout en favorisant la formation dans le secteur touristique. J'ai proposé aux autorités algériennes au temps de Chadli la création d'un institut arabe de hautes études touristiques à Alger, car l'inconvénient c'est que l'Algérie n'a pas commencé à développer son tourisme » a-t-il ajouté.