Le Front de libération national (FLN) n'arrive toujours pas à trancher sur la question de la limitation du mandat présidentiel à la faveur de la prochaine révision de la Constitution. Le Front de libération national (FLN) n'arrive toujours pas à trancher sur la question de la limitation du mandat présidentiel à la faveur de la prochaine révision de la Constitution. A l'issue des travaux de la 4e session de son comité central, hier à Alger, les membres de cette structure n'ont pu départager les votants concernant cette question cruciale, entretenant ainsi le suspense quant à la position du vieux parti par rapport à la prochaine élection présidentielle de 2014. En effet, le rapport portant sur la révision de la Constitution, présenté devant les membres du CC, contenait deux propositions : l'une préconise un mandat de cinq ans renouvelable une fois, l'autre un mandat de cinq ans ouvert. Or, le nombre de votants favorables à l'une ou l'autre option étant égal, le Comité central du FLN, structure souveraine entre deux congrès, a décidé de renvoyer la question à la prochaine réunion extraordinaire, qui devrait avoir lieu en automne prochain, selon Kassa Aissi, chargé de la communication au sein du parti. Une chose est cependant sûre, si le FLN peine à statuer sur cette question cruciale de limitation du mandat présidentiel, cela renseigne bien sur la difficulté à désigner le candidat du parti pour la prochaine présidentielle. Le FLN, qui a cautionné pleinement les trois mandats précédents d'Abdelaziz Bouteflika, ne veut vraisemblablement pas anticiper, car tout dépendra effectivement de la mouture finale de la révision constitutionnelle qui fait actuellement l'objet d'un vaste débat mené par l'Instance de consultations sur les réformes politiques. D'un autre côté, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, un présidentiable potentiel, serait bien le plus en vue pour représenter le parti à la présidentielle de 2014, à moins que le président de la République ne décide de briguer un autre mandat, en conformité avec les nouvelles dispositions d'une Constitution remaniée. En renvoyant à l'automne la décision sur la position du parti quant à la limitation des mandats présidentiels, le FLN veut trancher définitivement mais prudemment, car en septembre prochain, une ébauche de la mouture de la prochaine Constitution sera déjà connue. Par ailleurs, le Comité central du parti a retenu la proposition de conférer au président de la République la prérogative de désigner un vice-président, tout en maintenant l'appellation de Premier ministre. Il a adopté, en outre, les rapports relatifs aux lois sur les élections, l'information et les associations (devant être présentés à l'Instance de consultations sur les réformes politiques) ainsi que le projet de résolution de politique générale, et ceux traitant des aspects financier et organique. La délégation du FLN devra être reçue jeudi prochain par l'Instance de consultations sur les réformes politiques. A l'issue des travaux de la 4e session de son comité central, hier à Alger, les membres de cette structure n'ont pu départager les votants concernant cette question cruciale, entretenant ainsi le suspense quant à la position du vieux parti par rapport à la prochaine élection présidentielle de 2014. En effet, le rapport portant sur la révision de la Constitution, présenté devant les membres du CC, contenait deux propositions : l'une préconise un mandat de cinq ans renouvelable une fois, l'autre un mandat de cinq ans ouvert. Or, le nombre de votants favorables à l'une ou l'autre option étant égal, le Comité central du FLN, structure souveraine entre deux congrès, a décidé de renvoyer la question à la prochaine réunion extraordinaire, qui devrait avoir lieu en automne prochain, selon Kassa Aissi, chargé de la communication au sein du parti. Une chose est cependant sûre, si le FLN peine à statuer sur cette question cruciale de limitation du mandat présidentiel, cela renseigne bien sur la difficulté à désigner le candidat du parti pour la prochaine présidentielle. Le FLN, qui a cautionné pleinement les trois mandats précédents d'Abdelaziz Bouteflika, ne veut vraisemblablement pas anticiper, car tout dépendra effectivement de la mouture finale de la révision constitutionnelle qui fait actuellement l'objet d'un vaste débat mené par l'Instance de consultations sur les réformes politiques. D'un autre côté, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, un présidentiable potentiel, serait bien le plus en vue pour représenter le parti à la présidentielle de 2014, à moins que le président de la République ne décide de briguer un autre mandat, en conformité avec les nouvelles dispositions d'une Constitution remaniée. En renvoyant à l'automne la décision sur la position du parti quant à la limitation des mandats présidentiels, le FLN veut trancher définitivement mais prudemment, car en septembre prochain, une ébauche de la mouture de la prochaine Constitution sera déjà connue. Par ailleurs, le Comité central du parti a retenu la proposition de conférer au président de la République la prérogative de désigner un vice-président, tout en maintenant l'appellation de Premier ministre. Il a adopté, en outre, les rapports relatifs aux lois sur les élections, l'information et les associations (devant être présentés à l'Instance de consultations sur les réformes politiques) ainsi que le projet de résolution de politique générale, et ceux traitant des aspects financier et organique. La délégation du FLN devra être reçue jeudi prochain par l'Instance de consultations sur les réformes politiques.