La dotation en eau quotidienne par habitant «est en constante amélioration puisqu'elle a culminé cette année à un ratio moyen de 168 litres/jour par habitant», des propos tenus récemment sur les ondes de la Radio nationale par le ministre des Ressources en eau, M. Abdelmalek Sellal. La dotation en eau quotidienne par habitant «est en constante amélioration puisqu'elle a culminé cette année à un ratio moyen de 168 litres/jour par habitant», des propos tenus récemment sur les ondes de la Radio nationale par le ministre des Ressources en eau, M. Abdelmalek Sellal. C'est dire que l'alimentation en eau potable s'est considérablement améliorée en Algérie depuis ces dix dernières années, avec à la clé une consommation quotidienne et par habitant de presque 170 litres en moyenne, alors que la «qualité du service» est devenue l'autre priorité des responsables du secteur. La fréquence de distribution moyenne au quotidien est passée à 70%. La consommation moyenne d'eau potable par individu atteindra 185 litres/jour à l'horizon 2025 contre 170 litres actuellement et 90 litres dans les années 1990, avait déclaré le ministre. Avec une politique d'investissements «tous azimuts» notamment dans le secteur de l'hydraulique menée par les pouvoirs publics, l'Algérie disposera de 96 barrages à l'horizon 2016 qui totaliseront une capacité globale de stockage de 9 milliards de mètres cubes (m3) d'eau. Actuellement, 65 barrages sont en exploitation en Algérie pour une capacité nationale de quelque 7 milliards de m3 contre 44 barrages (3,3 milliards m3) en 1999. Ce nombre sera ainsi porté à 96 barrages à la faveur de la construction d'une trentaine d'autres infrastructures de différentes tailles, dont certains barrages ont été déjà lancés et leur taux de réalisation très avancé, selon des responsables du secteur. En fait, l'Algérie a largement dépassé les critères établis par la Banque mondiale en matière d'accès à l'eau potable avec un taux national de raccordement de plus de 93%. Enfin, le mégaprojet d'AEP de la ville de Tamanrasset à partir de Aïn Salah, sur plus de 800 km dans le Hoggar, est un repère incontournable quant à la volonté des pouvoirs publics de solutionner durablement la question de l'eau en Algérie. C'est dire que l'alimentation en eau potable s'est considérablement améliorée en Algérie depuis ces dix dernières années, avec à la clé une consommation quotidienne et par habitant de presque 170 litres en moyenne, alors que la «qualité du service» est devenue l'autre priorité des responsables du secteur. La fréquence de distribution moyenne au quotidien est passée à 70%. La consommation moyenne d'eau potable par individu atteindra 185 litres/jour à l'horizon 2025 contre 170 litres actuellement et 90 litres dans les années 1990, avait déclaré le ministre. Avec une politique d'investissements «tous azimuts» notamment dans le secteur de l'hydraulique menée par les pouvoirs publics, l'Algérie disposera de 96 barrages à l'horizon 2016 qui totaliseront une capacité globale de stockage de 9 milliards de mètres cubes (m3) d'eau. Actuellement, 65 barrages sont en exploitation en Algérie pour une capacité nationale de quelque 7 milliards de m3 contre 44 barrages (3,3 milliards m3) en 1999. Ce nombre sera ainsi porté à 96 barrages à la faveur de la construction d'une trentaine d'autres infrastructures de différentes tailles, dont certains barrages ont été déjà lancés et leur taux de réalisation très avancé, selon des responsables du secteur. En fait, l'Algérie a largement dépassé les critères établis par la Banque mondiale en matière d'accès à l'eau potable avec un taux national de raccordement de plus de 93%. Enfin, le mégaprojet d'AEP de la ville de Tamanrasset à partir de Aïn Salah, sur plus de 800 km dans le Hoggar, est un repère incontournable quant à la volonté des pouvoirs publics de solutionner durablement la question de l'eau en Algérie.