L'euro poursuivait sa nette progression lundi, évoluant au-dessus de 1,43 dollar, tandis que le yen et le franc suisse se repliait, dans un marché quelque peu rassuré par l'accalmie des places boursières mais toujours suspendu à la crise des dettes en zone euro. L'euro montait face au billet vert à 1,4310 dollar contre 1,4249 vendredi soir. La devise européenne progressait aussi face à la monnaie nippone, à 109,93 yens contre 109,30 vendredi soir. Le dollar regagnait du terrain face au yen, considéré comme une valeur refuge, à 76,88 yens contre 76,70 vendredi soir, et tentait difficilement de s'éloigner de son plus bas niveau depuis la Seconde Guerre mondiale (76,25 yens) atteint le 17 mars. Les marchés attendent notamment la rencontre entre le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel mardi : un sommet de crise destiné à enrayer la spirale de défiance qui frappe la zone euro. "Cette réunion sera cruciale pour le reste de la semaine. Il est peu probable qu'elle débouche sur des arrangements décisifs, mais elle pourrait au moins mettre en avant leur volonté politique d'agir de concert pour sauver l'euro", indiquaient des analystes. La monnaie unique européenne profitait par ailleurs de l'élan des places boursières, qui poursuivaient lundi leur net rebond entamé jeudi et vendredi. Face à ce regain de confiance des opérateurs, les valeurs refuge comme le yen et le franc suisse reculaient sensiblement au profit de devises à plus haut rendement. Les incertitudes persistantes sur la contagion et l'ampleur de la crise des dettes souveraines en zone euro devraient cependant continuer d'entretenir la nervosité des intervenants après deux semaines marquées par une violente volatilité. Le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick, a estimé samedi que l'économie mondiale était entrée dans une "phase nouvelle et plus dangereuse" et que les pays de la zone euro allaient devoir réagir rapidement. La devise helvétique continuait de décrocher face à l'euro après l'intervention de la banque centrale helvétique, à 1,1367 franc suisse, comme face au dollar à 0,7945 franc. La livre britannique accélérait son recul face à l'euro, à 87,85 pence, mais montait face au billet vert à 1,6291 dollar. L'or cotait à 1.742,55 dollars, contre 1.736 dollar vendredi au fixing du soir, loin du sommet historique atteint jeudi à 1.814,95 dollars L'euro poursuivait sa nette progression lundi, évoluant au-dessus de 1,43 dollar, tandis que le yen et le franc suisse se repliait, dans un marché quelque peu rassuré par l'accalmie des places boursières mais toujours suspendu à la crise des dettes en zone euro. L'euro montait face au billet vert à 1,4310 dollar contre 1,4249 vendredi soir. La devise européenne progressait aussi face à la monnaie nippone, à 109,93 yens contre 109,30 vendredi soir. Le dollar regagnait du terrain face au yen, considéré comme une valeur refuge, à 76,88 yens contre 76,70 vendredi soir, et tentait difficilement de s'éloigner de son plus bas niveau depuis la Seconde Guerre mondiale (76,25 yens) atteint le 17 mars. Les marchés attendent notamment la rencontre entre le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel mardi : un sommet de crise destiné à enrayer la spirale de défiance qui frappe la zone euro. "Cette réunion sera cruciale pour le reste de la semaine. Il est peu probable qu'elle débouche sur des arrangements décisifs, mais elle pourrait au moins mettre en avant leur volonté politique d'agir de concert pour sauver l'euro", indiquaient des analystes. La monnaie unique européenne profitait par ailleurs de l'élan des places boursières, qui poursuivaient lundi leur net rebond entamé jeudi et vendredi. Face à ce regain de confiance des opérateurs, les valeurs refuge comme le yen et le franc suisse reculaient sensiblement au profit de devises à plus haut rendement. Les incertitudes persistantes sur la contagion et l'ampleur de la crise des dettes souveraines en zone euro devraient cependant continuer d'entretenir la nervosité des intervenants après deux semaines marquées par une violente volatilité. Le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick, a estimé samedi que l'économie mondiale était entrée dans une "phase nouvelle et plus dangereuse" et que les pays de la zone euro allaient devoir réagir rapidement. La devise helvétique continuait de décrocher face à l'euro après l'intervention de la banque centrale helvétique, à 1,1367 franc suisse, comme face au dollar à 0,7945 franc. La livre britannique accélérait son recul face à l'euro, à 87,85 pence, mais montait face au billet vert à 1,6291 dollar. L'or cotait à 1.742,55 dollars, contre 1.736 dollar vendredi au fixing du soir, loin du sommet historique atteint jeudi à 1.814,95 dollars