Comme dans la plupart des villes en Algérie, la mise en œuvre du riche programme culturel adopté pour les veillées de Ramadhan dans la wilaya de Mila, a dévoilé une «insuffisance criante» en salles de spectacle et d'espaces culturels dans les communes, selon des responsables de la culture. C'est au cours des soirées animées par des grands noms de la chanson que le besoin en salles s'est fait «cruellement ressentir», a noté, notamment, le directeur de la maison de la culture Moubarak-El Mili, qui indique que durant le mois sacré, 60 galas ont été malgré tout organisés dans les six plus grandes villes de la wilaya. La salle de spectacle de la maison de la culture du chef-lieu de wilaya a été sollicitée «sans la moindre interruption» pour l'animation des soirées de Ramadhan, selon le même responsable qui se félicite de la «fidélisation d'un public attentif», non seulement à Mila, mais également à Ferdjioua, Tadjenanet et Chelghoum-Laïd. Des artistes confirmés ont contribué au succès de cette programmation, notamment Mohamed Lamari, Mohamed Laâraf, Bekakchi El-Kheir, Hamdi Benani, Salim Fergani et autres. Hormis les 800 places qu'offre la maison de la culture de Mila, et autant sur l'esplanade adjacente, les autres villes de la wilaya ne disposent pas de salles pouvant satisfaire la demande, lors de spectacles populaires tels que ceux organisés cette année. L'important centre urbain de Chelghoum-Laïd, avec ses 80.000 habitants, situé sur l'axe Alger-Constantine, avec son intense trafic (voie ferrée, autoroute et route nationale n°5), ne dispose pas de salle digne de ce nom. L'on y attend à ce jour l'achèvement d'un nouveau centre culturel pouvant accueillir 400 spectateurs. Dans cette ville, la seconde de la wilaya, les organisateurs de spectacles ont éprouvé d'énormes difficultés à répondre aux demandes des veilleurs, particulièrement nombreux chaque soir, a-t-on indiqué. Comme dans la plupart des villes en Algérie, la mise en œuvre du riche programme culturel adopté pour les veillées de Ramadhan dans la wilaya de Mila, a dévoilé une «insuffisance criante» en salles de spectacle et d'espaces culturels dans les communes, selon des responsables de la culture. C'est au cours des soirées animées par des grands noms de la chanson que le besoin en salles s'est fait «cruellement ressentir», a noté, notamment, le directeur de la maison de la culture Moubarak-El Mili, qui indique que durant le mois sacré, 60 galas ont été malgré tout organisés dans les six plus grandes villes de la wilaya. La salle de spectacle de la maison de la culture du chef-lieu de wilaya a été sollicitée «sans la moindre interruption» pour l'animation des soirées de Ramadhan, selon le même responsable qui se félicite de la «fidélisation d'un public attentif», non seulement à Mila, mais également à Ferdjioua, Tadjenanet et Chelghoum-Laïd. Des artistes confirmés ont contribué au succès de cette programmation, notamment Mohamed Lamari, Mohamed Laâraf, Bekakchi El-Kheir, Hamdi Benani, Salim Fergani et autres. Hormis les 800 places qu'offre la maison de la culture de Mila, et autant sur l'esplanade adjacente, les autres villes de la wilaya ne disposent pas de salles pouvant satisfaire la demande, lors de spectacles populaires tels que ceux organisés cette année. L'important centre urbain de Chelghoum-Laïd, avec ses 80.000 habitants, situé sur l'axe Alger-Constantine, avec son intense trafic (voie ferrée, autoroute et route nationale n°5), ne dispose pas de salle digne de ce nom. L'on y attend à ce jour l'achèvement d'un nouveau centre culturel pouvant accueillir 400 spectateurs. Dans cette ville, la seconde de la wilaya, les organisateurs de spectacles ont éprouvé d'énormes difficultés à répondre aux demandes des veilleurs, particulièrement nombreux chaque soir, a-t-on indiqué.