Les combats font rage à Zinjibar, dans le sud du pays, oùl 'armée yéménite tente de reprendre le contrôle de la ville. Les combats font rage à Zinjibar, dans le sud du pays, oùl 'armée yéménite tente de reprendre le contrôle de la ville. Quatre soldats ont été tué set quatre autres blessés dans des affrontements avec des combattants présumés d'Al-Qaida. Samedi, au moins 25 soldats ont été tués par des tirs amis lors d'autres combats. Certains ont péri lorsque l'aviation a pris pour cible une école dans le quartier de Bajdar qu'elle croyait aux mains de membres d'Al-Qaida. La télévision d'Etat a démenti cette information. Les autres soldats ont été tués dans une contre-attaque contre l'école qui était tenue par les soldats participant à une offensive destinée à libérer la ville. Six soldats ont été tués dans des premiers combats samedi matin à Zinjibar. Par ailleurs, d'après des témoins, une fillette de 7 ans a été tuée par l'explosion d'une roquette près d'une école dans le quartier d'Akama, dans le centre de Sanaa. L'origine de la bombe n'était pas connue mais des affrontements avaient éclaté dans le nord de la capitale entre des troupes de la 1re division blindée, dirigée par le général dissident Ali Mohsen Al-Ahmar, et des forces de la sécurité centrale, loyale au président Ali Abdallah Saleh. Dans un avion qui le conduisait en Israël, le secrétaire américain à la défense Leon Panetta a assuré que les Etats-Unis comptaient sur le Yémen pour lutter contre le terrorisme. Quelques jours après la mort de Anwar Al-Aulaqi (imam radical américano-yéménite et l'un des responsables d'Al-Qaida dans la péninsule arabique [AQPA], tué lors d'un raid américain), l'ancien patron de la CIA a déclaré : "Nous avons développé pendant des années une relation qui nous a permis de travailler ensemble, d'échanger des renseignements et de nous concentrer sur certaines cibles communes." Il a ajouté : "Cela va continuer, quel que soit le sort final du président Saleh." Citant des sources diplomatiques, Reuters assure, par ailleurs, que les pays occidentaux envisagent de présenter une résolution au Conseil de sécurité de l'ONU afin d'accentuer la pression sur le président Ali Abdallah Saleh, au pouvoir depuis trente-trois ans et qui refuse de démissionner Quatre soldats ont été tué set quatre autres blessés dans des affrontements avec des combattants présumés d'Al-Qaida. Samedi, au moins 25 soldats ont été tués par des tirs amis lors d'autres combats. Certains ont péri lorsque l'aviation a pris pour cible une école dans le quartier de Bajdar qu'elle croyait aux mains de membres d'Al-Qaida. La télévision d'Etat a démenti cette information. Les autres soldats ont été tués dans une contre-attaque contre l'école qui était tenue par les soldats participant à une offensive destinée à libérer la ville. Six soldats ont été tués dans des premiers combats samedi matin à Zinjibar. Par ailleurs, d'après des témoins, une fillette de 7 ans a été tuée par l'explosion d'une roquette près d'une école dans le quartier d'Akama, dans le centre de Sanaa. L'origine de la bombe n'était pas connue mais des affrontements avaient éclaté dans le nord de la capitale entre des troupes de la 1re division blindée, dirigée par le général dissident Ali Mohsen Al-Ahmar, et des forces de la sécurité centrale, loyale au président Ali Abdallah Saleh. Dans un avion qui le conduisait en Israël, le secrétaire américain à la défense Leon Panetta a assuré que les Etats-Unis comptaient sur le Yémen pour lutter contre le terrorisme. Quelques jours après la mort de Anwar Al-Aulaqi (imam radical américano-yéménite et l'un des responsables d'Al-Qaida dans la péninsule arabique [AQPA], tué lors d'un raid américain), l'ancien patron de la CIA a déclaré : "Nous avons développé pendant des années une relation qui nous a permis de travailler ensemble, d'échanger des renseignements et de nous concentrer sur certaines cibles communes." Il a ajouté : "Cela va continuer, quel que soit le sort final du président Saleh." Citant des sources diplomatiques, Reuters assure, par ailleurs, que les pays occidentaux envisagent de présenter une résolution au Conseil de sécurité de l'ONU afin d'accentuer la pression sur le président Ali Abdallah Saleh, au pouvoir depuis trente-trois ans et qui refuse de démissionner