Une bonne nouvelle pour les retraités. Il semble que le cri de désespoir des retraités est, enfin, entendu. Les oubliés de la Tripartite, tenue récemment, se sont rappelés au bon souvenir du gouvernement qui a tenu à réparer une grande injustice faite à leur égard. «Une mesure exceptionnelle sera prochainement prise pour revaloriser les allocations et pensions de retraite», a annoncé, jeudi, le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, lors de l'installation de groupes de travail issus de la dernière Tripartite. Une bonne nouvelle pour les retraités. Il semble que le cri de désespoir des retraités est, enfin, entendu. Les oubliés de la Tripartite, tenue récemment, se sont rappelés au bon souvenir du gouvernement qui a tenu à réparer une grande injustice faite à leur égard. «Une mesure exceptionnelle sera prochainement prise pour revaloriser les allocations et pensions de retraite», a annoncé, jeudi, le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, lors de l'installation de groupes de travail issus de la dernière Tripartite. Cette mesure sera prochainement tranchée, selon le ministre qui précise qu'une mesure exceptionnelle «sera prise en charge par le budget de l'Etat» pour l'amélioration du pouvoir d'achat de cette catégorie. Il reste que Tayeb Louh n'a pas fournit des détails sur la nature de cette mesure ni la date de sa promulgation qui risque de ne pas satisfaire les revendications de cette frange de travailleurs qui a trimé jusqu'a ne plus en pouvoir. Cette mesure exceptionnelle décidée par le gouvernement va-t-elle apaiser la colère et la déception des retraités qui ont été refroidis par les résultats de la dernière tripartite ? La mesure envisagée sera-t-elle annoncée avant la fin du mois courant ? L'on se rappelle que sitôt, les résultats de la tripartite connus, les retraités ont annoncé leur intention d'organiser un rassemblement national le 25 octobre prochain à Alger. «Nous aussi sommes vraiment déçus, surtout que nous avons préparé un dossier ficelé et détaillé retraçant la situation des retraités en présentant des arguments solides» avait affirmé, récemment, Ahmed Gadiri, secrétaire national chargé de l'administration et des finances. Le responsable de la FNTR n'a pas manqué de faire part du sentiment d'injustice ressenti par ses pairs qui se sentent lésés et ne comprennent pas les récentes augmentations et revalorisation des salaires et primes dont ont bénéficiés les travailleurs de divers secteurs, et «qu'on ne trouve pas d'argent pour les retraités». La Fédération nationale des retraités (FNTR) a souhaité décrocher une réévaluation de 40% de leurs pensions lors de cette dernière tripartite. Or, aucune «fleur» ne fut offerte à cette catégorie de travailleurs. Pourtant, les retraités ont été nourris de promesses avant la tenue de la tripartite. Il ne se faisait plus aucun doute quant à la revalorisation de leurs pensions, notamment après les multiples promesses faites par le gouvernement et la centrale syndicale. Le gouvernement met en avant «l'équilibre de la Caisse des retraites» pour ne pas répondre aux revendications des retraités. Faux, soutiennent les syndicalistes de la Caisse des retraites. «La Caisse n'est pas en difficulté financière et pas défaillante. Elle a de l'argent», assurent-ils à qui veut les entendre. C'est dans ce contexte que le ministre du ministre du Travail, Tayeb Louh, a installé un groupe de travail qui se voit confié la mission d'examiner les possibilités d'améliorer les ressources financières du système national de retraite pour assurer à la Caisse nationale des retraites (CNR) les recettes supplémentaires nécessaires à la prise en charge de ses obligations envers les retraités. Ce groupe prendra en considération les axes de la réforme engagée par le gouvernement en matière de retraites, à savoir la préservation des équilibres financiers du système de retraite pour en garantir la pérennité avec ses fondements actuels dont la solidité et la répartition ainsi que l'amélioration continue du pouvoir d'achat des retraités. Il reste que la mesure exceptionnelle que compte prendre le gouvernement n'est pas attendue pour les prochains jours. Le groupe de travail est instruit de parachever sa mission dans un délai n'excédant pas six mois ainsi que les deux autres groupes de travail installés le même jour et qui ont pour mission, pour l'un de s'atteller à l'évaluation des incidences de la suppression de l'article 87 bis et la préparation de la prise en charge de cette question dans la prochaine révision du code du travail, et pour l'autre, de se pencher sur l'évaluation du pacte économique et social et l'élaboration de recommandations pour son enrichissement et sa reconduction. Cette mesure sera prochainement tranchée, selon le ministre qui précise qu'une mesure exceptionnelle «sera prise en charge par le budget de l'Etat» pour l'amélioration du pouvoir d'achat de cette catégorie. Il reste que Tayeb Louh n'a pas fournit des détails sur la nature de cette mesure ni la date de sa promulgation qui risque de ne pas satisfaire les revendications de cette frange de travailleurs qui a trimé jusqu'a ne plus en pouvoir. Cette mesure exceptionnelle décidée par le gouvernement va-t-elle apaiser la colère et la déception des retraités qui ont été refroidis par les résultats de la dernière tripartite ? La mesure envisagée sera-t-elle annoncée avant la fin du mois courant ? L'on se rappelle que sitôt, les résultats de la tripartite connus, les retraités ont annoncé leur intention d'organiser un rassemblement national le 25 octobre prochain à Alger. «Nous aussi sommes vraiment déçus, surtout que nous avons préparé un dossier ficelé et détaillé retraçant la situation des retraités en présentant des arguments solides» avait affirmé, récemment, Ahmed Gadiri, secrétaire national chargé de l'administration et des finances. Le responsable de la FNTR n'a pas manqué de faire part du sentiment d'injustice ressenti par ses pairs qui se sentent lésés et ne comprennent pas les récentes augmentations et revalorisation des salaires et primes dont ont bénéficiés les travailleurs de divers secteurs, et «qu'on ne trouve pas d'argent pour les retraités». La Fédération nationale des retraités (FNTR) a souhaité décrocher une réévaluation de 40% de leurs pensions lors de cette dernière tripartite. Or, aucune «fleur» ne fut offerte à cette catégorie de travailleurs. Pourtant, les retraités ont été nourris de promesses avant la tenue de la tripartite. Il ne se faisait plus aucun doute quant à la revalorisation de leurs pensions, notamment après les multiples promesses faites par le gouvernement et la centrale syndicale. Le gouvernement met en avant «l'équilibre de la Caisse des retraites» pour ne pas répondre aux revendications des retraités. Faux, soutiennent les syndicalistes de la Caisse des retraites. «La Caisse n'est pas en difficulté financière et pas défaillante. Elle a de l'argent», assurent-ils à qui veut les entendre. C'est dans ce contexte que le ministre du ministre du Travail, Tayeb Louh, a installé un groupe de travail qui se voit confié la mission d'examiner les possibilités d'améliorer les ressources financières du système national de retraite pour assurer à la Caisse nationale des retraites (CNR) les recettes supplémentaires nécessaires à la prise en charge de ses obligations envers les retraités. Ce groupe prendra en considération les axes de la réforme engagée par le gouvernement en matière de retraites, à savoir la préservation des équilibres financiers du système de retraite pour en garantir la pérennité avec ses fondements actuels dont la solidité et la répartition ainsi que l'amélioration continue du pouvoir d'achat des retraités. Il reste que la mesure exceptionnelle que compte prendre le gouvernement n'est pas attendue pour les prochains jours. Le groupe de travail est instruit de parachever sa mission dans un délai n'excédant pas six mois ainsi que les deux autres groupes de travail installés le même jour et qui ont pour mission, pour l'un de s'atteller à l'évaluation des incidences de la suppression de l'article 87 bis et la préparation de la prise en charge de cette question dans la prochaine révision du code du travail, et pour l'autre, de se pencher sur l'évaluation du pacte économique et social et l'élaboration de recommandations pour son enrichissement et sa reconduction.