Le manque de dépistage et de prévention primaire des maladies cancéreuses a été souligné, jeudi à Alger, par les participants à une journée d'information médicale sur le cancer, qui ont appelé à accentuer les efforts de sensibilisation sur cette maladie en "nette progression". «Nous organisons cette journée pour parler du dépistage de maladies cancéreuses, parce que nous considérons qu'ici en Algérie, nous ne le faisons pas assez, alors qu'il permettrait de réduire jusqu'à 50% les risques du cancer", a déclaré à l'APS le Pr Chouiter, vice-présidente de l'association El Fejr d'aide aux personnes atteintes de cancer, organisatrice de la rencontre. Certains types de cancer sont en "nette progression en Algérie", a-t-elle signalé, tels que le cancer du sein, le cancer colorectal et celui de la prostate, expliquant qu'une prévention primaire permettrait à un bon nombre de personnes d'éviter cette maladie. Le Pr Chouiter a plaidé pour que toutes les associations activant dans ce domaine se réunissent pour essayer de parvenir «à un meilleur dépistage, plus efficace et mieux conduit à travers le territoire nationale», invitant le ministère de la Santé à les accompagner dans cette démarche. Elle a, également, exhorté les médecins généralistes à "faire eux-mêmes le dépistage et la prévention primaire et expliquer aux gens le meilleur comportement pour éviter cette maladie". Pour sa part, le Pr Boudriche a estimé qu'"avec les moyens dont dispose l'Algérie, beaucoup de choses doivent aller plus vite" en termes de lutte et de prévention, en insistant sur l'importance du dépistage. "S'il y a des décès, c'est qu'il y a de la négligence quelque part", a-t-il considéré, notamment en ce qui concerne les cancers du col utérin et du sein, parce qu'il s'agit de "cancers accessibles à la vue, à l'examen et au traitement". Le manque de dépistage et de prévention primaire des maladies cancéreuses a été souligné, jeudi à Alger, par les participants à une journée d'information médicale sur le cancer, qui ont appelé à accentuer les efforts de sensibilisation sur cette maladie en "nette progression". «Nous organisons cette journée pour parler du dépistage de maladies cancéreuses, parce que nous considérons qu'ici en Algérie, nous ne le faisons pas assez, alors qu'il permettrait de réduire jusqu'à 50% les risques du cancer", a déclaré à l'APS le Pr Chouiter, vice-présidente de l'association El Fejr d'aide aux personnes atteintes de cancer, organisatrice de la rencontre. Certains types de cancer sont en "nette progression en Algérie", a-t-elle signalé, tels que le cancer du sein, le cancer colorectal et celui de la prostate, expliquant qu'une prévention primaire permettrait à un bon nombre de personnes d'éviter cette maladie. Le Pr Chouiter a plaidé pour que toutes les associations activant dans ce domaine se réunissent pour essayer de parvenir «à un meilleur dépistage, plus efficace et mieux conduit à travers le territoire nationale», invitant le ministère de la Santé à les accompagner dans cette démarche. Elle a, également, exhorté les médecins généralistes à "faire eux-mêmes le dépistage et la prévention primaire et expliquer aux gens le meilleur comportement pour éviter cette maladie". Pour sa part, le Pr Boudriche a estimé qu'"avec les moyens dont dispose l'Algérie, beaucoup de choses doivent aller plus vite" en termes de lutte et de prévention, en insistant sur l'importance du dépistage. "S'il y a des décès, c'est qu'il y a de la négligence quelque part", a-t-il considéré, notamment en ce qui concerne les cancers du col utérin et du sein, parce qu'il s'agit de "cancers accessibles à la vue, à l'examen et au traitement".