Les travailleurs du préemploi ne lâchent pas prise. Ils sont des dizaines à venir protester devant le siège de la wilaya de Boumerdès, pour réclamer le versement de leurs arriérés de salaires, la permanisation et la réintégration dans son poste d'emploi du représentant de la section syndicale du préemploi de ladite wilaya. Ce représentant répondant au nom d'Ammor Abdelkader, qui travaille à l'APC de Chabet El Ameur, a vu son contrat résilié par son employeur, mardi dernier, suite à l'action de protestation observée, le samedi dernier, devant le siège de la wilaya. Ses collègues ont dénoncé les manoeuvres de l'administration qui, selon eux, visent à tuer dans l'œuf leur mouvement afin de faire valoir leurs droits. Concernant le problème de payement qui se limite uniquement à la wilaya de Boumerdès, les employés du préemploi dénoncent les promesses des responsables de secteur qui ne sont toujours pas concrétisées. La direction de l'emploi leur avait signifié que le versement des salaires, notamment celui du mois d'octobre dernier, devait l'être avant la fête de l'Aïd el-kebir. Mais, à la surprise générale, plusieurs d'entre eux n'ont rien reçu dans leurs comptes. Quant à la revendication liée à la permanisation des travailleurs du préemplois, ces derniers se sont déplacés dernièrement à Alger, exactement au ministère de l'Emploi et de la Sécurité sociale, où ils ont observé un sit-in. Un responsable dudit département ministériel avait précisé à une délégation de protestataires «que la permanisation des travailleurs ne relève pas de leur ministère, mais au contraire, de la Direction générale de la fonction publique». Hier, les protestataires campaient toujours devant le siège de la wilaya et un officier supérieur de police a reçu le représentant des protestataires et lui a promis de transmettre leurs doléances, notamment sa réintégration dans son poste d'emploi aux responsables concernés. Les protestataires ont haussé le ton, hier, par l'inscription de leur mouvement dans la durée au cas où leur collègue ne sera pas intégré dans ses droits. Notons, enfin, que cette action est la cinquième du genre à être observée pour faire entendre leurs voix. Les travailleurs du préemploi ne lâchent pas prise. Ils sont des dizaines à venir protester devant le siège de la wilaya de Boumerdès, pour réclamer le versement de leurs arriérés de salaires, la permanisation et la réintégration dans son poste d'emploi du représentant de la section syndicale du préemploi de ladite wilaya. Ce représentant répondant au nom d'Ammor Abdelkader, qui travaille à l'APC de Chabet El Ameur, a vu son contrat résilié par son employeur, mardi dernier, suite à l'action de protestation observée, le samedi dernier, devant le siège de la wilaya. Ses collègues ont dénoncé les manoeuvres de l'administration qui, selon eux, visent à tuer dans l'œuf leur mouvement afin de faire valoir leurs droits. Concernant le problème de payement qui se limite uniquement à la wilaya de Boumerdès, les employés du préemploi dénoncent les promesses des responsables de secteur qui ne sont toujours pas concrétisées. La direction de l'emploi leur avait signifié que le versement des salaires, notamment celui du mois d'octobre dernier, devait l'être avant la fête de l'Aïd el-kebir. Mais, à la surprise générale, plusieurs d'entre eux n'ont rien reçu dans leurs comptes. Quant à la revendication liée à la permanisation des travailleurs du préemplois, ces derniers se sont déplacés dernièrement à Alger, exactement au ministère de l'Emploi et de la Sécurité sociale, où ils ont observé un sit-in. Un responsable dudit département ministériel avait précisé à une délégation de protestataires «que la permanisation des travailleurs ne relève pas de leur ministère, mais au contraire, de la Direction générale de la fonction publique». Hier, les protestataires campaient toujours devant le siège de la wilaya et un officier supérieur de police a reçu le représentant des protestataires et lui a promis de transmettre leurs doléances, notamment sa réintégration dans son poste d'emploi aux responsables concernés. Les protestataires ont haussé le ton, hier, par l'inscription de leur mouvement dans la durée au cas où leur collègue ne sera pas intégré dans ses droits. Notons, enfin, que cette action est la cinquième du genre à être observée pour faire entendre leurs voix.