Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, tend à appliquer à la lettre les réformes politiques du Président. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, tend à appliquer à la lettre les réformes politiques du Président. Aussi, les couacs au niveau de certains ministères ont fait réagir le Premier ministre qui n'a pas hésité à rappeler à l'ordre deux départements ministériels, en premier lieu le ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière pour la sévère pénurie de médicaments dont se sont plaints médecins et malades, et les dysfonctionnements au sein du ministère du Tourisme à qui Ouyahia a enlevé la gestion du foncier pour la confier aux walis des quarante-sept wilayas. Voilà un Premier ministre que l'on dit partant mais qui planche sur les dossiers avec toute la rigueur qu'on lui connait. S'il doit quitter le sérail, ce sera pour une autre destinée. Sans doute fabuleuse, qu'aura entre ses mains le Premier ministre Ahmed Ouyahia. Ou bien serait-ce la rencontre d'un homme avec son destin. Un destin entre ses mains depuis dix ans avec une éclipse de 2006 à 2008 où il a été remercié puis revenu aux commandes du gouvernement. Il est cependant l'homme de toutes les situations, bosseur il l'est. Des situations qui ont souvent fait grincer des dents ceux pour qui des mesures impopulaires tombaient sur la tête. Coûte que coûte il tient la barre contre vents et marées, l'homme est rompu aux situations difficile s'il applique à la lettre les recettes du FMI d'où le libéralisme après 30 ans de socialisme. Est-ce que l'homme croit au «mektoub» ? Il est surtout un tantinet ambitieux. Quel que soit le sens qu'on donne à cette ambition Ahmed Ouyahia ne pourra pas échapper à sa destinée. Sera-t-elle celle que l'on prête à l'homme ? Il se dit dans les coulisses et parfois ouvertement que Ahmed Ouyahia ambitionne de briguer la magistrature suprême en 2014. Cependant à une condition. «L´homme qui est devant vous ne se présentera jamais à l´élection présidentielle contre Abdelaziz Bouteflika», avait-il affirmé à l´occasion de la 6e session ordinaire du conseil national du RND qui s´est tenue à la fin du mois de mars 2006 au complexe touristique de Sidi Fredj. Cette promesse tient-elle toujours ? Connaissant l'homme qui tient à ses principes, il n'y a pas de doute qu'il ait changé d'avis. Ahmed Ouyahia n´a jamais eu l´intention d´affronter le chef de l´Etat à chaque fois qu´il s´est porté candidat à la magistrature suprême. Mais on dit en coulisses que le chef de l'Etat ne souhaite pas rempiler pour un quatrième mandat. Auquel cas la voie serait libre et alors le Premier ministre et secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) de viser le Palais d'El Mouradia et de rencontrer enfin son « destin ». Il était écrit quelque part que la gestion de sa carrière serait un succès. Cette dynamique se poursuivra-t-elle pour atteindre l'apothéose en 2O14 ? La volonté et la détermination de l'homme forceront-elles la main du Destin ? Ahmed Ouyahia, lui, croit en sa bonne étoile. Dans tous les cas de figures, un rendez-vous important attend la formation politique du chef de l´Exécutif. Les élections législatives d'avril 2012, mais en attendant… Aussi, les couacs au niveau de certains ministères ont fait réagir le Premier ministre qui n'a pas hésité à rappeler à l'ordre deux départements ministériels, en premier lieu le ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière pour la sévère pénurie de médicaments dont se sont plaints médecins et malades, et les dysfonctionnements au sein du ministère du Tourisme à qui Ouyahia a enlevé la gestion du foncier pour la confier aux walis des quarante-sept wilayas. Voilà un Premier ministre que l'on dit partant mais qui planche sur les dossiers avec toute la rigueur qu'on lui connait. S'il doit quitter le sérail, ce sera pour une autre destinée. Sans doute fabuleuse, qu'aura entre ses mains le Premier ministre Ahmed Ouyahia. Ou bien serait-ce la rencontre d'un homme avec son destin. Un destin entre ses mains depuis dix ans avec une éclipse de 2006 à 2008 où il a été remercié puis revenu aux commandes du gouvernement. Il est cependant l'homme de toutes les situations, bosseur il l'est. Des situations qui ont souvent fait grincer des dents ceux pour qui des mesures impopulaires tombaient sur la tête. Coûte que coûte il tient la barre contre vents et marées, l'homme est rompu aux situations difficile s'il applique à la lettre les recettes du FMI d'où le libéralisme après 30 ans de socialisme. Est-ce que l'homme croit au «mektoub» ? Il est surtout un tantinet ambitieux. Quel que soit le sens qu'on donne à cette ambition Ahmed Ouyahia ne pourra pas échapper à sa destinée. Sera-t-elle celle que l'on prête à l'homme ? Il se dit dans les coulisses et parfois ouvertement que Ahmed Ouyahia ambitionne de briguer la magistrature suprême en 2014. Cependant à une condition. «L´homme qui est devant vous ne se présentera jamais à l´élection présidentielle contre Abdelaziz Bouteflika», avait-il affirmé à l´occasion de la 6e session ordinaire du conseil national du RND qui s´est tenue à la fin du mois de mars 2006 au complexe touristique de Sidi Fredj. Cette promesse tient-elle toujours ? Connaissant l'homme qui tient à ses principes, il n'y a pas de doute qu'il ait changé d'avis. Ahmed Ouyahia n´a jamais eu l´intention d´affronter le chef de l´Etat à chaque fois qu´il s´est porté candidat à la magistrature suprême. Mais on dit en coulisses que le chef de l'Etat ne souhaite pas rempiler pour un quatrième mandat. Auquel cas la voie serait libre et alors le Premier ministre et secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) de viser le Palais d'El Mouradia et de rencontrer enfin son « destin ». Il était écrit quelque part que la gestion de sa carrière serait un succès. Cette dynamique se poursuivra-t-elle pour atteindre l'apothéose en 2O14 ? La volonté et la détermination de l'homme forceront-elles la main du Destin ? Ahmed Ouyahia, lui, croit en sa bonne étoile. Dans tous les cas de figures, un rendez-vous important attend la formation politique du chef de l´Exécutif. Les élections législatives d'avril 2012, mais en attendant…