L'université M'hamed Bouguerra de Boumerdès (UMBB) a été totalement paralysée, durant toute la journée d'hier, par une grève générale des étudiants. Ce mouvement de grève qui vient encore perturber l'année universitaire, faisait suite aux graves incidents qui se sont produits dans la nuit d'avant-hier, entre des étudiants et des habitants d'un site de chalets avoisinant la cité universitaires des 2000 lits pour garçons de Boudouaou El Bahri. Les incidents se sont déclarés peu de temps après l'agression d'un étudiant à l'intérieur de la Cité U par un intrus venu avec ses camarades perturber le déroulement d'un gala artistique organisé par des étudiants et l'administration pour célébrer le nouvel an berbère. La tension est montée d'un cran notamment après que d'autres habitants desdits chalets ont tenté par la force d'entrer à l'intérieur de la résidence. Chose faite notamment après avoir chassé tous les agents de sécurité qui y travaillent. Ce fut la bagarre générale et personne ne pouvait intervenir pour y mettre fin. Plusieurs blessés dont certains grièvement ont été enregistrés dans les deux camps. L'on enregistre une trentaine d'étudiants ayant été blessés et agressés à l'aide de couteaux et barres de fer par les habitants du site précité. Ils ont été évacués vers les différentes unités médicales de la wilaya pour y recevoir les soins nécessaires. Un important dispositif sécuritaire a été déployé pour mettre fin à cet incident, mais en vain, nous dit-on. Les agresseurs ont saccagé plusieurs bureaux mais après que le calme soit revenu, plusieurs étudiants se sont emportés contre le foyer et le restaurant de la cité qu'ils ont saccagés pour dénoncer le relâchement des agents de sécurité. De ce fait, plusieurs étudiants hébergés au niveau de ladite résidence l'ont quittée hier matin et ont trouvé refuge chez des collègues dans les cités du chef-lieu de wilaya. Hier, vers 14h, les facultés de l'UMBB sont demeurées fermées et les étudiants ont dénoncé ces graves incidents tout en accusant les agents de sécurité de ne pas accomplir leur devoir devant de telles situations. L'université M'hamed Bouguerra de Boumerdès (UMBB) a été totalement paralysée, durant toute la journée d'hier, par une grève générale des étudiants. Ce mouvement de grève qui vient encore perturber l'année universitaire, faisait suite aux graves incidents qui se sont produits dans la nuit d'avant-hier, entre des étudiants et des habitants d'un site de chalets avoisinant la cité universitaires des 2000 lits pour garçons de Boudouaou El Bahri. Les incidents se sont déclarés peu de temps après l'agression d'un étudiant à l'intérieur de la Cité U par un intrus venu avec ses camarades perturber le déroulement d'un gala artistique organisé par des étudiants et l'administration pour célébrer le nouvel an berbère. La tension est montée d'un cran notamment après que d'autres habitants desdits chalets ont tenté par la force d'entrer à l'intérieur de la résidence. Chose faite notamment après avoir chassé tous les agents de sécurité qui y travaillent. Ce fut la bagarre générale et personne ne pouvait intervenir pour y mettre fin. Plusieurs blessés dont certains grièvement ont été enregistrés dans les deux camps. L'on enregistre une trentaine d'étudiants ayant été blessés et agressés à l'aide de couteaux et barres de fer par les habitants du site précité. Ils ont été évacués vers les différentes unités médicales de la wilaya pour y recevoir les soins nécessaires. Un important dispositif sécuritaire a été déployé pour mettre fin à cet incident, mais en vain, nous dit-on. Les agresseurs ont saccagé plusieurs bureaux mais après que le calme soit revenu, plusieurs étudiants se sont emportés contre le foyer et le restaurant de la cité qu'ils ont saccagés pour dénoncer le relâchement des agents de sécurité. De ce fait, plusieurs étudiants hébergés au niveau de ladite résidence l'ont quittée hier matin et ont trouvé refuge chez des collègues dans les cités du chef-lieu de wilaya. Hier, vers 14h, les facultés de l'UMBB sont demeurées fermées et les étudiants ont dénoncé ces graves incidents tout en accusant les agents de sécurité de ne pas accomplir leur devoir devant de telles situations.