Le ministre saoudien des Finances, Ibrahim al-Assaf, s'est entretenu samedi avec la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, du rôle du fonds dans la crise de la dette européenne et des «efforts en cours pour régler» cette crise. Selon l'agence officielle saoudienne Spa, l'entretien a également porté sur la conjoncture économique et financière, aux plans régional et mondial. Vendredi, Mme Lagarde avait été reçue par le roi Abdallah pour un entretien sur «l'action du FMI et les développements de l'économie mondiale». L'Arabie saoudite, riche monarchie pétrolière et membre du G20, est l'un des pays dont le FMI souhaiterait obtenir une contribution à l'augmentation de 500 milliards de dollars de ses ressources, que Mme Lagarde estime nécessaires pour affronter la crise économique mondiale. «Le FMI comptera sur ses principaux Etats membres» pour réunir ces fonds, avait déclaré Mme Lagarde dans un entretien publié vendredi par le quotidien saoudien Asharq Al-Awsat, sans citer nommément l'Arabie saoudite. Mais rien n'a filtré des entretiens de Mme Lagarde, qui doit achever dans la soirée sa visite de deux jours dans le royaume saoudien. Le royaume saoudien, premier exportateur mondial de brut, a dégagé en 2011 un excédent budgétaire record de plus de 81 milliards de dollars. Le ministre saoudien des Finances, Ibrahim al-Assaf, s'est entretenu samedi avec la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, du rôle du fonds dans la crise de la dette européenne et des «efforts en cours pour régler» cette crise. Selon l'agence officielle saoudienne Spa, l'entretien a également porté sur la conjoncture économique et financière, aux plans régional et mondial. Vendredi, Mme Lagarde avait été reçue par le roi Abdallah pour un entretien sur «l'action du FMI et les développements de l'économie mondiale». L'Arabie saoudite, riche monarchie pétrolière et membre du G20, est l'un des pays dont le FMI souhaiterait obtenir une contribution à l'augmentation de 500 milliards de dollars de ses ressources, que Mme Lagarde estime nécessaires pour affronter la crise économique mondiale. «Le FMI comptera sur ses principaux Etats membres» pour réunir ces fonds, avait déclaré Mme Lagarde dans un entretien publié vendredi par le quotidien saoudien Asharq Al-Awsat, sans citer nommément l'Arabie saoudite. Mais rien n'a filtré des entretiens de Mme Lagarde, qui doit achever dans la soirée sa visite de deux jours dans le royaume saoudien. Le royaume saoudien, premier exportateur mondial de brut, a dégagé en 2011 un excédent budgétaire record de plus de 81 milliards de dollars.