Les partis politiques accélèrent la cadence des préparatifs pour les élections législatives, prévues au mois de mai prochain. Le FLN n'est pas en reste, puisque au parti de Abdelaziz Belkhadem toute l'attention des cadres, des militants et de la direction est focalisée sur l'opération relative au dépôt des dossiers des candidatures. Cette opération sera achevée, selon les instructions du secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, le 16 février. En somme, tous les dossiers de candidatures seront déposés avant cette date. Le bureau politique aura alors du pain sur la planche car des centaines, voire des milliers de cadres et militants ont affiché leur intention d'être candidats. . En effet, c'est cette instance exécutive qui va devoir départager tous les candidats et élaborer les listes électorales. L'opération relative à l'examen des dossiers de candidatures et au classement des candidats dans les listes électorales ne sera certainement une simple partie de plaisir pour le bureau politique tant cette instance fera sans doute face à des pressions énormes. Le bureau politique, selon le programme tracé au préalable, aura à examiner les dossiers de deux wilayas par jour et ce jusqu'au 25 mars, date butoir pour achever l'ensemble de cette opération. Belkhadem sera ainsi soumis à de terribles pressions puisque il devra faire face aux ambitions des uns et des autres. Tous les candidats voudraient être aux premières loges dans les listes électorales et ce, pour espérer assurer un siège dans la prochaine APN. C'est ainsi le cas des caciques du parti, dont certains ont d'ores et déjà affiché leurs ambitions. Des candidatures qui ne sont pas, on s'en doute, les bienvenues puisque l'écrasante majorité de la base militante les rejette. L'exemple de Abderahmane Belayat illustre on ne peut mieux cette situation. Il y a juste quelques jours, l'annonce de la candidature de ce membre du bureau politique dans la wilaya de Sétif, qui veut de surcroît être de liste, a suscité une vive réaction lors d'une assemblée générale des militants. Ces derniers ont, à l'unanimité, rejeté cette candidature. Une candidature qui contraste avec le discours que prêche le secrétaire général du parti. Abdelaziz Belkhadem ne rate aucune occasion pour dire que le FLN fera la part belle aux nouvelles figures et aux jeunes cadres, ce qui n'est pas le cas de Belayat. Ce dernier, cela dit, n'est pas un cas isolé puisque il est certain que d'autres anciennes figures ont la même ambition. Tous les ministres et députés, anciens ou actuels, voudront être de la partie qui plus est en pole position. D'ailleurs, à en croire certaines sources, une véritable guerre de tranchées oppose quelques poids lourds du parti. On cite souvent la bataille feutrée que se livrent deux membres du bureau politique , en l'occurrence le président de l'APN , Abdelaziz Ziari , et le ministre de l'Enseignement supérieur , Rachid Harraoubia. Chacun voudrait être la tête de liste à Alger. En toile de fond de cette bataille, c'est le poste de président de l'APN qui est visé. Car selon certains observateurs, la présidence de l'APN sera confiée à la personnalité qui a eu à diriger la liste du FLN dans la capitale. C'est Ziari, pour rappel, qui a dirigé la liste du parti à Alger lors des législatives de 2007. C'est dire que Belkhadem est dans une inconfortable posture car il va devoir faire des choix difficiles. De plus, il sera aussi amené à tenir ses engagements envers les jeunes générations qui s'impatientent et qui lui demandent de «réparer l'injustice» de 2007 où le vieux parti a réservé les meilleures places dans ses listes électorales aux vieilles générations. Les partis politiques accélèrent la cadence des préparatifs pour les élections législatives, prévues au mois de mai prochain. Le FLN n'est pas en reste, puisque au parti de Abdelaziz Belkhadem toute l'attention des cadres, des militants et de la direction est focalisée sur l'opération relative au dépôt des dossiers des candidatures. Cette opération sera achevée, selon les instructions du secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, le 16 février. En somme, tous les dossiers de candidatures seront déposés avant cette date. Le bureau politique aura alors du pain sur la planche car des centaines, voire des milliers de cadres et militants ont affiché leur intention d'être candidats. . En effet, c'est cette instance exécutive qui va devoir départager tous les candidats et élaborer les listes électorales. L'opération relative à l'examen des dossiers de candidatures et au classement des candidats dans les listes électorales ne sera certainement une simple partie de plaisir pour le bureau politique tant cette instance fera sans doute face à des pressions énormes. Le bureau politique, selon le programme tracé au préalable, aura à examiner les dossiers de deux wilayas par jour et ce jusqu'au 25 mars, date butoir pour achever l'ensemble de cette opération. Belkhadem sera ainsi soumis à de terribles pressions puisque il devra faire face aux ambitions des uns et des autres. Tous les candidats voudraient être aux premières loges dans les listes électorales et ce, pour espérer assurer un siège dans la prochaine APN. C'est ainsi le cas des caciques du parti, dont certains ont d'ores et déjà affiché leurs ambitions. Des candidatures qui ne sont pas, on s'en doute, les bienvenues puisque l'écrasante majorité de la base militante les rejette. L'exemple de Abderahmane Belayat illustre on ne peut mieux cette situation. Il y a juste quelques jours, l'annonce de la candidature de ce membre du bureau politique dans la wilaya de Sétif, qui veut de surcroît être de liste, a suscité une vive réaction lors d'une assemblée générale des militants. Ces derniers ont, à l'unanimité, rejeté cette candidature. Une candidature qui contraste avec le discours que prêche le secrétaire général du parti. Abdelaziz Belkhadem ne rate aucune occasion pour dire que le FLN fera la part belle aux nouvelles figures et aux jeunes cadres, ce qui n'est pas le cas de Belayat. Ce dernier, cela dit, n'est pas un cas isolé puisque il est certain que d'autres anciennes figures ont la même ambition. Tous les ministres et députés, anciens ou actuels, voudront être de la partie qui plus est en pole position. D'ailleurs, à en croire certaines sources, une véritable guerre de tranchées oppose quelques poids lourds du parti. On cite souvent la bataille feutrée que se livrent deux membres du bureau politique , en l'occurrence le président de l'APN , Abdelaziz Ziari , et le ministre de l'Enseignement supérieur , Rachid Harraoubia. Chacun voudrait être la tête de liste à Alger. En toile de fond de cette bataille, c'est le poste de président de l'APN qui est visé. Car selon certains observateurs, la présidence de l'APN sera confiée à la personnalité qui a eu à diriger la liste du FLN dans la capitale. C'est Ziari, pour rappel, qui a dirigé la liste du parti à Alger lors des législatives de 2007. C'est dire que Belkhadem est dans une inconfortable posture car il va devoir faire des choix difficiles. De plus, il sera aussi amené à tenir ses engagements envers les jeunes générations qui s'impatientent et qui lui demandent de «réparer l'injustice» de 2007 où le vieux parti a réservé les meilleures places dans ses listes électorales aux vieilles générations.