Comme de coutume en cette période de l'année, la commune de Maadhid (35 km à l'est de M'sila), qui abrite la célèbre Kalaâ des Beni-Hammad, est, depuis quelques jour, la destination privilégiée des familles et des groupes de jeunes en quête d'un moment d'évasion. Comme de coutume en cette période de l'année, la commune de Maadhid (35 km à l'est de M'sila), qui abrite la célèbre Kalaâ des Beni-Hammad, est, depuis quelques jour, la destination privilégiée des familles et des groupes de jeunes en quête d'un moment d'évasion. Située aux portes du Sahara et région connue pour ses vastes étendues steppiques, la wilaya du Hodna ne regorge ni d‘îlots verdoyants, ni de structures de loisirs, c‘est pourquoi ses habitants font de la Kalaâ des Beni-Hammad leur destination préférée dès que le soleil refait son apparition après le froid de l‘hiver. Venant des communes voisines d‘Ouled Derradj, de Souamaâ, d‘Ouled Addi-Lekbala, de Barhoum, de Magra et, surtout, du chef-lieu de wilaya, ils ne ratent pas l‘occasion de prendre leur voiture ou d‘emprunter les transports en commun pour aller admirer l‘imposant minaret millénaire de la Kalâa, haut de 25 mètres, principale attraction de ces lieux classés depuis 1980 au patrimoine mondial par l‘Unesco, souligne l‘APS. Pour les plus avisés, capables de servir de guides à leurs proches et amis, la tournée serait tronquée sans une virée du côté des quatre palais princiers de cette cité, jadis prestigieuse, fondée en l‘an 1007 par le Sanhadji Hammad Ibn Bouloughine qui, pour les peupler, y avait transféré les habitants de Ashir et Souk Hamza (Bouira). La balade commence d‘abord par le palais de la Mer (qui doit son nom à un vaste bassin qui aurait été le théâtre de joutes nautiques), le palais de l‘Etoile et un peu plus loin le palais du Salut puis le palais du Manar que le sultan Ennacer aurait construit pour sa bien-aimée la princesse Bellara. Pluriséculaire, ce patrimoine est enserré au coeur de magnifiques paysages naturels que surplombe le mont Takerboust culminant à 1.418 mètres. Une multitude de fontaines et de sources naturelles accentuent la magie des lieux. D‘une rare splendeur, les chutes de Maadhid que certains jeunes de la wilaya tentent de promouvoir via Facebook, excitent l‘imagination des plasticiens et des musiciens que l‘on croise souvent déambulant, le chevalet ou la guitare sur le dos, dans cette région. Les automobilistes de passage ne manquent pas d‘y faire une halte pour se désaltérer dans l‘une des sources et s‘offrir quelques moments de repos et de détente. Maâdhid est aussi un lieu préféré pour les plus fervents adeptes de la tradition du Et-Tarbaâ, sortes de petites kermesses familiales organisées dès l‘avènement du printemps pour célébrer la végétation débordante et la vie. Et-Tarbaâ relève, pour eux, d‘un savoir-vivre propre aux gens de la région qui, avec de petits riens, savent organiser de belles sorties de plein air dans des paysages féeriques, histoire de briser la monotonie des cloisonnements imposés par le froid de l‘hiver qui s‘en va. Les aïeuls des hodnis ne demandaient ni forêts de loisirs ni zoo pour jouir de la nature et savourer d‘agréables moments par ces temps cléments qui restent "fugaces" car intercalés entre les longues périodes de froid d‘hiver et la chaleur torride de l‘été, selon les m‘silis rencontrés sur le site. Selon des associations locales, pas moins de 10.000 personnes fréquentent ce lieu en cette période de l‘année, affirme les associations locales, toutefois, elles déplorent "l‘absence de structures parmi les plus élémentaires" pour l‘accueil des visiteurs réduit la mise en valeur de cette attraction touristique de la région du Hodna, qui reste aussi l‘un des rares endroits où les familles m‘silies peuvent profiter, l‘espace de quelques heures, du printemps. Située aux portes du Sahara et région connue pour ses vastes étendues steppiques, la wilaya du Hodna ne regorge ni d‘îlots verdoyants, ni de structures de loisirs, c‘est pourquoi ses habitants font de la Kalaâ des Beni-Hammad leur destination préférée dès que le soleil refait son apparition après le froid de l‘hiver. Venant des communes voisines d‘Ouled Derradj, de Souamaâ, d‘Ouled Addi-Lekbala, de Barhoum, de Magra et, surtout, du chef-lieu de wilaya, ils ne ratent pas l‘occasion de prendre leur voiture ou d‘emprunter les transports en commun pour aller admirer l‘imposant minaret millénaire de la Kalâa, haut de 25 mètres, principale attraction de ces lieux classés depuis 1980 au patrimoine mondial par l‘Unesco, souligne l‘APS. Pour les plus avisés, capables de servir de guides à leurs proches et amis, la tournée serait tronquée sans une virée du côté des quatre palais princiers de cette cité, jadis prestigieuse, fondée en l‘an 1007 par le Sanhadji Hammad Ibn Bouloughine qui, pour les peupler, y avait transféré les habitants de Ashir et Souk Hamza (Bouira). La balade commence d‘abord par le palais de la Mer (qui doit son nom à un vaste bassin qui aurait été le théâtre de joutes nautiques), le palais de l‘Etoile et un peu plus loin le palais du Salut puis le palais du Manar que le sultan Ennacer aurait construit pour sa bien-aimée la princesse Bellara. Pluriséculaire, ce patrimoine est enserré au coeur de magnifiques paysages naturels que surplombe le mont Takerboust culminant à 1.418 mètres. Une multitude de fontaines et de sources naturelles accentuent la magie des lieux. D‘une rare splendeur, les chutes de Maadhid que certains jeunes de la wilaya tentent de promouvoir via Facebook, excitent l‘imagination des plasticiens et des musiciens que l‘on croise souvent déambulant, le chevalet ou la guitare sur le dos, dans cette région. Les automobilistes de passage ne manquent pas d‘y faire une halte pour se désaltérer dans l‘une des sources et s‘offrir quelques moments de repos et de détente. Maâdhid est aussi un lieu préféré pour les plus fervents adeptes de la tradition du Et-Tarbaâ, sortes de petites kermesses familiales organisées dès l‘avènement du printemps pour célébrer la végétation débordante et la vie. Et-Tarbaâ relève, pour eux, d‘un savoir-vivre propre aux gens de la région qui, avec de petits riens, savent organiser de belles sorties de plein air dans des paysages féeriques, histoire de briser la monotonie des cloisonnements imposés par le froid de l‘hiver qui s‘en va. Les aïeuls des hodnis ne demandaient ni forêts de loisirs ni zoo pour jouir de la nature et savourer d‘agréables moments par ces temps cléments qui restent "fugaces" car intercalés entre les longues périodes de froid d‘hiver et la chaleur torride de l‘été, selon les m‘silis rencontrés sur le site. Selon des associations locales, pas moins de 10.000 personnes fréquentent ce lieu en cette période de l‘année, affirme les associations locales, toutefois, elles déplorent "l‘absence de structures parmi les plus élémentaires" pour l‘accueil des visiteurs réduit la mise en valeur de cette attraction touristique de la région du Hodna, qui reste aussi l‘un des rares endroits où les familles m‘silies peuvent profiter, l‘espace de quelques heures, du printemps.