Le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, Halim Benatallah, effectue depuis lundi une visite de quatre jours en France, à la faveur d'une initiative conjointe, ministère des Affaires étrangères-ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. A l'ordre du jour de ce périple : les préparatifs du prochain scrutin législatif et de l'état d'avancement de la procédure de délivrance des passeports biométriques. A Marseille, première halte de sa visite en France, il s'est dit heureux de voir de «nouveaux visages» pour représenter la communauté algérienne en France et de leur «engagement» à participer au processus démocratique du pays à l'occasion du scrutin législatif du 10 mai prochain. Le secrétaire d'Etat s'est félicité du «haut» niveau des candidats aux élections législatives à l'étranger, notamment en France. Selon lui, postulants à la prochaine législature ont, au minimum, un niveau universitaire, avec une moyenne d'âge qui a «considérablement» baissé. Pour Halim Benatallah, il est «clair que la communauté nationale à l'étranger veut se faire écouter et participer au processus démocratique du pays avec des visages nouveaux et donc avec de nouveaux acteurs politiques». Evoquant l'enjeu des prochaines législatives, M. Benatallah a affirmé qu'il était «important tant pour la communauté nationale à l'étranger et le peuple algérien que pour le devenir du processus démocratique du pays». Il souligne dans ce cadre que «la communauté a un rôle à jouer, de participation à cette évolution du pays, observant que cette évolution donne suite à la logique des réformes politiques initiées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika». Halim Benatallah estime qu'avec ce scrutin législatif, on devrait recueillir un «premier résultat». L'autre objectif recherché à travers ces sorties mixtes (Affaires étrangères-Intérieur), a expliqué le secrétaire d'Etat est de «s'assurer conjointement que les conditions sont réunies au niveau de nos postes diplomatiques et consulaires afin d'assurer la régularité du scrutin et sa transparence» et il relève que «pour cela, il n'y avait pas de meilleur observateur que le ministère de l'Intérieur qui veille à l'application de la loi, pour venir nous accompagner sur le terrain et de clarifier des dispositions sur le plan technique (à) pour assurer un maximum de transparence au scrutin». Il est à noter que le corps électoral de la communauté nationale établie à l'étranger s'élève à 988.229 électeurs, dont 80% se trouvent en France, contre 928.403 recensés lors de l'élection présidentielle de 2009. Cet électorat sera réparti dans quatre zones géographiques disposant chacune de deux sièges au Parlement. Sur les quatre zones géographiques instituées, deux sont en France. La zone 1 regroupe les circonscriptions consulaires de Paris, Nanterre, Bobigny, Vitry, Pontoise, Lille, Strasbourg et Metz. La zone 2 est constituée des circonscriptions consulaires de Lyon, Nantes, Besançon, Grenoble, Saint-Etienne, Marseille, Nice, Montpellier, Toulouse et Bordeaux. Le consulat général d'Algérie à Marseille a été choisi comme lieu de dépôt des candidatures dans cette zone. Le choix de la ville de Marseille pour cette première sortie conjointe n'est pas fortuit, selon le secrétaire d'Etat. «Nous avons délibérément commencé par Marseille parce que cette région (la zone II) représente le tiers de l'électorat algérien en France», a-t-il expliqué. Selon des données du consulat général d'Algérie à Marseille, 72 candidats représentant 17 listes de partis et un indépendant ont été dénombrés dans cette circonscription consulaire, dénommée zone II. Environ 72.000 électeurs y ont été recensés. Le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, devait procéder dans l'après-midi d'hier, au lancement d'une procédure de retrait virtuel (par Internet) d'un acte de naissance 12S. Il sera aujourd'hui à Paris où il rencontrera des responsables consulaires de France et d'Europe pour développer les mêmes thèmes retenus au programme de sa visite. Le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, Halim Benatallah, effectue depuis lundi une visite de quatre jours en France, à la faveur d'une initiative conjointe, ministère des Affaires étrangères-ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. A l'ordre du jour de ce périple : les préparatifs du prochain scrutin législatif et de l'état d'avancement de la procédure de délivrance des passeports biométriques. A Marseille, première halte de sa visite en France, il s'est dit heureux de voir de «nouveaux visages» pour représenter la communauté algérienne en France et de leur «engagement» à participer au processus démocratique du pays à l'occasion du scrutin législatif du 10 mai prochain. Le secrétaire d'Etat s'est félicité du «haut» niveau des candidats aux élections législatives à l'étranger, notamment en France. Selon lui, postulants à la prochaine législature ont, au minimum, un niveau universitaire, avec une moyenne d'âge qui a «considérablement» baissé. Pour Halim Benatallah, il est «clair que la communauté nationale à l'étranger veut se faire écouter et participer au processus démocratique du pays avec des visages nouveaux et donc avec de nouveaux acteurs politiques». Evoquant l'enjeu des prochaines législatives, M. Benatallah a affirmé qu'il était «important tant pour la communauté nationale à l'étranger et le peuple algérien que pour le devenir du processus démocratique du pays». Il souligne dans ce cadre que «la communauté a un rôle à jouer, de participation à cette évolution du pays, observant que cette évolution donne suite à la logique des réformes politiques initiées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika». Halim Benatallah estime qu'avec ce scrutin législatif, on devrait recueillir un «premier résultat». L'autre objectif recherché à travers ces sorties mixtes (Affaires étrangères-Intérieur), a expliqué le secrétaire d'Etat est de «s'assurer conjointement que les conditions sont réunies au niveau de nos postes diplomatiques et consulaires afin d'assurer la régularité du scrutin et sa transparence» et il relève que «pour cela, il n'y avait pas de meilleur observateur que le ministère de l'Intérieur qui veille à l'application de la loi, pour venir nous accompagner sur le terrain et de clarifier des dispositions sur le plan technique (à) pour assurer un maximum de transparence au scrutin». Il est à noter que le corps électoral de la communauté nationale établie à l'étranger s'élève à 988.229 électeurs, dont 80% se trouvent en France, contre 928.403 recensés lors de l'élection présidentielle de 2009. Cet électorat sera réparti dans quatre zones géographiques disposant chacune de deux sièges au Parlement. Sur les quatre zones géographiques instituées, deux sont en France. La zone 1 regroupe les circonscriptions consulaires de Paris, Nanterre, Bobigny, Vitry, Pontoise, Lille, Strasbourg et Metz. La zone 2 est constituée des circonscriptions consulaires de Lyon, Nantes, Besançon, Grenoble, Saint-Etienne, Marseille, Nice, Montpellier, Toulouse et Bordeaux. Le consulat général d'Algérie à Marseille a été choisi comme lieu de dépôt des candidatures dans cette zone. Le choix de la ville de Marseille pour cette première sortie conjointe n'est pas fortuit, selon le secrétaire d'Etat. «Nous avons délibérément commencé par Marseille parce que cette région (la zone II) représente le tiers de l'électorat algérien en France», a-t-il expliqué. Selon des données du consulat général d'Algérie à Marseille, 72 candidats représentant 17 listes de partis et un indépendant ont été dénombrés dans cette circonscription consulaire, dénommée zone II. Environ 72.000 électeurs y ont été recensés. Le secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, devait procéder dans l'après-midi d'hier, au lancement d'une procédure de retrait virtuel (par Internet) d'un acte de naissance 12S. Il sera aujourd'hui à Paris où il rencontrera des responsables consulaires de France et d'Europe pour développer les mêmes thèmes retenus au programme de sa visite.