La campagne électorale pour les législatives du 10 mai prochain entame son septième aujourd'hui. Les leaders des partis politiques sillonnent le pays pour inciter les citoyens électeurs à faire le bon choix, participer au vote et tenter de les convaiincre de leurs accorder leurs voix. Carnet de campagne pour ces derniers jours. La campagne électorale pour les législatives du 10 mai prochain entame son septième aujourd'hui. Les leaders des partis politiques sillonnent le pays pour inciter les citoyens électeurs à faire le bon choix, participer au vote et tenter de les convaiincre de leurs accorder leurs voix. Carnet de campagne pour ces derniers jours. Abdelaziz Belkhadem craint les complots Le secrétaire général du Front de libération nationale craint les craint les complots visant la stabilité de l'Algérie. Au cours d'un meeting de campagne organisé, jeudi, à la salle omnisports de Mila, le patron du vieux parti a estimé que pour mettre en échec ces plan, les Algériens doivent participer « massivement » au scrutin du 10 mai prochain. Le Sg du FLN qui considère que « tous les regards étaient braqués sur les élections en l'Algérie », souligne qu'il était donc « du devoir de tous de gagner cette bataille électorale pour consacrer les lois du changement qui ne peut souffrir aucune entrave ni aucun report ». Du vent de changement qui souffle sur le monde arabe, il rappelle que l'Algérie « s'était engagée précocement dans le pluralisme, dès 1989, sans attendre le supposé « printemps arabe », ce qui n'a pas empêché, selon lui, en janvier 2011, des tentatives de frapper la stabilité du pays". Si ces tentatives ont écoués, c'est que selon Belkhadem, le peuple algérien « rejette l'instabilité et la violence qu'il a n'a que trop endurées durant les années 1990 ». Dans ce cadre, il estime que le boycott des bureaux de vote le jour du scrutin du 10 mai prochain, « risquait de faire le jeu de certaines forces et intérêts occidentaux qui cherchent à insinuer que les Algériens sont contre leurs gouvernants ». appelant tout un chacun les citoyens, les militants et les sympathisants du FLN à « prendre toutes leurs responsabilité » lors de ce scrutin « décisif », en contribuant à une large mobilisation des électeurs. Le leader du FLN fustige les « forces étrangères qui prétendent rechercher l'intérêt des peuples arabes », qui n'ont en fait , souligne-t-il, à l'esprit que leurs propres intérêts, c'est-à-dire le pillage des richesses ou la partition de ces pays, comme cela s'est produit au Soudan". Il réitère la revendication du vieux parti qui demande toujours à la France de reconnaître ses crimes'' et se prononce "contre la normalisation avec l'entité sioniste". Abdelaziz Belkhadem souligne également que le parti qu'il dirige "combattait tout ce qui pourrait porter atteinte à la souveraineté nationale ainsi que tous les lobbies qui veulent s'emparer des richesses nationales", assurant que le FLN était toujours « attaché au contenu de l'appel du 1er novembre 1954 qui vise à instaurer un Etat démocratique et social dans le cadre des principes islamiques ». Ahmed Ouyahia prévient sur les visées étrangères «N'avez-vous pas le sentiment que le colonialisme ancien tente de revenir sous d'autres habits, attiré par l'odeur des richesses naturelles ?' », s'est interrogé, le secrétaire général du Rassemblement national démocratique qui animait, jeudi, un meeting populaire à Souk-Ahras dans le cadre de la campagne électorale pour législatives du 10 mai prochain. Le leader du RND qui a appelé tous ceux qui ''ont connu la tyrannie coloniale et savent ce qu'est un « Khammès », de transmettre cette vérité aux générations montantes'', estimant que les ''problèmes de chômage et de logement peuvent être résolus ». Selon lui, les problèmes socio-économiques de l'Algérie peuvent être résolus, et il reste, affirme-t-il que sa formation politique « se préoccupe avant toute chose de la sauvegarde de l'unité nationale, du peuple et du territoire' ». « L'unité des rangs à l'intérieur (du pays) constitue le plus important défi à l'heure actuelle », a-t-il martelé, soulignant que l'unité nationale doit être « servie par une politique sociale efficace » et « des plans économiques créateurs de richesses' », ainsi que par « la prise en charge des problèmes de la jeunesse et la promotion de la femme ». Un plus loin, à Annaba, il a appelé les citoyens à voter en masse, le 10 mai prochain, pour « préserver et consolider l'unité nationale, la cohésion sociale et la stabilité du pays », expliquantque son parti vise entre autres, à assurer « la poursuite du développement du pays et à assurer l'avenir de la jeunesse à travers la prise en charge de ses préoccupations ». Il interpelle les jeunes et affirme que « la stabilité de l'Algérie est entre vos mains » et exhorte les citoyens à se rendre en masse aux urnes pour « mettre en échec les appels au boycott et à l'abstention lancés à l'intérieur et à l'extérieur du pays », citant les acquis économiques enregistrés des dernières années sous la conduite du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, notamment le remboursement de la dette extérieure, la relance de centaines d'entreprises en difficulté financière, l'investissement dans les secteurs stratégiques, la construction de logements sociaux et la lutte contre le chômage des jeunes. Le RND accompagnera, martèlera Ahmed Ouyahia, les jeunes porteurs de projets d'investissement à "travers les dispositifs de soutien à l'emploi" et luttera contre bureaucratie et la corruption. Reprenant certaines propositions contenues dans le programme électoral du RND, Ahmed Ouyahia se prononce « pour la valorisation des entreprises créées par les jeunes » et pour « la relance des entreprises du secteur public, en particulier celles activant dans le secteur du bâtiment » et se dit fier du bilan de sa formation politique qui a « participé à la réconciliation nationale et au remboursement de la dette extérieure », ce qui a permis à Algérie, selon lui, de « renforcer sa souveraineté ». Le secrétaire général du RND a par ailleurs rejeté les revendications ''d'éloigner tous ceux qui ont exercé des responsabilités sous prétexte qu'ils seraient responsables des échecs''. Mohamed Saïd (PLJ) Haro sur les partisans du statu quo Ceux qui refusent le changement cherchent à agir dans l'opacité et à maintenir le statu quo", a affirmé Mohamed Said lors d'un meeting électoral qu'il a animé à Dellys (Boumerdes), mettant en garde contre ceux qui "distillent le désespoir dans les milieux juvéniles, pour les détourner de leur devoir électoral". Pour Mohamed Saïd, les législatives prochaines constituent « une opportunité réelle pour provoquer un changement idoine sur tous les plans, notamment politique », estimant à cet égard qu' « il importe beaucoup d'œuvrer au changement des mentalités, par la réhabilitation de la politique en mettant l'intérêt suprême de la patrie au dessus des intérêts personnels et des considérations partisanes étroites ». Par ailleurs, le leader du PLJ explique que tout prétendant à la députation doit présenter certains critères nécessités par le mandat parlementaire, dont notamment "la compétence, un niveau intellectuel respectable, l'intégrité, l'abnégation, le respect de l'engagement politique et autres vertus immunisant le député contre l'égoïsme et le mettant au service de la patrie, insistant sur la nécessité de "demander des comptes aux futurs députés et d'exiger d'eux un rendement positif, sous peine de s'exposer à un retrait de confiance". Moussa Touati : Le pouvoir au peuple Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati a souligné que son parti « soutient qu'il est temps de rendre le pouvoir de décision au peuple », ce qui est "possible" a-t-il, estimé, en allant voter en masse pour « réaliser une véritable révolution par les urnes, à un moment où l'Algérie s'apprête à commémorer le cinquantenaire de son indépendance ». Animant, jeudi, des meetings populaire à Sédrata (Souk-Ahras) et à Tebessa, le leader du FNA a insisté sur l'urgence de « transférer le pouvoir au peuple algérien » afin de « mettre en place la véritable démocratie que revendique la population algérienne ». Il assure que « prendre en charge les préoccupations du peuple algérien et améliorer ses conditions de vie figurent, par conséquent, parmi les priorités du programme électoral du FNA ». De son programme électoral, il a mis en exergue "la nécessité de reconsidérer et de réformer le système éducatif algérien" considérant que le système éducatif doit être « réformé sur la base de la dimension prise par la société algérienne ». Pour le secteur économique, il a plaidé pour "l'investissement dans le secteur de l'agriculture qui garantit seul la sécurité alimentaire », tout en stigmatisant « les écarts sociaux qui ne cessent de se creuser, en marginalisant la jeunesse ». Il fustige « le système politique actuellement en place en Algérie », estimant que le « meilleur moyen d'empêcher certains partis politiques (à) de frauder, est de se rendre en force aux bureaux de vote, le 10 mai prochain ». Djamel Benabdeslam (FAN) promet de réduire les impôts Le président du Front de l'Algérie nouvelle (FAN), Djamel Benabdeslam, assuré que son parti « possède les solutions qui permettent de résorber le déficit du budget par, notamment, l'allègement des impositions auxquelles sont soumis les commerçants et les salariés, davantage de rigueur dans le recouvrement et une modernisation résolue du fisc ». Intervenant lors d'un meeting électoral organisé à la maison de la culture Moubarek dans le cadre de la campagne électorale pour le scrutin du 10 mai prochain, le patron du FNA que son parti « réviserait », s'il était élu, « le mode de financement du trésor public ». Selon lui, les ressources du trésor "proviennent à 40% de la rente et de la fiscalité pétrolières, ce qui traduit, déplore-t-il , « l'incapacité des gouvernements successifs à réduire la dépendance de l'économie nationale vis-à-vis des hydrocarbures ». Après avoir signalé que son parti a placé sa confiance en 14 jeunes à l'échelle nationale, Djamel Benabdeslam a souligné « l'engagement du FAN à combattre toutes les formes corruption, l'atteinte à l'argent public et le commerce des organes humains ». Abdelaziz Belkhadem craint les complots Le secrétaire général du Front de libération nationale craint les craint les complots visant la stabilité de l'Algérie. Au cours d'un meeting de campagne organisé, jeudi, à la salle omnisports de Mila, le patron du vieux parti a estimé que pour mettre en échec ces plan, les Algériens doivent participer « massivement » au scrutin du 10 mai prochain. Le Sg du FLN qui considère que « tous les regards étaient braqués sur les élections en l'Algérie », souligne qu'il était donc « du devoir de tous de gagner cette bataille électorale pour consacrer les lois du changement qui ne peut souffrir aucune entrave ni aucun report ». Du vent de changement qui souffle sur le monde arabe, il rappelle que l'Algérie « s'était engagée précocement dans le pluralisme, dès 1989, sans attendre le supposé « printemps arabe », ce qui n'a pas empêché, selon lui, en janvier 2011, des tentatives de frapper la stabilité du pays". Si ces tentatives ont écoués, c'est que selon Belkhadem, le peuple algérien « rejette l'instabilité et la violence qu'il a n'a que trop endurées durant les années 1990 ». Dans ce cadre, il estime que le boycott des bureaux de vote le jour du scrutin du 10 mai prochain, « risquait de faire le jeu de certaines forces et intérêts occidentaux qui cherchent à insinuer que les Algériens sont contre leurs gouvernants ». appelant tout un chacun les citoyens, les militants et les sympathisants du FLN à « prendre toutes leurs responsabilité » lors de ce scrutin « décisif », en contribuant à une large mobilisation des électeurs. Le leader du FLN fustige les « forces étrangères qui prétendent rechercher l'intérêt des peuples arabes », qui n'ont en fait , souligne-t-il, à l'esprit que leurs propres intérêts, c'est-à-dire le pillage des richesses ou la partition de ces pays, comme cela s'est produit au Soudan". Il réitère la revendication du vieux parti qui demande toujours à la France de reconnaître ses crimes'' et se prononce "contre la normalisation avec l'entité sioniste". Abdelaziz Belkhadem souligne également que le parti qu'il dirige "combattait tout ce qui pourrait porter atteinte à la souveraineté nationale ainsi que tous les lobbies qui veulent s'emparer des richesses nationales", assurant que le FLN était toujours « attaché au contenu de l'appel du 1er novembre 1954 qui vise à instaurer un Etat démocratique et social dans le cadre des principes islamiques ». Ahmed Ouyahia prévient sur les visées étrangères «N'avez-vous pas le sentiment que le colonialisme ancien tente de revenir sous d'autres habits, attiré par l'odeur des richesses naturelles ?' », s'est interrogé, le secrétaire général du Rassemblement national démocratique qui animait, jeudi, un meeting populaire à Souk-Ahras dans le cadre de la campagne électorale pour législatives du 10 mai prochain. Le leader du RND qui a appelé tous ceux qui ''ont connu la tyrannie coloniale et savent ce qu'est un « Khammès », de transmettre cette vérité aux générations montantes'', estimant que les ''problèmes de chômage et de logement peuvent être résolus ». Selon lui, les problèmes socio-économiques de l'Algérie peuvent être résolus, et il reste, affirme-t-il que sa formation politique « se préoccupe avant toute chose de la sauvegarde de l'unité nationale, du peuple et du territoire' ». « L'unité des rangs à l'intérieur (du pays) constitue le plus important défi à l'heure actuelle », a-t-il martelé, soulignant que l'unité nationale doit être « servie par une politique sociale efficace » et « des plans économiques créateurs de richesses' », ainsi que par « la prise en charge des problèmes de la jeunesse et la promotion de la femme ». Un plus loin, à Annaba, il a appelé les citoyens à voter en masse, le 10 mai prochain, pour « préserver et consolider l'unité nationale, la cohésion sociale et la stabilité du pays », expliquantque son parti vise entre autres, à assurer « la poursuite du développement du pays et à assurer l'avenir de la jeunesse à travers la prise en charge de ses préoccupations ». Il interpelle les jeunes et affirme que « la stabilité de l'Algérie est entre vos mains » et exhorte les citoyens à se rendre en masse aux urnes pour « mettre en échec les appels au boycott et à l'abstention lancés à l'intérieur et à l'extérieur du pays », citant les acquis économiques enregistrés des dernières années sous la conduite du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, notamment le remboursement de la dette extérieure, la relance de centaines d'entreprises en difficulté financière, l'investissement dans les secteurs stratégiques, la construction de logements sociaux et la lutte contre le chômage des jeunes. Le RND accompagnera, martèlera Ahmed Ouyahia, les jeunes porteurs de projets d'investissement à "travers les dispositifs de soutien à l'emploi" et luttera contre bureaucratie et la corruption. Reprenant certaines propositions contenues dans le programme électoral du RND, Ahmed Ouyahia se prononce « pour la valorisation des entreprises créées par les jeunes » et pour « la relance des entreprises du secteur public, en particulier celles activant dans le secteur du bâtiment » et se dit fier du bilan de sa formation politique qui a « participé à la réconciliation nationale et au remboursement de la dette extérieure », ce qui a permis à Algérie, selon lui, de « renforcer sa souveraineté ». Le secrétaire général du RND a par ailleurs rejeté les revendications ''d'éloigner tous ceux qui ont exercé des responsabilités sous prétexte qu'ils seraient responsables des échecs''. Mohamed Saïd (PLJ) Haro sur les partisans du statu quo Ceux qui refusent le changement cherchent à agir dans l'opacité et à maintenir le statu quo", a affirmé Mohamed Said lors d'un meeting électoral qu'il a animé à Dellys (Boumerdes), mettant en garde contre ceux qui "distillent le désespoir dans les milieux juvéniles, pour les détourner de leur devoir électoral". Pour Mohamed Saïd, les législatives prochaines constituent « une opportunité réelle pour provoquer un changement idoine sur tous les plans, notamment politique », estimant à cet égard qu' « il importe beaucoup d'œuvrer au changement des mentalités, par la réhabilitation de la politique en mettant l'intérêt suprême de la patrie au dessus des intérêts personnels et des considérations partisanes étroites ». Par ailleurs, le leader du PLJ explique que tout prétendant à la députation doit présenter certains critères nécessités par le mandat parlementaire, dont notamment "la compétence, un niveau intellectuel respectable, l'intégrité, l'abnégation, le respect de l'engagement politique et autres vertus immunisant le député contre l'égoïsme et le mettant au service de la patrie, insistant sur la nécessité de "demander des comptes aux futurs députés et d'exiger d'eux un rendement positif, sous peine de s'exposer à un retrait de confiance". Moussa Touati : Le pouvoir au peuple Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati a souligné que son parti « soutient qu'il est temps de rendre le pouvoir de décision au peuple », ce qui est "possible" a-t-il, estimé, en allant voter en masse pour « réaliser une véritable révolution par les urnes, à un moment où l'Algérie s'apprête à commémorer le cinquantenaire de son indépendance ». Animant, jeudi, des meetings populaire à Sédrata (Souk-Ahras) et à Tebessa, le leader du FNA a insisté sur l'urgence de « transférer le pouvoir au peuple algérien » afin de « mettre en place la véritable démocratie que revendique la population algérienne ». Il assure que « prendre en charge les préoccupations du peuple algérien et améliorer ses conditions de vie figurent, par conséquent, parmi les priorités du programme électoral du FNA ». De son programme électoral, il a mis en exergue "la nécessité de reconsidérer et de réformer le système éducatif algérien" considérant que le système éducatif doit être « réformé sur la base de la dimension prise par la société algérienne ». Pour le secteur économique, il a plaidé pour "l'investissement dans le secteur de l'agriculture qui garantit seul la sécurité alimentaire », tout en stigmatisant « les écarts sociaux qui ne cessent de se creuser, en marginalisant la jeunesse ». Il fustige « le système politique actuellement en place en Algérie », estimant que le « meilleur moyen d'empêcher certains partis politiques (à) de frauder, est de se rendre en force aux bureaux de vote, le 10 mai prochain ». Djamel Benabdeslam (FAN) promet de réduire les impôts Le président du Front de l'Algérie nouvelle (FAN), Djamel Benabdeslam, assuré que son parti « possède les solutions qui permettent de résorber le déficit du budget par, notamment, l'allègement des impositions auxquelles sont soumis les commerçants et les salariés, davantage de rigueur dans le recouvrement et une modernisation résolue du fisc ». Intervenant lors d'un meeting électoral organisé à la maison de la culture Moubarek dans le cadre de la campagne électorale pour le scrutin du 10 mai prochain, le patron du FNA que son parti « réviserait », s'il était élu, « le mode de financement du trésor public ». Selon lui, les ressources du trésor "proviennent à 40% de la rente et de la fiscalité pétrolières, ce qui traduit, déplore-t-il , « l'incapacité des gouvernements successifs à réduire la dépendance de l'économie nationale vis-à-vis des hydrocarbures ». Après avoir signalé que son parti a placé sa confiance en 14 jeunes à l'échelle nationale, Djamel Benabdeslam a souligné « l'engagement du FAN à combattre toutes les formes corruption, l'atteinte à l'argent public et le commerce des organes humains ».