Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, a mis dans le collimateur, Abassi Madani l'ex-premier responsable du Fis dissous. Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, a mis dans le collimateur, Abassi Madani l'ex-premier responsable du Fis dissous. Lundi à Chlef, où il s'est exprimé dans un meeting populaire dans le cadre de la campagne électorale pour les législatives du 10 mai prochain, le patron du RND a tiré à boulets rouges sur cet ancien chef de file du parti dissous. «Nous ne sommes pas de ceux qui cultivent la fitna et sèment la discorde en classant les citoyens entre musulmans et ‘taghout' à partir de l'étranger», a-t-il martelé. Il s'est, par ailleurs, déclaré «fier» de voir l'Algérie débarrassée par anticipation de la quasi totalité de sa dette extérieure depuis plusieurs années déjà, se disant convaincu que «l'écrasante majorité de la société saluait ce travail accompli (désendettement) à la faveur du programme du président de la République, et qui a permis la réalisation de grands projets de développement». Ahmed Ouyahia qui a pris à témoin son auditoire, s'interroge, «qui des Chélifiens pouvait imaginer, il y a seulement quelques années, que sa ville serait dotée d'un aéroport international ? Qui des Chélifiens pensait qu'un jour il ferait le trajet routier Chlef-Alger en moins de deux heures ?, et qui encore des Chélifiens rêvait d'une université de la taille de celle de Chlef ?». Pour lui, «il faut donc distinguer entre ce qui est concret et ce qui relève de la vaine promesse», saluant, par ailleurs, les délégués des défunts exécutifs communaux (DEC), les Groupes de légitime défense (GLD), les gardes communaux et les moudjahidine pour leur rôle dans le rétablissement de la paix civile et la concrétisation de la réconciliation nationale. Pour Ouyahia, le RND «a toujours répondu présent sur le terrain et n'a jamais failli à sa mission qui est celle de contribuer aux côtés des forces vives de la nation au rétablissement de la paix et au développement du pays». Ouyahia n'a pas manqué, lui aussi, de se rappeler que la population du pays est constituée de jeunes. Il a promis à cette frange, dans le programme du RND, «la création de comités locaux pour orienter les jeunes et retenir les projets dont chaque région a besoin». Ces comités aideront, au niveau de chaque wilaya et commune du pays «les jeunes à choisir des secteurs et les projets devant permettre un développement local. Il a également plaidé pour une gestion locale concertée des projets de développement et leur suivi par le wali, les assemblées élues pour accélérer à leur rythme de réalisation», précise le patron du RND . Evoquant les secteurs socioéconomiques, le secrétaire général du RND a indiqué que son parti a proposé d'organiser le marché local au profit de l'agriculteur et le consommateur afin de réduire les prix des denrées alimentaires, d'aider l'accès des jeunes au logement, au travail, et la formation ce qui «contribuerait à renforcer et à améliorer la sécurité et la stabilité du pays», a-t-il estimé. Il a, en outre, souligné que son parti «ne veut dénigrer, ni porter préjudice aux autres formations politiques» et «respecte la composante de toutes les listes de candidats». il a souligné qu'une forte participation aux législatives constituait une opportunité pour garantir la poursuite de l'effort de développement et renforcer le processus démocratique, avant d'exhorter les électeurs à faire le bon choix en votant pour les candidats du RND, «lesquels sont tous des salariés», a-t-il tenu à observer. Lundi à Chlef, où il s'est exprimé dans un meeting populaire dans le cadre de la campagne électorale pour les législatives du 10 mai prochain, le patron du RND a tiré à boulets rouges sur cet ancien chef de file du parti dissous. «Nous ne sommes pas de ceux qui cultivent la fitna et sèment la discorde en classant les citoyens entre musulmans et ‘taghout' à partir de l'étranger», a-t-il martelé. Il s'est, par ailleurs, déclaré «fier» de voir l'Algérie débarrassée par anticipation de la quasi totalité de sa dette extérieure depuis plusieurs années déjà, se disant convaincu que «l'écrasante majorité de la société saluait ce travail accompli (désendettement) à la faveur du programme du président de la République, et qui a permis la réalisation de grands projets de développement». Ahmed Ouyahia qui a pris à témoin son auditoire, s'interroge, «qui des Chélifiens pouvait imaginer, il y a seulement quelques années, que sa ville serait dotée d'un aéroport international ? Qui des Chélifiens pensait qu'un jour il ferait le trajet routier Chlef-Alger en moins de deux heures ?, et qui encore des Chélifiens rêvait d'une université de la taille de celle de Chlef ?». Pour lui, «il faut donc distinguer entre ce qui est concret et ce qui relève de la vaine promesse», saluant, par ailleurs, les délégués des défunts exécutifs communaux (DEC), les Groupes de légitime défense (GLD), les gardes communaux et les moudjahidine pour leur rôle dans le rétablissement de la paix civile et la concrétisation de la réconciliation nationale. Pour Ouyahia, le RND «a toujours répondu présent sur le terrain et n'a jamais failli à sa mission qui est celle de contribuer aux côtés des forces vives de la nation au rétablissement de la paix et au développement du pays». Ouyahia n'a pas manqué, lui aussi, de se rappeler que la population du pays est constituée de jeunes. Il a promis à cette frange, dans le programme du RND, «la création de comités locaux pour orienter les jeunes et retenir les projets dont chaque région a besoin». Ces comités aideront, au niveau de chaque wilaya et commune du pays «les jeunes à choisir des secteurs et les projets devant permettre un développement local. Il a également plaidé pour une gestion locale concertée des projets de développement et leur suivi par le wali, les assemblées élues pour accélérer à leur rythme de réalisation», précise le patron du RND . Evoquant les secteurs socioéconomiques, le secrétaire général du RND a indiqué que son parti a proposé d'organiser le marché local au profit de l'agriculteur et le consommateur afin de réduire les prix des denrées alimentaires, d'aider l'accès des jeunes au logement, au travail, et la formation ce qui «contribuerait à renforcer et à améliorer la sécurité et la stabilité du pays», a-t-il estimé. Il a, en outre, souligné que son parti «ne veut dénigrer, ni porter préjudice aux autres formations politiques» et «respecte la composante de toutes les listes de candidats». il a souligné qu'une forte participation aux législatives constituait une opportunité pour garantir la poursuite de l'effort de développement et renforcer le processus démocratique, avant d'exhorter les électeurs à faire le bon choix en votant pour les candidats du RND, «lesquels sont tous des salariés», a-t-il tenu à observer.