Les files d'attente commençaient à s'allonger, hier, en fin de matinée dans les centre de vote installés dans les principales villes de Lille, pour permettre aux Algériens de France d'accomplir leur devoir civique, à l'occasion des législatives2012, a-t-on constaté sur place. Les opérations de vote pour les législatives 2012 se poursuivent à un rythme soutenu dans la plupart des 22 bureaux ouverts dans cette circonscription consulaire. Ils sont nombreux à se rendre aux urnes pour répondre à l'appel du devoir constitutionnel, mais un peu moins que mardi, premier jour de vote. «Ils étaient nombreux à profiter de ce jour férié en France, pour se présenter aux urnes. Aujourd'hui, ils sont moins nombreux, mais l'affluence reste toujours bonne. C'est de bon augure pour la suite des opérations", fait remarquer un responsable d'un bureau de vote à Tourcoing. Imane Salhi, la trentaine, aide-soignante, qui vient juste d'achever sa nuit de garde à l'hôpital a tenu à glisser son bulletin dans l'urne relevant des trois bureaux de vote de Lille ville installés à la salle gymnase de la place Sébastopol. "J'ai voté", dit-elle. "Le vote est un acte citoyen qu'il faut assumer. Et puis ce sont les représentants de l'immigration à l'Assemblée nationale qu'il faut élire, donc c'est à nous de les choisir", affirme-t-elle. Sabrina et sa mère qui viennent de voter, confirment la volonté de la communauté nationale établie en France de participer à la vie politique en Algérie. "J'ai voté par ce que je veux que nous les enfants d'immigrés ayant notre mot à dire. Même si nous sommes nés en France, nous restons attacher à notre pays, à notre culture et à nos racines", explique-t-elle. Dans les bureaux de Roubaix, des files d'attente commencent à se former à la mi-journée sous une pluie fine, alors que les premiers chiffres de participation avancés par les responsables des trois bureaux de vote laissent entrevoir un taux de participation assez élevé à ce scrutin, dissipant à priori les craintes d'une forte abstention. "Nous avons utilisé tous les moyens pour éviter un tel scénario. Un effort colossal a été fourni par les services consulaires et par le mouvement associatif pour amener les Algériens à se rendre en force aux urnes", assure le Consul général de Lille, Boudjemâa Rouibah. Il pense que l'effort de décentralisation des bureaux de vote, introduit en 2007 et poursuivi par l'administration à l'occasion de ces élections, aura l'effet escompté. "Maintenant, les électeurs n'ont plus aucune excuse pour ne pas se rendre aux urnes", estime-t-il. Les files d'attente commençaient à s'allonger, hier, en fin de matinée dans les centre de vote installés dans les principales villes de Lille, pour permettre aux Algériens de France d'accomplir leur devoir civique, à l'occasion des législatives2012, a-t-on constaté sur place. Les opérations de vote pour les législatives 2012 se poursuivent à un rythme soutenu dans la plupart des 22 bureaux ouverts dans cette circonscription consulaire. Ils sont nombreux à se rendre aux urnes pour répondre à l'appel du devoir constitutionnel, mais un peu moins que mardi, premier jour de vote. «Ils étaient nombreux à profiter de ce jour férié en France, pour se présenter aux urnes. Aujourd'hui, ils sont moins nombreux, mais l'affluence reste toujours bonne. C'est de bon augure pour la suite des opérations", fait remarquer un responsable d'un bureau de vote à Tourcoing. Imane Salhi, la trentaine, aide-soignante, qui vient juste d'achever sa nuit de garde à l'hôpital a tenu à glisser son bulletin dans l'urne relevant des trois bureaux de vote de Lille ville installés à la salle gymnase de la place Sébastopol. "J'ai voté", dit-elle. "Le vote est un acte citoyen qu'il faut assumer. Et puis ce sont les représentants de l'immigration à l'Assemblée nationale qu'il faut élire, donc c'est à nous de les choisir", affirme-t-elle. Sabrina et sa mère qui viennent de voter, confirment la volonté de la communauté nationale établie en France de participer à la vie politique en Algérie. "J'ai voté par ce que je veux que nous les enfants d'immigrés ayant notre mot à dire. Même si nous sommes nés en France, nous restons attacher à notre pays, à notre culture et à nos racines", explique-t-elle. Dans les bureaux de Roubaix, des files d'attente commencent à se former à la mi-journée sous une pluie fine, alors que les premiers chiffres de participation avancés par les responsables des trois bureaux de vote laissent entrevoir un taux de participation assez élevé à ce scrutin, dissipant à priori les craintes d'une forte abstention. "Nous avons utilisé tous les moyens pour éviter un tel scénario. Un effort colossal a été fourni par les services consulaires et par le mouvement associatif pour amener les Algériens à se rendre en force aux urnes", assure le Consul général de Lille, Boudjemâa Rouibah. Il pense que l'effort de décentralisation des bureaux de vote, introduit en 2007 et poursuivi par l'administration à l'occasion de ces élections, aura l'effet escompté. "Maintenant, les électeurs n'ont plus aucune excuse pour ne pas se rendre aux urnes", estime-t-il.