Le complexe sidérurgique ArcelorMIttal d'El Hadjar (Annaba) a repris ses activités de production mercredi soir à 22 h, a indiqué, jeudi, la direction générale de l'usine. Le complexe, dont les portes d'entrée principales avaient été fermées durant une trentaine d'heures par des travailleurs suspendus qui protestaient contre cette mesure conservatoire, a repris ses activités normalement après l'intervention des éléments de la Gendarmerie nationale qui ont pu libérer les accès de l'usine sidérurgique. La direction générale a, de son côté, entrepris d'auditionner les travailleurs suspendus, auteurs de l'action de protestation, afin "d'établir le degré de la faute professionnelle commise par chacun d'eux" et prendre, le cas échéant, les mesures disciplinaires qui s'imposent, a-t-on indiqué à la cellule de communication de la direction générale de l'usine. Le secrétaire général par intérim du syndicat d'entreprise, Mourad Difallah, a indiqué, pour sa part, que les travailleurs ont repris leurs activités de production dans la nuit de mercredi à jeudi après le redémarrage du haut-fourneau, mis en veille mercredi matin, et d'ajouter que l'équipe de jour a pris normalement la relève après avoir pu rejoindre "sans encombre" l'usine. Les 30 travailleurs suspendus par la direction générale du complexe avaient fait l'objet de cette mesure conservatoire pour avoir conduit, sur le lieu de travail, une action de protestation liée à un différend syndical opposant les partisans de l'ancien secrétaire général du syndicat (démissionnaire) et ceux favorables à son prédécesseur. Le complexe sidérurgique ArcelorMIttal d'El Hadjar (Annaba) a repris ses activités de production mercredi soir à 22 h, a indiqué, jeudi, la direction générale de l'usine. Le complexe, dont les portes d'entrée principales avaient été fermées durant une trentaine d'heures par des travailleurs suspendus qui protestaient contre cette mesure conservatoire, a repris ses activités normalement après l'intervention des éléments de la Gendarmerie nationale qui ont pu libérer les accès de l'usine sidérurgique. La direction générale a, de son côté, entrepris d'auditionner les travailleurs suspendus, auteurs de l'action de protestation, afin "d'établir le degré de la faute professionnelle commise par chacun d'eux" et prendre, le cas échéant, les mesures disciplinaires qui s'imposent, a-t-on indiqué à la cellule de communication de la direction générale de l'usine. Le secrétaire général par intérim du syndicat d'entreprise, Mourad Difallah, a indiqué, pour sa part, que les travailleurs ont repris leurs activités de production dans la nuit de mercredi à jeudi après le redémarrage du haut-fourneau, mis en veille mercredi matin, et d'ajouter que l'équipe de jour a pris normalement la relève après avoir pu rejoindre "sans encombre" l'usine. Les 30 travailleurs suspendus par la direction générale du complexe avaient fait l'objet de cette mesure conservatoire pour avoir conduit, sur le lieu de travail, une action de protestation liée à un différend syndical opposant les partisans de l'ancien secrétaire général du syndicat (démissionnaire) et ceux favorables à son prédécesseur.