Désormais les Algériens désireux de se rendre en Tunisie pourront le faire en présentant simplement une carte d'identité nationale au lieu et place du passeport. Cette décision ne concerne pas uniquement les Algériens mais bien tous les Maghrébins. Le secrétaire d'Etat tunisien chargé des Affaires arabes et africaines, Abdallah Triki, cité par la presse tunisienne, a confirmé sur les ondes de la radio tunisienne Shems Fm, la décision unilatérale de son pays d'instaurer une liberté d'accès aux Maghrébins par simple carte d'identité. Désormais les Algériens désireux de se rendre en Tunisie pourront le faire en présentant simplement une carte d'identité nationale au lieu et place du passeport. Cette décision ne concerne pas uniquement les Algériens mais bien tous les Maghrébins. Le secrétaire d'Etat tunisien chargé des Affaires arabes et africaines, Abdallah Triki, cité par la presse tunisienne, a confirmé sur les ondes de la radio tunisienne Shems Fm, la décision unilatérale de son pays d'instaurer une liberté d'accès aux Maghrébins par simple carte d'identité. Il dira, également, que d'autres avantages leur seront accordés, à savoir la liberté d'accès au logement, à la propriété, d'investissement et d'emploi sur le territoire, sans obligation d'obtenir une autorisation préalable de l'administration tunisienne. Dernièrement déjà, M. Triki avait annoncé lors d'une conférence en Tunisie qu'« à partir du mois de juillet tous les Maghrébins sans distinction : Algériens, Marocains, Libyens et Mauritaniens pourront se rendre en Tunisie sur simple présentation de la carte d'identité nationale ». Les ressortissants maghrébins n'auront dorénavant plus besoin de carte de séjour et pourront travailler sur le territoire tunisien sans autorisation, a-t-on indiqué. Il faut savoir, que l'accès au territoire tunisien sur simple carte d'identité (sans passeport) est officiellement autorisée par la signature d'un accord avec le Maroc, l'Algérie et la Mauritanie, a par ailleurs fait savoir le secrétaire d'Etat tunisien, avant d'ajouter qu'ils auront le droit de vote aux municipales, et ce droit sera inscrit dans la nouvelle Constitution. Il a également rappelé l'importance du tourisme maghrébin et notamment le flux des Algériens, prévu au nombre de 2,5 millions de touristes cette année, « afin de ne pas contraindre nos hôtels à rester désespérément vides ! » selon ses propres dires. Derrière cette décision, il faut le dire, le désir du gouvernement tunisien de relancer l'activité touristique, entre autres, dont les revenus se sont nettement affaiblis après la révolution de Jasmin. Selon les chiffres officiels, le nombre d'Algériens se rendant en Tunisie pour des vacances, notamment en cette saison estivale, est important. A ce chiffre s'ajoute celui des autres touristes des pays de la zone maghrébine. Ces revenus générés par ce secteur (le tourisme), faut-il le rappeler, sont depuis longtemps la seule ressource du pays. « Nous pouvons doubler le nombre de touristes algériens en Tunisie, si nous améliorons l'attractivité de l'offre », a affirmé à Alger, Habib Ammar, directeur général de l'Office national du tourisme tunisien, lors de sa participation à la 13e édition du Sitev, Salon international du tourisme et des voyages, du 16 au 19 mai. Rien qu'en 2011, ils ont été 700.000 Algériens à avoir traversé la frontière pour aller passer leurs vacances en Tunisie, selon lui. Il dira, également, que d'autres avantages leur seront accordés, à savoir la liberté d'accès au logement, à la propriété, d'investissement et d'emploi sur le territoire, sans obligation d'obtenir une autorisation préalable de l'administration tunisienne. Dernièrement déjà, M. Triki avait annoncé lors d'une conférence en Tunisie qu'« à partir du mois de juillet tous les Maghrébins sans distinction : Algériens, Marocains, Libyens et Mauritaniens pourront se rendre en Tunisie sur simple présentation de la carte d'identité nationale ». Les ressortissants maghrébins n'auront dorénavant plus besoin de carte de séjour et pourront travailler sur le territoire tunisien sans autorisation, a-t-on indiqué. Il faut savoir, que l'accès au territoire tunisien sur simple carte d'identité (sans passeport) est officiellement autorisée par la signature d'un accord avec le Maroc, l'Algérie et la Mauritanie, a par ailleurs fait savoir le secrétaire d'Etat tunisien, avant d'ajouter qu'ils auront le droit de vote aux municipales, et ce droit sera inscrit dans la nouvelle Constitution. Il a également rappelé l'importance du tourisme maghrébin et notamment le flux des Algériens, prévu au nombre de 2,5 millions de touristes cette année, « afin de ne pas contraindre nos hôtels à rester désespérément vides ! » selon ses propres dires. Derrière cette décision, il faut le dire, le désir du gouvernement tunisien de relancer l'activité touristique, entre autres, dont les revenus se sont nettement affaiblis après la révolution de Jasmin. Selon les chiffres officiels, le nombre d'Algériens se rendant en Tunisie pour des vacances, notamment en cette saison estivale, est important. A ce chiffre s'ajoute celui des autres touristes des pays de la zone maghrébine. Ces revenus générés par ce secteur (le tourisme), faut-il le rappeler, sont depuis longtemps la seule ressource du pays. « Nous pouvons doubler le nombre de touristes algériens en Tunisie, si nous améliorons l'attractivité de l'offre », a affirmé à Alger, Habib Ammar, directeur général de l'Office national du tourisme tunisien, lors de sa participation à la 13e édition du Sitev, Salon international du tourisme et des voyages, du 16 au 19 mai. Rien qu'en 2011, ils ont été 700.000 Algériens à avoir traversé la frontière pour aller passer leurs vacances en Tunisie, selon lui.