ATM Mobilis, premier opérateur de téléphonie mobile en Algérie, tient à apporter des clarifications qui s'imposent, suite aux déclarations faites par un opérateur, qui ayant saisi l'occasion de l'entretien accordé à l'APS par M. Saad Damma, Président- directeur général au sujet du plan de développement de Mobilis, tente de créer la polémique et l'amalgame en associant nos préoccupations aux siennes, alors qu'elles ne relèvent pas de la même nature ni du même intérêt. Mobilis opérateur public a, depuis sa création, œuvré à assurer la disponibilité du service de téléphonie mobile partout et pour tous, en permettant le désenclavement des localités les plus reculées du pays. Ceci bien au delà de ses obligations dictées par le cahier des charges auquel tous les opérateurs sont astreints et grâce à des plans d'investissements continus. L'évolution de Mobilis sur le marché tout comme celle des autres opérateurs est régie par les lois et règles sur lesquelles veillent différentes instances telles que l'Autorité de régulation, le Conseil de la concurrence, le ministère du Commerce et les pouvoirs publics d'une manière générale. Il est évident qu'aucun opérateur ne peut avoir une réelle assise sur le marché, sans consentir de réels et importants investissements sur le plan technique pour desservir tous les abonnés y compris ceux se trouvent dans des zones à faible rentabilité. Une concurrence loyale doit donc être assurée pour préserver le patrimoine des opérateurs. Un opérateur ne peut se dérober de ses obligations telles que dictées dans le cahier des charges de la licence, en mettant en avant «un rééquilibrage du marché» dont l'idée sous tendue est de pouvoir accéder aux équipements et installations ,réseau des autres opérateurs, subterfuge pour ne consentir aucun investissement et se limiter à la génération de profits et de dividendes. ATM Mobilis, relève que ces déclarations sont à associer à d'autres, faites par des experts autoproclamés, se présentant comme neutres, et qui préconisent des solutions alternatives qui ne tiennent pas compte des intérêts de tous les acteurs du marché. ATM Mobilis se dissocie et se démarque des déclarations faites par cet opérateur, l'expression de nos préoccupations qui sont d'ordre opérationnel, en relation avec les pratiques commerciales et le respect des procédures administratives pour la construction de relais télécom, a été exploitée à des fins stratégiques et purement financières. Pour plus d'information, rendez-vous sur le site de Mobilis au http://www.mobilis.dz. ATM Mobilis, premier opérateur de téléphonie mobile en Algérie, tient à apporter des clarifications qui s'imposent, suite aux déclarations faites par un opérateur, qui ayant saisi l'occasion de l'entretien accordé à l'APS par M. Saad Damma, Président- directeur général au sujet du plan de développement de Mobilis, tente de créer la polémique et l'amalgame en associant nos préoccupations aux siennes, alors qu'elles ne relèvent pas de la même nature ni du même intérêt. Mobilis opérateur public a, depuis sa création, œuvré à assurer la disponibilité du service de téléphonie mobile partout et pour tous, en permettant le désenclavement des localités les plus reculées du pays. Ceci bien au delà de ses obligations dictées par le cahier des charges auquel tous les opérateurs sont astreints et grâce à des plans d'investissements continus. L'évolution de Mobilis sur le marché tout comme celle des autres opérateurs est régie par les lois et règles sur lesquelles veillent différentes instances telles que l'Autorité de régulation, le Conseil de la concurrence, le ministère du Commerce et les pouvoirs publics d'une manière générale. Il est évident qu'aucun opérateur ne peut avoir une réelle assise sur le marché, sans consentir de réels et importants investissements sur le plan technique pour desservir tous les abonnés y compris ceux se trouvent dans des zones à faible rentabilité. Une concurrence loyale doit donc être assurée pour préserver le patrimoine des opérateurs. Un opérateur ne peut se dérober de ses obligations telles que dictées dans le cahier des charges de la licence, en mettant en avant «un rééquilibrage du marché» dont l'idée sous tendue est de pouvoir accéder aux équipements et installations ,réseau des autres opérateurs, subterfuge pour ne consentir aucun investissement et se limiter à la génération de profits et de dividendes. ATM Mobilis, relève que ces déclarations sont à associer à d'autres, faites par des experts autoproclamés, se présentant comme neutres, et qui préconisent des solutions alternatives qui ne tiennent pas compte des intérêts de tous les acteurs du marché. ATM Mobilis se dissocie et se démarque des déclarations faites par cet opérateur, l'expression de nos préoccupations qui sont d'ordre opérationnel, en relation avec les pratiques commerciales et le respect des procédures administratives pour la construction de relais télécom, a été exploitée à des fins stratégiques et purement financières. Pour plus d'information, rendez-vous sur le site de Mobilis au http://www.mobilis.dz.