De nombreux candidats aux élections locales des APC et APW ont d'ores et déjà entamé les premières démarches en vue de renouer avec leurs concitoyens en vue de les sensibiliser autours des élections locales, prévues, selon les déclarations d'hier du ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, le 29 octobre prochain. Bien que peut ressentie, une effervescence «électorale» particulière a déjà gagné certaines formations et candidats indépendants au poste de président d'APC. A chacun sa méthode. Les leaders des partis politiques ont eu l'occasion d'apporter plus de précisions sur les modalités de candidatures exigées à leurs futurs candidats. Cette anticipation a été perçue par certains observateurs, comme une alternative entreprise par les directoires des partis en vue d'éviter que le scénario de l'opération de confection des listes de candidatures aux dernières législatives ne se répète. Cette opération, faut-il le rappeler, a été marquée par une vague de dissidence qui n'aura épargné que quelques microcosmes politiques, du fait que ces derniers, eux-mêmes, soient dérivés d'anciennes formations politiques. Le RND a décidé, cette fois-ci, d'ouvrir ses listes à tous les candidats, y compris ceux qui ne sont pas de ses rangs. Il n'est donc pas plus question d'ancienneté que de sympathie pour ledit parti, a-t-on affirmé du côté du bureau national du RND. L'ex-parti unique, par la voix de son secrétaire général, Belkhadem, veut mobiliser les jeunes militants de sa formation autours de la question des élections locales. De son côté, la porte-parole du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, s'attèle, avec le concours des membres et militants de son parti, à évaluer le bilan des 50 années d'indépendances dans leur volet socioéconomique ; c'est une autre manière pour définir la prochaine démarche politique démocratique nationale. Par ailleurs, plusieurs formations politiques en cours de création ne pourront pas participer aux prochaines élections, a annoncé Ould Kablia. L'Alliance citoyenne, à titre d'exemple, aura été frappée par une fronde avant même sa création, ce qui a mené à son retrait de la liste des partis qui entreront en lice des élections locales. Par contre, tout va bien du côté de Amar Ghoul . Il est attendu que le parti de l'ex-ministre des Travaux publics et dissident du Mouvement pour la société et la paix, le Tadjamou Amel Al Djazaïr (TAJ) entrera en course pour les prochaines élections. Selon son leader et fondateur, Amar Ghoul, le TAJ proposera des candidats des trois tendances politiques, islamistes, modernistes et nationalistes. La course au poste de président d'APC est donc ouverte. Il faut dire que l'enjeu est de taille, puisque les élus locaux demeurent dépourvus de tout pouvoir et prérogatives. Nombre d'entre eux, peinent à répondre aux revendications des citoyens. Un «échec» que les élus apparentent au fait qu'ils ne bénéficient d'aucune prérogative leur permettant de remplir leurs principales missions de représentants du peuple. Invité par une chaîne de télévision privée algérienne, le président de l'APC de Sidi Mhamed, Mokhtar Bouirouina, déplorait le fait que «tout élu devient, fatalement, un commis de l'Etat» et ne parvient pas à répondre aux demandes des citoyens, notamment, sur la question de la distribution de logements sociaux et d'autres plans qui ne manquent pas d'importance. Les prochaines échéances seront manifestement, décisives sur le plan socioéconomique, d'autant plus qu'un nouveau code de wilaya a été approuvé par la Chambre basse. Celui-ci encourage à une plus grande coordination entre les différentes parties, élues, exécutives et wilayas, dans le cadre d'une bonne gouvernance favorisant une nette amélioration du cadre de vie des citoyens. Il est à noter, que plus de 40 formations politiques ont déjà exprimé leur volonté d'entrer en lice dans les prochaines élections communales. Ces mêmes formations politiques auront eu tout le temps nécessaire pour mettre en œuvre leurs plans d'actions et présenter, enfin, les véritables projets de société qui ont manqué aux échéances législatives du 10 mai dernier. De nombreux candidats aux élections locales des APC et APW ont d'ores et déjà entamé les premières démarches en vue de renouer avec leurs concitoyens en vue de les sensibiliser autours des élections locales, prévues, selon les déclarations d'hier du ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, le 29 octobre prochain. Bien que peut ressentie, une effervescence «électorale» particulière a déjà gagné certaines formations et candidats indépendants au poste de président d'APC. A chacun sa méthode. Les leaders des partis politiques ont eu l'occasion d'apporter plus de précisions sur les modalités de candidatures exigées à leurs futurs candidats. Cette anticipation a été perçue par certains observateurs, comme une alternative entreprise par les directoires des partis en vue d'éviter que le scénario de l'opération de confection des listes de candidatures aux dernières législatives ne se répète. Cette opération, faut-il le rappeler, a été marquée par une vague de dissidence qui n'aura épargné que quelques microcosmes politiques, du fait que ces derniers, eux-mêmes, soient dérivés d'anciennes formations politiques. Le RND a décidé, cette fois-ci, d'ouvrir ses listes à tous les candidats, y compris ceux qui ne sont pas de ses rangs. Il n'est donc pas plus question d'ancienneté que de sympathie pour ledit parti, a-t-on affirmé du côté du bureau national du RND. L'ex-parti unique, par la voix de son secrétaire général, Belkhadem, veut mobiliser les jeunes militants de sa formation autours de la question des élections locales. De son côté, la porte-parole du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, s'attèle, avec le concours des membres et militants de son parti, à évaluer le bilan des 50 années d'indépendances dans leur volet socioéconomique ; c'est une autre manière pour définir la prochaine démarche politique démocratique nationale. Par ailleurs, plusieurs formations politiques en cours de création ne pourront pas participer aux prochaines élections, a annoncé Ould Kablia. L'Alliance citoyenne, à titre d'exemple, aura été frappée par une fronde avant même sa création, ce qui a mené à son retrait de la liste des partis qui entreront en lice des élections locales. Par contre, tout va bien du côté de Amar Ghoul . Il est attendu que le parti de l'ex-ministre des Travaux publics et dissident du Mouvement pour la société et la paix, le Tadjamou Amel Al Djazaïr (TAJ) entrera en course pour les prochaines élections. Selon son leader et fondateur, Amar Ghoul, le TAJ proposera des candidats des trois tendances politiques, islamistes, modernistes et nationalistes. La course au poste de président d'APC est donc ouverte. Il faut dire que l'enjeu est de taille, puisque les élus locaux demeurent dépourvus de tout pouvoir et prérogatives. Nombre d'entre eux, peinent à répondre aux revendications des citoyens. Un «échec» que les élus apparentent au fait qu'ils ne bénéficient d'aucune prérogative leur permettant de remplir leurs principales missions de représentants du peuple. Invité par une chaîne de télévision privée algérienne, le président de l'APC de Sidi Mhamed, Mokhtar Bouirouina, déplorait le fait que «tout élu devient, fatalement, un commis de l'Etat» et ne parvient pas à répondre aux demandes des citoyens, notamment, sur la question de la distribution de logements sociaux et d'autres plans qui ne manquent pas d'importance. Les prochaines échéances seront manifestement, décisives sur le plan socioéconomique, d'autant plus qu'un nouveau code de wilaya a été approuvé par la Chambre basse. Celui-ci encourage à une plus grande coordination entre les différentes parties, élues, exécutives et wilayas, dans le cadre d'une bonne gouvernance favorisant une nette amélioration du cadre de vie des citoyens. Il est à noter, que plus de 40 formations politiques ont déjà exprimé leur volonté d'entrer en lice dans les prochaines élections communales. Ces mêmes formations politiques auront eu tout le temps nécessaire pour mettre en œuvre leurs plans d'actions et présenter, enfin, les véritables projets de société qui ont manqué aux échéances législatives du 10 mai dernier.