Les habitants de la cité Gargour, situé au chef- lieu de la commune de Chiffa, wilaya de Blida, menacent de sortir dans la rue pour tenter d'attirer l'attention des élus locaux sur les condition de vie. La cité Gargour qui se niche dans la hauteur de la commune de Chiffa est isolée du monde extérieur en raison de l'absence de toutes infrastructures qui pourrait alléger leur vie quotidienne. « Aucun des responsables de la commune n'a pris la peine de venir s'enquérir de notre situation et ce durant toutes ces dernières années », déplore l'un des habitants rencontré au centre de ce lieu rural. L'homme, un quadragénaire, se plaint aussi de ce que les plans de développement ruraux inscrits par le gouvernement au profit des paysans n'ont pas été, à ce jour, réalisés. Les habitants de la cité Gargour demandent aux responsables locaux de tenir leurs engagements avant que la situation ne se dégrade encore plus. En effet les familles déplorent « l'inertie » des membres de l'exécutif communal qui ne font pas l'effort d'améliorer leur situation. Ils dénoncent « l'oubli » par les élus locaux des projets destinés à rendre leur quotidien plus digne. Ils s'interrogent sur les projets qui dorment dans les tiroirs de l'APC de la Chiffa, d'autant plus que la saison hivernale, tant redoutée, pointe le bout du nez. Ils craignent que les pluies hivernales ne leur rendent le quotidien encore plus pénible en raison de la dégradation du réseau d'assainissement et du réseau d'évacuation des eaux usées. Le ramassage des ordures ménagères est l'autre souci de ces familles vu que leur enlèvement se fait d'une manière aléatoire, générant des décharges sauvages devenant, à leurs tours, un terrain propice à la prolifération des insectes et rongeurs, vecteurs de maladies dangereuses pour la santé publique. Il est égamement réclamé la réhabilitation des routes menant vers la cité qui sont dans un état lamentable. Ils souhaitent que les élus locaux répondent le plus tôt possible à leurs doléances pour leur éviter d'avoir recours à des « actions radicales » pour faire aboutir leurs revendications. Les habitants de la cité Gargour, situé au chef- lieu de la commune de Chiffa, wilaya de Blida, menacent de sortir dans la rue pour tenter d'attirer l'attention des élus locaux sur les condition de vie. La cité Gargour qui se niche dans la hauteur de la commune de Chiffa est isolée du monde extérieur en raison de l'absence de toutes infrastructures qui pourrait alléger leur vie quotidienne. « Aucun des responsables de la commune n'a pris la peine de venir s'enquérir de notre situation et ce durant toutes ces dernières années », déplore l'un des habitants rencontré au centre de ce lieu rural. L'homme, un quadragénaire, se plaint aussi de ce que les plans de développement ruraux inscrits par le gouvernement au profit des paysans n'ont pas été, à ce jour, réalisés. Les habitants de la cité Gargour demandent aux responsables locaux de tenir leurs engagements avant que la situation ne se dégrade encore plus. En effet les familles déplorent « l'inertie » des membres de l'exécutif communal qui ne font pas l'effort d'améliorer leur situation. Ils dénoncent « l'oubli » par les élus locaux des projets destinés à rendre leur quotidien plus digne. Ils s'interrogent sur les projets qui dorment dans les tiroirs de l'APC de la Chiffa, d'autant plus que la saison hivernale, tant redoutée, pointe le bout du nez. Ils craignent que les pluies hivernales ne leur rendent le quotidien encore plus pénible en raison de la dégradation du réseau d'assainissement et du réseau d'évacuation des eaux usées. Le ramassage des ordures ménagères est l'autre souci de ces familles vu que leur enlèvement se fait d'une manière aléatoire, générant des décharges sauvages devenant, à leurs tours, un terrain propice à la prolifération des insectes et rongeurs, vecteurs de maladies dangereuses pour la santé publique. Il est égamement réclamé la réhabilitation des routes menant vers la cité qui sont dans un état lamentable. Ils souhaitent que les élus locaux répondent le plus tôt possible à leurs doléances pour leur éviter d'avoir recours à des « actions radicales » pour faire aboutir leurs revendications.