La nouvelle du décès du 3e président de la République algérienne, Chadli Bendjedid, a provoqué une vive émotion dans la wilaya d'El Tarf, en particulier dans son village natal de Sebaâ, et à Annaba où résident plusieurs membres de sa famille, ont constaté samedi soir des journalistes de l'APS. Dans la petite localité de Sebaâ, où le regretté président était né en 1929, la mauvaise nouvelle qui a rapidement circulé de bouche à oreille, a jeté la consternation parmi la population. Une population qui est cependant restée très digne, malgré une profonde tristesse. Dans la ville de Annaba, les citoyens étaient tout aussi consternés. Plusieurs membres de la famille Bendjedid, résidant depuis de nombreuses années dans la cité bônoise, de nombreux Annabis ont aussitôt cherché à les contacter pour leur présenter de vive voix leurs condoléances. C'est le cas de Chahra F. (48 ans), native de Sebaâ, cadre au Trésor public à Annaba, qui parvient mal à cacher son émotion: "M. Bendjedid était un vrai patriote dont personne ne peut mettre en doute l'engagement sincère au service de l'Algérie", réussit-elle à lâcher avant d'enchaîner que le président défunt appartient désormais à la "grande Histoire de notre pays au même titre que ses figures les plus illustres". La nouvelle du décès du 3e président de la République algérienne, Chadli Bendjedid, a provoqué une vive émotion dans la wilaya d'El Tarf, en particulier dans son village natal de Sebaâ, et à Annaba où résident plusieurs membres de sa famille, ont constaté samedi soir des journalistes de l'APS. Dans la petite localité de Sebaâ, où le regretté président était né en 1929, la mauvaise nouvelle qui a rapidement circulé de bouche à oreille, a jeté la consternation parmi la population. Une population qui est cependant restée très digne, malgré une profonde tristesse. Dans la ville de Annaba, les citoyens étaient tout aussi consternés. Plusieurs membres de la famille Bendjedid, résidant depuis de nombreuses années dans la cité bônoise, de nombreux Annabis ont aussitôt cherché à les contacter pour leur présenter de vive voix leurs condoléances. C'est le cas de Chahra F. (48 ans), native de Sebaâ, cadre au Trésor public à Annaba, qui parvient mal à cacher son émotion: "M. Bendjedid était un vrai patriote dont personne ne peut mettre en doute l'engagement sincère au service de l'Algérie", réussit-elle à lâcher avant d'enchaîner que le président défunt appartient désormais à la "grande Histoire de notre pays au même titre que ses figures les plus illustres".
