Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, réfugié à l'ambassade d'Equateur à Londres depuis cinq mois, publiera en mars 2013 aux Editions Robert Laffont un "Manuel d'insurrection. Comment Internet nous surveille", a annoncé l'éditeur. Il s'agit d'un livre en forme de conversation entre l'Australien Julian Assange et des chercheurs et spécialistes des données sur internet, Jacob Appelbaum, chercheur américain en sécurité informatique, Andy Müller-Maguhn, spécialiste allemand des techniques de surveillance et de cryptage sur internet et le Français Jérémie Zimmermann, porte-parole de la Quadrature du Net, association européenne de défense des libertés sur internet. M. Assange, 41 ans, qui souffre selon l'ambassadrice équatorienne au Royaume Uni d'une affection pulmonaire, est réfugié à l'ambassade d'Equateur à Londres afin d'échapper à son extradition vers la Suède pour une affaire de viol et d'agression sexuelle présumés qu'il a toujours niés. L'Equateur lui a accordé l'asile politique, mais Londres entend appliquer le mandat d'arrêt suédois. Les tractations entre les deux pays n'ont pour l'instant débouché sur aucune solution. Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, réfugié à l'ambassade d'Equateur à Londres depuis cinq mois, publiera en mars 2013 aux Editions Robert Laffont un "Manuel d'insurrection. Comment Internet nous surveille", a annoncé l'éditeur. Il s'agit d'un livre en forme de conversation entre l'Australien Julian Assange et des chercheurs et spécialistes des données sur internet, Jacob Appelbaum, chercheur américain en sécurité informatique, Andy Müller-Maguhn, spécialiste allemand des techniques de surveillance et de cryptage sur internet et le Français Jérémie Zimmermann, porte-parole de la Quadrature du Net, association européenne de défense des libertés sur internet. M. Assange, 41 ans, qui souffre selon l'ambassadrice équatorienne au Royaume Uni d'une affection pulmonaire, est réfugié à l'ambassade d'Equateur à Londres afin d'échapper à son extradition vers la Suède pour une affaire de viol et d'agression sexuelle présumés qu'il a toujours niés. L'Equateur lui a accordé l'asile politique, mais Londres entend appliquer le mandat d'arrêt suédois. Les tractations entre les deux pays n'ont pour l'instant débouché sur aucune solution.