Aujourd'hui, c'est le sbire du roi, Hamid Chabat, qui se fait du cinéma en appelant à la reconquête des territoires frontaliers qu'il considère marocains. Sans doute, ce chef du parti El Istiqlal, pour le nommer, est frappé d'amnésie «sélective» Aujourd'hui, c'est le sbire du roi, Hamid Chabat, qui se fait du cinéma en appelant à la reconquête des territoires frontaliers qu'il considère marocains. Sans doute, ce chef du parti El Istiqlal, pour le nommer, est frappé d'amnésie «sélective» L‘Algérie est incontestablement la «bête noire» du royaume chérifien. La fermeture des frontières depuis 1994 fait jaillir le venin et le conflit avec le Sahara occidental a fait le reste. Le Maroc fait porter le chapeau à l‘Algérie qui milite en faveur de l‘application des résolutions de l‘Onu pour l‘organisation d‘un référendum du peuple sahraoui. Et c‘est l‘os qui est en travers de la gorge d‘un Maroc qui fait dans la provoc‘ en guise de répliques comme les campagnes de dénigrement orchestrées par les médias marocains à l‘encontre de notre pays mais ce qui tue le plus c‘est le mépris qu‘affichent les autorités algériennes qui appliquent à la lettre l‘adage populaire «Bien faire et laisser braire, tout entendre et ne rien dire». Ce qui fait monter en degré toute la rancœur que nous voue Rabat. La dernière sortie en date nous vient du secrétaire général du parti nationaliste marocain qui devant un parterre de militants appelle à lancer une offensive contre l‘Algérie pour récupérer Tindouf et Béchar «des territoires colonisés par l‘Algérie». Une revendication pernicieuse qui avait été déjà posée en 2010 par une pseudo association marocaine de défense des régions expropriées de l‘est marocain qui a eu l‘outrecuidance d‘adresser une lettre à l‘l‘Elysée pour demander à la France de "prendre ses responsabilités pour faire évacuer le Sahara des Algériens et le restituer au Maroc". Excusez du peu ! Cependant, le cabinet de Nicolas Sarkozy de l‘époque avait fait montre de l‘intérêt de ces «sollicitations». Un autre illuminé entre dans la danse, il s‘agit d‘un homme d‘affaires franco- algérien, Rachid Nekkaz, qui postule pour la présidentielle de 2014. Thème de campagne : la réouverture des frontières terrestres avec le Marocqui représente selon cet «éminent économiste» "un déficit de trois points". Aujourd‘hui, c‘est le sbire du roi, Hamid Chabat, qui se fait du cinéma en appelant à la reconquête des territoires frontaliers qu‘il considère marocains. Sans doute, ce chef du parti El Istiqlal pour le nommer est frappé d‘amnésie «sélective». Il serait bon de lui rappeler que le 28 mai 1992, la Chambre des représentants du royaume chérifien a ratifié à son tour le traité de 1972 délimitant la frontière avec l‘Algérie et que le «Grand Maroc» revendiqué par l‘Istiqlal en 1956 n‘aura été qu‘un vœu pieux. Les récentes déclarations incendiaires à l‘égard de l‘Algérie vont à contre-courant de la construction d‘un grand Maghreb unifié. Et c‘est là encore un autre vœu pieux. L‘Algérie est incontestablement la «bête noire» du royaume chérifien. La fermeture des frontières depuis 1994 fait jaillir le venin et le conflit avec le Sahara occidental a fait le reste. Le Maroc fait porter le chapeau à l‘Algérie qui milite en faveur de l‘application des résolutions de l‘Onu pour l‘organisation d‘un référendum du peuple sahraoui. Et c‘est l‘os qui est en travers de la gorge d‘un Maroc qui fait dans la provoc‘ en guise de répliques comme les campagnes de dénigrement orchestrées par les médias marocains à l‘encontre de notre pays mais ce qui tue le plus c‘est le mépris qu‘affichent les autorités algériennes qui appliquent à la lettre l‘adage populaire «Bien faire et laisser braire, tout entendre et ne rien dire». Ce qui fait monter en degré toute la rancœur que nous voue Rabat. La dernière sortie en date nous vient du secrétaire général du parti nationaliste marocain qui devant un parterre de militants appelle à lancer une offensive contre l‘Algérie pour récupérer Tindouf et Béchar «des territoires colonisés par l‘Algérie». Une revendication pernicieuse qui avait été déjà posée en 2010 par une pseudo association marocaine de défense des régions expropriées de l‘est marocain qui a eu l‘outrecuidance d‘adresser une lettre à l‘l‘Elysée pour demander à la France de "prendre ses responsabilités pour faire évacuer le Sahara des Algériens et le restituer au Maroc". Excusez du peu ! Cependant, le cabinet de Nicolas Sarkozy de l‘époque avait fait montre de l‘intérêt de ces «sollicitations». Un autre illuminé entre dans la danse, il s‘agit d‘un homme d‘affaires franco- algérien, Rachid Nekkaz, qui postule pour la présidentielle de 2014. Thème de campagne : la réouverture des frontières terrestres avec le Marocqui représente selon cet «éminent économiste» "un déficit de trois points". Aujourd‘hui, c‘est le sbire du roi, Hamid Chabat, qui se fait du cinéma en appelant à la reconquête des territoires frontaliers qu‘il considère marocains. Sans doute, ce chef du parti El Istiqlal pour le nommer est frappé d‘amnésie «sélective». Il serait bon de lui rappeler que le 28 mai 1992, la Chambre des représentants du royaume chérifien a ratifié à son tour le traité de 1972 délimitant la frontière avec l‘Algérie et que le «Grand Maroc» revendiqué par l‘Istiqlal en 1956 n‘aura été qu‘un vœu pieux. Les récentes déclarations incendiaires à l‘égard de l‘Algérie vont à contre-courant de la construction d‘un grand Maghreb unifié. Et c‘est là encore un autre vœu pieux.