On sait à présent que "l'état de santé du président Bouteflika s'améliore de jour en jour". C'est le Premier ministre, Abdelmalek Sellal qui l'a assuré lundi en fin d'après-midi. On sait à présent que "l'état de santé du président Bouteflika s'améliore de jour en jour". C'est le Premier ministre, Abdelmalek Sellal qui l'a assuré lundi en fin d'après-midi. Se voulant encore plus rassurant et pour dissiper tous les doutes alimentés par une absence de la communication officielle sur l'état de santé du chef de l'Etat, le Premier ministre a tenu à affirmer que la maladie de Bouteflika "ne sera bientôt plus qu'un mauvais". La déclaration de Abdelmalek Sellal sur le sujet est limpide et surtout précise. Il rassure les Algériens, inquiets d'une absence prolongée, plus que de raison du président de la République. Au premier jour de son hospitalisation, le Pr Boughebal avait assuré que le chef de l'Etat admis le 27 avril dernier à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris, aura tout au plus 7 jours de convalescence. Plus de vingt jours plus tard, le chef de l'Etat n'est pas rentré au pays. Des rumeurs font office d'informations. La population s'interroge et doute de la version officielle, qui affirme que le président Bouteflika est en convalescence. Le Premier ministre : "Je voudrais rassurer nos concitoyens sur l'état de santé de Monsieur le président de la République. Après avoir subi des examens médicaux à l'hôpital Val de Grâce à Paris, le président de la République, dont le pronostic vital n'a jamais été engagé et qui voit son état de santé s'améliorer de jour en jour, est tenu, sur recommandation de ses médecins, d'observer un strict repos en vue d'un total rétablissement. En convalescence en France, le président de la République suit journellement les activités du gouvernement, en attendant son retour pour poursuivre sa mission au service de l'Algérie et de la nation. Nous sommes persuadés que les Algériennes et les Algériens comprendront qu'à travers la diffusion de fausses informations par certains médias étrangers concernant le président de la République, institution républicaine garante de la stabilité et de la sécurité nationales, c'est en fait l'Algérie qui est visée dans ses fondements républicains, son développement et sa sécurité". On sait aussi que le président Abdelaziz Bouteflika se trouve toujours en France, avait indiqué, lundi 20 mai, le ministre français des Affaires étrangères, selon les chaînes de télévision France 24 et BFM. Ce qui enlève toute crédibilité aux infos diffusées ça et là par certains médias qui le donnait "comateux" à Alger. Mais les deux médias n'ont fourni aucune indication supplémentaire sur le lieu de séjour du chef de l'Etat. Est-il toujours à l'hôpital du Val-de-Grâce ? Est-il en convalescence dans la capitale française ? Nulle information ne circule sur le lieu où se trouverait le président de la République. Les autorités algériennes et françaises ne soufflent mot sur l'endroit où séjournerait le premier magistrat du pays, si ce n'est une confirmation de l'évolution favorable de son état de santé. Cette confirmation est venue, hier, du président du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah. Il a affirmé, hier, à Alger que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika "se porte bien", appelant ceux qu'il a qualifiés de "prêcheurs du désespoir" à "laisser l'homme se reposer et revenir au pays pour poursuivre l'œuvre de construction et d'édification du pays". Dans son allocution d'ouverture de la journée d'étude sur "le Conseil de la Nation: expérience et perspectives", Abdelkader Bensalah qui a tiré à boulets rouges sur les oiseaux de mauvais augure a précisé que le Président était "en bonne santé, grâce à Dieu", lui a souhaité "la guérison et un rapide retour au pays", appelant ceux qu'il a qualifié de "brailleurs" et de "prêcheurs du désespoir" à "laisser l'homme se reposer". Autre confirmation sur l'évolution favorable de l'état de santé de Bouteflika. Elle émane de Hervé Bourges qui était à Alger récemment pour présenter son film : L'Algérie à l'épreuve du pouvoir. Dans une déclaration à la presse, Hervé Bourges affirme qu'"il n'y a pas de nouvelle officielle, la seule chose que je sache c'est que normalement il ne serait pas à Alger, mais toujours à Paris au Val-de-Grâce", assure-t-il. Mais je n'ai pas d'information officielle. Ce que je sais aussi, c'est que lors du dernier Conseil des ministres, qui s'est tenu à Alger mercredi dernier, je crois savoir que le Premier ministre a indiqué qu'il avait eu le président au téléphone et il a même donné des précisions en indiquant qu' il fallait aller dans tel sens avec la coopération avec la Chine, car il doit y avoir une rencontre importante entre les deux pays pour mettre au point des textes nouveaux. Donc c'est quelque chose de très précis. Je ne pense pas que le Premier ministre avancerait des choses de ce genre s'il ne les tenait pas de la bouche du président Bouteflika. Et ça m'étonnerait qu'il puisse tenir ça de la bouche de quelqu'un qui se trouverait, comme certains ont pu l'affirmer sans preuve, dans un coma profond". Pour autant, il y aura toujours dans l'esprit des sceptiques un doute sur la sincérité des déclarations des officiels algériens. Et pour cause, pourquoi le gouvernement algérien est sorti de son silence bien après que le battage médiatique lié à l'état de santé du chef de l'Etat eu un mauvais effet sur le moral des Algériens ? Une communication officielle défaillante et incertaine qui a conduit les autorités algériennes à appliquer un black-out total sur la santé du président Abdelaziz Bouteflika. Le commun des mortels s'interroge sur le pourquoi de ce black-out. Un simple communiqué aurait renseigné la population algérienne et évité bien des rumeurs qui ont trouvé un terrain favorable pour se propager. Se voulant encore plus rassurant et pour dissiper tous les doutes alimentés par une absence de la communication officielle sur l'état de santé du chef de l'Etat, le Premier ministre a tenu à affirmer que la maladie de Bouteflika "ne sera bientôt plus qu'un mauvais". La déclaration de Abdelmalek Sellal sur le sujet est limpide et surtout précise. Il rassure les Algériens, inquiets d'une absence prolongée, plus que de raison du président de la République. Au premier jour de son hospitalisation, le Pr Boughebal avait assuré que le chef de l'Etat admis le 27 avril dernier à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris, aura tout au plus 7 jours de convalescence. Plus de vingt jours plus tard, le chef de l'Etat n'est pas rentré au pays. Des rumeurs font office d'informations. La population s'interroge et doute de la version officielle, qui affirme que le président Bouteflika est en convalescence. Le Premier ministre : "Je voudrais rassurer nos concitoyens sur l'état de santé de Monsieur le président de la République. Après avoir subi des examens médicaux à l'hôpital Val de Grâce à Paris, le président de la République, dont le pronostic vital n'a jamais été engagé et qui voit son état de santé s'améliorer de jour en jour, est tenu, sur recommandation de ses médecins, d'observer un strict repos en vue d'un total rétablissement. En convalescence en France, le président de la République suit journellement les activités du gouvernement, en attendant son retour pour poursuivre sa mission au service de l'Algérie et de la nation. Nous sommes persuadés que les Algériennes et les Algériens comprendront qu'à travers la diffusion de fausses informations par certains médias étrangers concernant le président de la République, institution républicaine garante de la stabilité et de la sécurité nationales, c'est en fait l'Algérie qui est visée dans ses fondements républicains, son développement et sa sécurité". On sait aussi que le président Abdelaziz Bouteflika se trouve toujours en France, avait indiqué, lundi 20 mai, le ministre français des Affaires étrangères, selon les chaînes de télévision France 24 et BFM. Ce qui enlève toute crédibilité aux infos diffusées ça et là par certains médias qui le donnait "comateux" à Alger. Mais les deux médias n'ont fourni aucune indication supplémentaire sur le lieu de séjour du chef de l'Etat. Est-il toujours à l'hôpital du Val-de-Grâce ? Est-il en convalescence dans la capitale française ? Nulle information ne circule sur le lieu où se trouverait le président de la République. Les autorités algériennes et françaises ne soufflent mot sur l'endroit où séjournerait le premier magistrat du pays, si ce n'est une confirmation de l'évolution favorable de son état de santé. Cette confirmation est venue, hier, du président du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah. Il a affirmé, hier, à Alger que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika "se porte bien", appelant ceux qu'il a qualifiés de "prêcheurs du désespoir" à "laisser l'homme se reposer et revenir au pays pour poursuivre l'œuvre de construction et d'édification du pays". Dans son allocution d'ouverture de la journée d'étude sur "le Conseil de la Nation: expérience et perspectives", Abdelkader Bensalah qui a tiré à boulets rouges sur les oiseaux de mauvais augure a précisé que le Président était "en bonne santé, grâce à Dieu", lui a souhaité "la guérison et un rapide retour au pays", appelant ceux qu'il a qualifié de "brailleurs" et de "prêcheurs du désespoir" à "laisser l'homme se reposer". Autre confirmation sur l'évolution favorable de l'état de santé de Bouteflika. Elle émane de Hervé Bourges qui était à Alger récemment pour présenter son film : L'Algérie à l'épreuve du pouvoir. Dans une déclaration à la presse, Hervé Bourges affirme qu'"il n'y a pas de nouvelle officielle, la seule chose que je sache c'est que normalement il ne serait pas à Alger, mais toujours à Paris au Val-de-Grâce", assure-t-il. Mais je n'ai pas d'information officielle. Ce que je sais aussi, c'est que lors du dernier Conseil des ministres, qui s'est tenu à Alger mercredi dernier, je crois savoir que le Premier ministre a indiqué qu'il avait eu le président au téléphone et il a même donné des précisions en indiquant qu' il fallait aller dans tel sens avec la coopération avec la Chine, car il doit y avoir une rencontre importante entre les deux pays pour mettre au point des textes nouveaux. Donc c'est quelque chose de très précis. Je ne pense pas que le Premier ministre avancerait des choses de ce genre s'il ne les tenait pas de la bouche du président Bouteflika. Et ça m'étonnerait qu'il puisse tenir ça de la bouche de quelqu'un qui se trouverait, comme certains ont pu l'affirmer sans preuve, dans un coma profond". Pour autant, il y aura toujours dans l'esprit des sceptiques un doute sur la sincérité des déclarations des officiels algériens. Et pour cause, pourquoi le gouvernement algérien est sorti de son silence bien après que le battage médiatique lié à l'état de santé du chef de l'Etat eu un mauvais effet sur le moral des Algériens ? Une communication officielle défaillante et incertaine qui a conduit les autorités algériennes à appliquer un black-out total sur la santé du président Abdelaziz Bouteflika. Le commun des mortels s'interroge sur le pourquoi de ce black-out. Un simple communiqué aurait renseigné la population algérienne et évité bien des rumeurs qui ont trouvé un terrain favorable pour se propager.