Jeudi dernier , les épreuves du baccalauréat ont pris fin avec les épreuves de langues allemande ou espagnole, d'économie et gestion et de philosophie pour les candidats des filières langues, physique, sciences expérimentales, mathématiques et économie et gestion. Jeudi dernier , les épreuves du baccalauréat ont pris fin avec les épreuves de langues allemande ou espagnole, d'économie et gestion et de philosophie pour les candidats des filières langues, physique, sciences expérimentales, mathématiques et économie et gestion. Les candidats vont devoir attendre jusqu'au 7 juillet prochain avec beaucoup d'anxiété les résultats d'un examen qui n'a pas été à la portée des candidats notamment l'épreuve de mathématiques et de philosophie qui ont provoqué de nombreux abandons particulièrement chez les candidats libres qui ne peuvent s'appuyer sur les fiches de synthèses qui ne concernent que les élèves de terminale scolarisés. Pour d'autres, plus chanceux , le compte à rebours a commencé et sont impatients d'apprécier le fruit de leurs efforts une année durant. Mais les candidats sont soucieux car même s'ils pensent avoir donné les réponses satisfaisantes, ils savent que tout est affaire de correction. Les parents aussi, vivent dans l'attente des résultats , certains sont plus stressés que leurs enfants car ils redoutent l'échec. Ils sont aussi inquiets de la tournure des incidents qui ont émaillé la troisième journée des épreuves où des candidats se sont livrés à des actes de vandalisme au sein des centres d'examen entraînant un charivari qui a engendré une fraude massive. L'Office national du bac ainsi que les associations des parents d'élèves appellent à l'ouverture d'une enquête approfondie sur les incidents qui ont perturbé l'épreuve de philosophie et attendent des sanctions pour les comportements inadmissibles de certains candidats qui ont frappé et injurié professeurs et surveillants. Le président de la Fédération des parents d'élèves a suggéré l'organisation d'une deuxième session du baccalauréat pour accorder une seconde chance aux élèves qui ont échoué. Des élèves, qui il faut le dire sont souvent pris en otage par des grèves chamboulant ainsi le rythme des programmes. Résultats des courses, les candidats se sont retrouvés devant des sujets hors programme. La fixation d'un seuil, version Baba Ahmed, qui devait satisfaire les élèves n'a pas été respecté et a produit l'effet inverse. C'est toute la crédibilité du bac qui est remise en cause. Les candidats vont devoir attendre jusqu'au 7 juillet prochain avec beaucoup d'anxiété les résultats d'un examen qui n'a pas été à la portée des candidats notamment l'épreuve de mathématiques et de philosophie qui ont provoqué de nombreux abandons particulièrement chez les candidats libres qui ne peuvent s'appuyer sur les fiches de synthèses qui ne concernent que les élèves de terminale scolarisés. Pour d'autres, plus chanceux , le compte à rebours a commencé et sont impatients d'apprécier le fruit de leurs efforts une année durant. Mais les candidats sont soucieux car même s'ils pensent avoir donné les réponses satisfaisantes, ils savent que tout est affaire de correction. Les parents aussi, vivent dans l'attente des résultats , certains sont plus stressés que leurs enfants car ils redoutent l'échec. Ils sont aussi inquiets de la tournure des incidents qui ont émaillé la troisième journée des épreuves où des candidats se sont livrés à des actes de vandalisme au sein des centres d'examen entraînant un charivari qui a engendré une fraude massive. L'Office national du bac ainsi que les associations des parents d'élèves appellent à l'ouverture d'une enquête approfondie sur les incidents qui ont perturbé l'épreuve de philosophie et attendent des sanctions pour les comportements inadmissibles de certains candidats qui ont frappé et injurié professeurs et surveillants. Le président de la Fédération des parents d'élèves a suggéré l'organisation d'une deuxième session du baccalauréat pour accorder une seconde chance aux élèves qui ont échoué. Des élèves, qui il faut le dire sont souvent pris en otage par des grèves chamboulant ainsi le rythme des programmes. Résultats des courses, les candidats se sont retrouvés devant des sujets hors programme. La fixation d'un seuil, version Baba Ahmed, qui devait satisfaire les élèves n'a pas été respecté et a produit l'effet inverse. C'est toute la crédibilité du bac qui est remise en cause.