Un montant de 2,6 milliards DA a été consacré pour la compensation des prix à l'importation de l'huile brute de soja à fin janvier 2013, dans le cadre du dispositif de stabilisation des prix de l'huile alimentaire et du sucre blanc, décidé par l'Etat au début 2011. Un montant de 2,6 milliards DA a été consacré pour la compensation des prix à l'importation de l'huile brute de soja à fin janvier 2013, dans le cadre du dispositif de stabilisation des prix de l'huile alimentaire et du sucre blanc, décidé par l'Etat au début 2011. "Ce dispositif, qui a permis de préserver les revenus des citoyens et stabiliser le marché de ces deux produits alimentaires de base, a engendré une compensation des prix à l'importation de l'huile brute de soja, évaluée, à fin janvier 2013, à 2,6 milliards DA", a indiqué, hier, à l'APS une source du ministère du Commerce. La compensation des prix à l'importation de l'huile brute de soja, principale matière première de la fabrication de l'huile de table, a été évaluée, en 2011, à 2,095 mds DA et en 2012 à 540 millions DA, a précisé la même source. Ces deux dernières années, le ministère du Commerce a mis en œuvre un système de stabilisation des prix de l'huile alimentaire raffinée ordinaire et du sucre blanc, décidé par l'Etat au début de l'année 2011 à travers le décret exécutif n°11-108 du 6 mars 2011. Ce décret a fixé le prix plafond à consommateur ainsi que les marges plafonds à la production, à l'importation et à la distribution, aux stades de gros et de détail, de l'huile alimentaire raffinée ordinaire et du sucre blanc. Ce texte a fixé, ainsi, les prix plafonds en TTC, des bidons d'huile ordinaire raffinée de 5 litres, 2 litres et 1 litre respectivement à 600 DA, 250 DA et 125 DA, alors que les prix du kilogramme de sucre blanc vendu en vrac et préemballé sont fixés respectivement à 90 DA et 95 DA. S'agissant du sucre roux, a-t-elle poursuivi, celui-ci n'a pas fait l'objet de compensation des prix du fait que les niveaux des cours mondiaux de cette matière première n'ont pas entraîné le dépassement des prix à la consommation plafonnés par les pouvoirs publics. Plusieurs mesures importantes visant à juguler la hausse des prix du sucre et de l'huile ont été prises début janvier 2011 lors d'un Conseil interministériel après les fortes et soudaines hausses enregistrées par certains produits alimentaires de base. Ces mesures portaient sur une suspension et une exonération des droits de douanes, de taxes et d'impôts représentant un total de charge de 41% qui vient en déduction des prix de revient. Le gouvernement a défini, en concertation avec les opérateurs concernés, un système de stabilisation permanente des prix du sucre et des huiles alimentaires pour faire face à l'avenir et de façon durable à toute fluctuation des cours sur le marché international. "Ce dispositif, qui a permis de préserver les revenus des citoyens et stabiliser le marché de ces deux produits alimentaires de base, a engendré une compensation des prix à l'importation de l'huile brute de soja, évaluée, à fin janvier 2013, à 2,6 milliards DA", a indiqué, hier, à l'APS une source du ministère du Commerce. La compensation des prix à l'importation de l'huile brute de soja, principale matière première de la fabrication de l'huile de table, a été évaluée, en 2011, à 2,095 mds DA et en 2012 à 540 millions DA, a précisé la même source. Ces deux dernières années, le ministère du Commerce a mis en œuvre un système de stabilisation des prix de l'huile alimentaire raffinée ordinaire et du sucre blanc, décidé par l'Etat au début de l'année 2011 à travers le décret exécutif n°11-108 du 6 mars 2011. Ce décret a fixé le prix plafond à consommateur ainsi que les marges plafonds à la production, à l'importation et à la distribution, aux stades de gros et de détail, de l'huile alimentaire raffinée ordinaire et du sucre blanc. Ce texte a fixé, ainsi, les prix plafonds en TTC, des bidons d'huile ordinaire raffinée de 5 litres, 2 litres et 1 litre respectivement à 600 DA, 250 DA et 125 DA, alors que les prix du kilogramme de sucre blanc vendu en vrac et préemballé sont fixés respectivement à 90 DA et 95 DA. S'agissant du sucre roux, a-t-elle poursuivi, celui-ci n'a pas fait l'objet de compensation des prix du fait que les niveaux des cours mondiaux de cette matière première n'ont pas entraîné le dépassement des prix à la consommation plafonnés par les pouvoirs publics. Plusieurs mesures importantes visant à juguler la hausse des prix du sucre et de l'huile ont été prises début janvier 2011 lors d'un Conseil interministériel après les fortes et soudaines hausses enregistrées par certains produits alimentaires de base. Ces mesures portaient sur une suspension et une exonération des droits de douanes, de taxes et d'impôts représentant un total de charge de 41% qui vient en déduction des prix de revient. Le gouvernement a défini, en concertation avec les opérateurs concernés, un système de stabilisation permanente des prix du sucre et des huiles alimentaires pour faire face à l'avenir et de façon durable à toute fluctuation des cours sur le marché international.