Une campagne de prévention et de lutte contre l'envenimement scorpionique a été lancée samedi dans la wilaya de Biskra à l'initiative du comité de wilaya du Croissant-Rouge algérien, a-t-on appris de la présidente locale de cette organisation. Une campagne de prévention et de lutte contre l'envenimement scorpionique a été lancée samedi dans la wilaya de Biskra à l'initiative du comité de wilaya du Croissant-Rouge algérien, a-t-on appris de la présidente locale de cette organisation. Plusieurs actions visant la sensibilisation aux dangers que représentent les piqûres venimeuses de cet arachnide sont au programme de la campagne de prévention qui durera jusqu'à la fin de l'été, a précisé, à l'APS, Fatima-Zohra Nouaoui. "Pour éviter certaines complications pouvant entraîner le décès de la personne piquée, il est vital d'évacuer en extrême urgence les victimes vers la structure de santé la plus proche", a-t-elle souligné. De même, a-t-elle ajouté, "certaines mesures préventives sont indispensables pour faire face aux piqûres de scorpions, comme l'utilisation d'insecticides autour des habitations, le colmatage des fissures, l'amélioration de l'éclairage public et l'hygiène en milieu urbain". En Algérie, il est annuellement dénombré, en moyenne, selon un rapport de l'Institut national de santé publique (INSP), 25.000 à 50.000 piqûres de scorpions par an (49.574 en 2010) et une centaine de décès. Les enfants de moins de 15 ans représentent plus de 73,4% de la totalité des décès dus à l'envenimement scorpionique, selon ce rapport établi par le département de l'information sanitaire de l'INSP. Plusieurs actions visant la sensibilisation aux dangers que représentent les piqûres venimeuses de cet arachnide sont au programme de la campagne de prévention qui durera jusqu'à la fin de l'été, a précisé, à l'APS, Fatima-Zohra Nouaoui. "Pour éviter certaines complications pouvant entraîner le décès de la personne piquée, il est vital d'évacuer en extrême urgence les victimes vers la structure de santé la plus proche", a-t-elle souligné. De même, a-t-elle ajouté, "certaines mesures préventives sont indispensables pour faire face aux piqûres de scorpions, comme l'utilisation d'insecticides autour des habitations, le colmatage des fissures, l'amélioration de l'éclairage public et l'hygiène en milieu urbain". En Algérie, il est annuellement dénombré, en moyenne, selon un rapport de l'Institut national de santé publique (INSP), 25.000 à 50.000 piqûres de scorpions par an (49.574 en 2010) et une centaine de décès. Les enfants de moins de 15 ans représentent plus de 73,4% de la totalité des décès dus à l'envenimement scorpionique, selon ce rapport établi par le département de l'information sanitaire de l'INSP.