Cet entêtement risque de plonger une seconde fois l'Egypte dans un cycle de violences où l'armée n'aura certainement pas le beau rôle. Entre "Tamarrod" soutenu par de nombreuses personnalités et les partisans d'une idéologie dominée par les islamistes, l'Egypte s'enferme un peu plus dans les clivages ouvrant ainsi la voie à tous les dérapages. Cet entêtement risque de plonger une seconde fois l'Egypte dans un cycle de violences où l'armée n'aura certainement pas le beau rôle. Entre "Tamarrod" soutenu par de nombreuses personnalités et les partisans d'une idéologie dominée par les islamistes, l'Egypte s'enferme un peu plus dans les clivages ouvrant ainsi la voie à tous les dérapages. Le premier anniversaire de l'investiture de Mohamed Morsi, premier Président élu démocratiquement n'est pas à la fête. Bien au contraire l'Egypte divisée entre les pro et les anti Morsi s'affrontent sur la mythique place Tahrir. Une place qui avait permis à des millions d'Egyptiens de recouvrer l'espoir et la liberté en la personne de Mohamed Morsi, issu des rangs des Frères musulmans, et successeur de Hosni Moubarak. Mais cela aura été de courte durée. L'opposition mobilisée autour du mouvement «Tamarrod» dénonce la dictature de Morsi qui concentre ses pouvoirs et se contrefiche des revendications démocratiques déclenchées en 2011 qui avaient permis la chute du régime de Moubarak. De plus le quotidien des Egyptiens n'est pas rose : chômage, inflation, coupures de courant et tensions confessionnelles sont inscrits au registre journalier. Quant aux pro Morsi, ces derniers dédouanent le Président pour lequel ils n'hésitent pas à rappeler qu'il a été élu démocratiquement et que les problèmes que vit aujourd'hui le pays existaient déjà du temps de Hosni Moubarak. La réalité est tout autre. Depuis un an, les islamistes se sont montrés incapables de diriger les affaires du pays, l'enfonçant un peu plus dans la crise économique. L'Egypte, après une année retourne à la case départ et se profile une seconde révolution avec les mêmes mots d'ordre de 2011 : «Dégage». Les opposants qui assurent avoir récolté plus de vingt deux millions de signatures réclament la démission de Morsi et que soient organisées des élections présidentielles anticipées. Morsi qui a tenté plus d'une fois de rassurer et de jouer la carte de l'apaisement pratique la politique de «j'y suis j'y reste». Cet entêtement risque de plonger une seconde fois l'Egypte dans un cycle de violences où l'armée n'aura certainement pas le beau rôle. Entre "Tamarrod" soutenu par de nombreuses personnalités et les partisans d'une idéologie dominée par les islamistes, l'Egypte s'enferme un peu plus dans les clivages ouvrant ainsi la voie à tous les dérapages. Le premier anniversaire de l'investiture de Mohamed Morsi, premier Président élu démocratiquement n'est pas à la fête. Bien au contraire l'Egypte divisée entre les pro et les anti Morsi s'affrontent sur la mythique place Tahrir. Une place qui avait permis à des millions d'Egyptiens de recouvrer l'espoir et la liberté en la personne de Mohamed Morsi, issu des rangs des Frères musulmans, et successeur de Hosni Moubarak. Mais cela aura été de courte durée. L'opposition mobilisée autour du mouvement «Tamarrod» dénonce la dictature de Morsi qui concentre ses pouvoirs et se contrefiche des revendications démocratiques déclenchées en 2011 qui avaient permis la chute du régime de Moubarak. De plus le quotidien des Egyptiens n'est pas rose : chômage, inflation, coupures de courant et tensions confessionnelles sont inscrits au registre journalier. Quant aux pro Morsi, ces derniers dédouanent le Président pour lequel ils n'hésitent pas à rappeler qu'il a été élu démocratiquement et que les problèmes que vit aujourd'hui le pays existaient déjà du temps de Hosni Moubarak. La réalité est tout autre. Depuis un an, les islamistes se sont montrés incapables de diriger les affaires du pays, l'enfonçant un peu plus dans la crise économique. L'Egypte, après une année retourne à la case départ et se profile une seconde révolution avec les mêmes mots d'ordre de 2011 : «Dégage». Les opposants qui assurent avoir récolté plus de vingt deux millions de signatures réclament la démission de Morsi et que soient organisées des élections présidentielles anticipées. Morsi qui a tenté plus d'une fois de rassurer et de jouer la carte de l'apaisement pratique la politique de «j'y suis j'y reste». Cet entêtement risque de plonger une seconde fois l'Egypte dans un cycle de violences où l'armée n'aura certainement pas le beau rôle. Entre "Tamarrod" soutenu par de nombreuses personnalités et les partisans d'une idéologie dominée par les islamistes, l'Egypte s'enferme un peu plus dans les clivages ouvrant ainsi la voie à tous les dérapages.