Le public du Festival international de Timgad a été invité, lundi soir, à un voyage lointain, jusqu'aux berges du Gange avec le groupe indien Bollywood Masala Orchestra et son maître percussionniste Amrat Hussain. Le public du Festival international de Timgad a été invité, lundi soir, à un voyage lointain, jusqu'aux berges du Gange avec le groupe indien Bollywood Masala Orchestra et son maître percussionniste Amrat Hussain. Les voix superbes des artistes du pays de Ghandi, le caractère envoûtant de la musique indienne et l'amplitude du son diffusé par le "tablâ" (instrument de percussion dérivé des tablas arabes) ont enchanté le public. Et comme, en Inde, la musique est bien souvent liée à la danse, de magnifiques tableaux chorégraphiques ont été offerts à une assistance aussi subjuguée que ravie. Les habits de lumière des danseurs, la grâce et la synchronisation de leurs mouvements et la beauté des tableaux proposés ont littéralement "cloué" les spectateurs qui ont longuement ovationné cette formation indienne qui privilégie les airs populaires du nord de ce pays. Amrat Hussain, également leader du groupe, a affirmé dans une déclaration à la presse que le Bollywood Masala Orchestra, créé il y a seulement deux ans, a eu à se produire un millier de fois dans 70 pays. Le percussionniste, également chanteur et danseur, a expliqué que le terme Masala signifie, dans sa langue,"mélange d'épices" c'est pourquoi, a souligné de son côté le fondateur du groupe, Rahis Bharti, le groupe d'efforce de présenter des spectacles variés, représentatifs de la diversité culturelle du nord de l'Inde, en particulier du Rajasthan. Des spectacles qui ont en effet permis au public de s'extasier, non seulement devant les chants, les danses et la musique, mais aussi devant les "fakirs" marcheurs sur clous et les cracheurs de feu. Le public du festival, très nombreux sur les travées du nouveau théâtre de verdure mitoyen du site archéologique de Timgad, avait auparavant été mis en appétit par l'une des vedettes incontestées du raï, Kader Japonais, puis par un bouquet de sonorités, oranaises d'abord avec Abdelkader Adda, bédouines ensuite avec Hamid El Bechari, kabyles avec Taous et chaouies avec Hassan Dadi. Les voix superbes des artistes du pays de Ghandi, le caractère envoûtant de la musique indienne et l'amplitude du son diffusé par le "tablâ" (instrument de percussion dérivé des tablas arabes) ont enchanté le public. Et comme, en Inde, la musique est bien souvent liée à la danse, de magnifiques tableaux chorégraphiques ont été offerts à une assistance aussi subjuguée que ravie. Les habits de lumière des danseurs, la grâce et la synchronisation de leurs mouvements et la beauté des tableaux proposés ont littéralement "cloué" les spectateurs qui ont longuement ovationné cette formation indienne qui privilégie les airs populaires du nord de ce pays. Amrat Hussain, également leader du groupe, a affirmé dans une déclaration à la presse que le Bollywood Masala Orchestra, créé il y a seulement deux ans, a eu à se produire un millier de fois dans 70 pays. Le percussionniste, également chanteur et danseur, a expliqué que le terme Masala signifie, dans sa langue,"mélange d'épices" c'est pourquoi, a souligné de son côté le fondateur du groupe, Rahis Bharti, le groupe d'efforce de présenter des spectacles variés, représentatifs de la diversité culturelle du nord de l'Inde, en particulier du Rajasthan. Des spectacles qui ont en effet permis au public de s'extasier, non seulement devant les chants, les danses et la musique, mais aussi devant les "fakirs" marcheurs sur clous et les cracheurs de feu. Le public du festival, très nombreux sur les travées du nouveau théâtre de verdure mitoyen du site archéologique de Timgad, avait auparavant été mis en appétit par l'une des vedettes incontestées du raï, Kader Japonais, puis par un bouquet de sonorités, oranaises d'abord avec Abdelkader Adda, bédouines ensuite avec Hamid El Bechari, kabyles avec Taous et chaouies avec Hassan Dadi.