Au moins 29 personnes ont été tuées dans des bombardements d'une extrême violence, dimanche en fin d'après-midi, dans la province d'Idleb, une région du nord-ouest de la Syrie tenue en grande partie par les rebelles, selon une ONG. Au moins 29 personnes ont été tuées dans des bombardements d'une extrême violence, dimanche en fin d'après-midi, dans la province d'Idleb, une région du nord-ouest de la Syrie tenue en grande partie par les rebelles, selon une ONG. "Il y a eu 29 morts, dont 8 femmes et 6 enfants, par des raids de l'aviation et des tirs de roquettes, dimanche en fin d'après midi dans la province d'Idleb", a affirmé, lundi, l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Les attaques ont visé cinq villages dans le sud de la province sur l'axe Hama-Idleb. La plus meurtrière a atteint le village de Maghara, tuant 13 personnes, selon l'OSDH, qui bénéficie d'un large réseau de militants, avocats et médecins à travers le pays. Ces bombardements sont survenus juste avant l'iftar, qui marque la rupture du jeûne durant le Ramadhan. En outre, six personnes ont été tuées à al-Bara, quatre à Basamis, trois à Kfar Nabl dans un raid aérien et trois autres à Ibline. Des vidéos de l'attaque de Maghara, mises en ligne par les militants montrent des images de destruction et de morts. Des hommes et des femmes crient alors que la caméra montre des gravas et des villageois terrifiés. Par ailleurs, selon l'OSDH, dix policiers et trois civils ont été tués dimanche soir à Deir Attié, à 90 km au nord de Damas, dans l'explosion d'une voiture piégée devant un poste de police. En outre, dans la capitale, l'offensive de l'armée à Qaboun a causé la mort de 18 personnes, dont trois civils et 15 rebelles. Dans ce quartier, des centaines de familles sont bloquées en raison de l'opération militaire. Dans un communiqué, la Coalition de l'opposition syrienne a appelé lundi l'Onu et la Ligue arabe à agir pour permettre "l'ouverture de corridors humanitaires afin d'évacuer les femmes, les enfants et les blessés de Qaboun". Selon l'OSDH, au moins 129 personnes ont perdu la vie dimanche à travers le pays, dont 70 civils, 31 rebelles et 28 soldats gouvernementaux. "Il y a eu 29 morts, dont 8 femmes et 6 enfants, par des raids de l'aviation et des tirs de roquettes, dimanche en fin d'après midi dans la province d'Idleb", a affirmé, lundi, l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Les attaques ont visé cinq villages dans le sud de la province sur l'axe Hama-Idleb. La plus meurtrière a atteint le village de Maghara, tuant 13 personnes, selon l'OSDH, qui bénéficie d'un large réseau de militants, avocats et médecins à travers le pays. Ces bombardements sont survenus juste avant l'iftar, qui marque la rupture du jeûne durant le Ramadhan. En outre, six personnes ont été tuées à al-Bara, quatre à Basamis, trois à Kfar Nabl dans un raid aérien et trois autres à Ibline. Des vidéos de l'attaque de Maghara, mises en ligne par les militants montrent des images de destruction et de morts. Des hommes et des femmes crient alors que la caméra montre des gravas et des villageois terrifiés. Par ailleurs, selon l'OSDH, dix policiers et trois civils ont été tués dimanche soir à Deir Attié, à 90 km au nord de Damas, dans l'explosion d'une voiture piégée devant un poste de police. En outre, dans la capitale, l'offensive de l'armée à Qaboun a causé la mort de 18 personnes, dont trois civils et 15 rebelles. Dans ce quartier, des centaines de familles sont bloquées en raison de l'opération militaire. Dans un communiqué, la Coalition de l'opposition syrienne a appelé lundi l'Onu et la Ligue arabe à agir pour permettre "l'ouverture de corridors humanitaires afin d'évacuer les femmes, les enfants et les blessés de Qaboun". Selon l'OSDH, au moins 129 personnes ont perdu la vie dimanche à travers le pays, dont 70 civils, 31 rebelles et 28 soldats gouvernementaux.