Bouteflika sera-t-il candidat pour un quatrième mandat comme beaucoup le souhaitent ? Jusque-là c'était la grande inconnue. Avant son AVC, le Président devait procéder à un remaniement ministériel qui se disait en coulisses partiel. Bouteflika sera-t-il candidat pour un quatrième mandat comme beaucoup le souhaitent ? Jusque-là c'était la grande inconnue. Avant son AVC, le Président devait procéder à un remaniement ministériel qui se disait en coulisses partiel. Le Président est rentré au pays après quatre-vingt jours d'absence, hospitalisé pour un AVC au Val-de-Grâce, un hôpital militaire situé dans le 5e arrondissement de Paris puis à l'Institut militaire des Invalides pour une rééducation fonctionnelle. Le communiqué de la Présidence a tenu à préciser que le Président devra observer une période de repos et de convalescence. Alors les chantiers lancés par le chef de l'Etat devront attendre encore un peu avant que celui-ci ne reprenne son bâton de pèlerin pour terminer ce qu'il a entrepris depuis l'annonce en 2011 des réformes politiques. Mais les chantiers du Président bloqués à ce jour sont de gros morceaux. A commencer par la révision de la Constitution. Pour cela, une commission d'experts avait été installée et devait remettre ses conclusions en mai dernier. Le Président est tombé malade, c'est la faute à pas de chance. D'autres projets comme la loi de finances complémentaire 2013 où à un moment donné d'aucuns pensaient qu'elle serait annulée entraînant par là quelques conséquences fâcheuses sur le bon fonctionnement de l'Etat. Ouf ! On a eu chaud, le Président est revenu ! Un autre chantier et pas des moindres : la présidentielle 2014. Bouteflika sera-t-il candidat pour un quatrième mandat comme beaucoup le souhaitent ? Jusque-là c'était la grande inconnue. Avant son AVC, le Président devait procéder à un remaniement ministériel qui se disait en coulisses partiel. La maladie est venue contrarier le projet et les ministres dans la ligne de mire ont pu alors bénéficier d'un sursis. Il reste que la crise au FLN est une ombre au tableau de la présidentielle 2014, le chef de l'Etat en tant que président d'honneur devra remettre de l'ordre dans la maison FLN. Il lui faudra une bonne dose de santé et d'énergie pour mener de front ce qu'il a laissé en plan car comme a dit Confucius « Qui ne se préoccupe pas de l'avenir d'un pays le condamne aux soucis immédiats. » Le Président est rentré au pays après quatre-vingt jours d'absence, hospitalisé pour un AVC au Val-de-Grâce, un hôpital militaire situé dans le 5e arrondissement de Paris puis à l'Institut militaire des Invalides pour une rééducation fonctionnelle. Le communiqué de la Présidence a tenu à préciser que le Président devra observer une période de repos et de convalescence. Alors les chantiers lancés par le chef de l'Etat devront attendre encore un peu avant que celui-ci ne reprenne son bâton de pèlerin pour terminer ce qu'il a entrepris depuis l'annonce en 2011 des réformes politiques. Mais les chantiers du Président bloqués à ce jour sont de gros morceaux. A commencer par la révision de la Constitution. Pour cela, une commission d'experts avait été installée et devait remettre ses conclusions en mai dernier. Le Président est tombé malade, c'est la faute à pas de chance. D'autres projets comme la loi de finances complémentaire 2013 où à un moment donné d'aucuns pensaient qu'elle serait annulée entraînant par là quelques conséquences fâcheuses sur le bon fonctionnement de l'Etat. Ouf ! On a eu chaud, le Président est revenu ! Un autre chantier et pas des moindres : la présidentielle 2014. Bouteflika sera-t-il candidat pour un quatrième mandat comme beaucoup le souhaitent ? Jusque-là c'était la grande inconnue. Avant son AVC, le Président devait procéder à un remaniement ministériel qui se disait en coulisses partiel. La maladie est venue contrarier le projet et les ministres dans la ligne de mire ont pu alors bénéficier d'un sursis. Il reste que la crise au FLN est une ombre au tableau de la présidentielle 2014, le chef de l'Etat en tant que président d'honneur devra remettre de l'ordre dans la maison FLN. Il lui faudra une bonne dose de santé et d'énergie pour mener de front ce qu'il a laissé en plan car comme a dit Confucius « Qui ne se préoccupe pas de l'avenir d'un pays le condamne aux soucis immédiats. »