L'Union africaine (UA) a appelé les parties en conflit au Mali à œuvrer en vue d'assurer un processus électoral pacifique, alors que des violences persistent à Kidal dans le nord du pays. L'Union africaine (UA) a appelé les parties en conflit au Mali à œuvrer en vue d'assurer un processus électoral pacifique, alors que des violences persistent à Kidal dans le nord du pays. L'UA appelle toutes les parties prenantes politiques au Mali "à prendre les mesures nécessaires pour organiser des élections pacifiques en temps opportun", afin de réduire les tensions politiques sur le continent, indique un communiqué de l'UA publié samedi. Ce communiqué a été publié suite à la réunion de son Conseil paix et sécurité (CPS), tenue la veille et consacrée à la préparation des élections au Mali, à Madagascar, en Guinée Bissau et dans d'autres Etats africains. L'organisation panafricaine a en outre salué les efforts du gouvernement malien d'organiser des élections crédibles, le 28 juillet, en dépit des défis sécuritaires et logistiques. L'UA rappelle, dans ce sens, sa décision de déployer une mission d'observation à long terme au Mali. Samedi, la situation était calme après des violences qui ont fait la veille quatre morts à Kidal, ville du nord-est du Mali patrouillée par les soldats de l'Onu et de l'armée malienne, selon une source militaire et des habitants. S'agissant de Madagascar, le communiqué relève l'impasse politique persistante dans le pays et rappelle les dernières interactions entre le Groupe de contact international sur Madagascar et les parties prenantes malgaches. L'UA exhorte les acteurs politiques malgaches à régler rapidement leurs différends, appelant les candidats Andry Rajoelina, Mme Lalao Ravalomanana et l'ancien président Didier Rastiraka, à retirer leurs candidatures à la prochaine élection présidentielle afin de préparer la voie au parachèvement du processus de transition. L'organisation continentale affirme qu'elle reste "ferme" sur cette décision et demande le retrait des trois candidats au plus tard le 31 juillet 2013. L'UA appelle toutes les parties prenantes politiques au Mali "à prendre les mesures nécessaires pour organiser des élections pacifiques en temps opportun", afin de réduire les tensions politiques sur le continent, indique un communiqué de l'UA publié samedi. Ce communiqué a été publié suite à la réunion de son Conseil paix et sécurité (CPS), tenue la veille et consacrée à la préparation des élections au Mali, à Madagascar, en Guinée Bissau et dans d'autres Etats africains. L'organisation panafricaine a en outre salué les efforts du gouvernement malien d'organiser des élections crédibles, le 28 juillet, en dépit des défis sécuritaires et logistiques. L'UA rappelle, dans ce sens, sa décision de déployer une mission d'observation à long terme au Mali. Samedi, la situation était calme après des violences qui ont fait la veille quatre morts à Kidal, ville du nord-est du Mali patrouillée par les soldats de l'Onu et de l'armée malienne, selon une source militaire et des habitants. S'agissant de Madagascar, le communiqué relève l'impasse politique persistante dans le pays et rappelle les dernières interactions entre le Groupe de contact international sur Madagascar et les parties prenantes malgaches. L'UA exhorte les acteurs politiques malgaches à régler rapidement leurs différends, appelant les candidats Andry Rajoelina, Mme Lalao Ravalomanana et l'ancien président Didier Rastiraka, à retirer leurs candidatures à la prochaine élection présidentielle afin de préparer la voie au parachèvement du processus de transition. L'organisation continentale affirme qu'elle reste "ferme" sur cette décision et demande le retrait des trois candidats au plus tard le 31 juillet 2013.