L'enlèvement et l'assassinat de Brahim et Haroun ont mis le feu aux poudres, la société civile, le réseau NADA, La FOREM ont exigé que les crimes soient punis sévèrement et ont réclamé que l'on rétablisse la peine de mort pour les auteurs de rapts et d'assassinats. d'enfants. Maitre Ksentini, président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH), qui malgré tout est contre la peine de mort s'était dit favorable à la peine capitale prononcée exceptionnellement dans les cas d'enlèvements d'enfants suivis d'assassinats. L'enlèvement et l'assassinat de Brahim et Haroun ont mis le feu aux poudres, la société civile, le réseau NADA, La FOREM ont exigé que les crimes soient punis sévèrement et ont réclamé que l'on rétablisse la peine de mort pour les auteurs de rapts et d'assassinats. d'enfants. Maitre Ksentini, président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH), qui malgré tout est contre la peine de mort s'était dit favorable à la peine capitale prononcée exceptionnellement dans les cas d'enlèvements d'enfants suivis d'assassinats. Les deux auteurs des crimes crapuleux commis sur Brahim et Haroun, deux enfants résidant à la Nouvelle ville de Ali Mendjeli ont été condamnés à la peine capitale. La population de Constantine n'en attendait pas moins , de voir les deux assassins condamnés à la peine de mort. Depuis le début de l'année 2013, l'Algérie vivait au rythme des rapts d'enfants. En 2012, une dizaine d'enfants ont été assassinés malgré la mobilisation citoyenne mais la justice a fait preuve d'indulgence en condamnant les auteurs à des peines minimes au regard du fait odieux et criminel. L'enlèvement et l'assassinat de Brahim et Haroun ont mis le feu aux poudres, la société civile, le réseau NADA, La FOREM ont exigé que les crimes soient punis sévèrement et ont réclamé que l'on rétablisse la peine de mort pour les auteurs de rapts et d'assassinats. d'enfants. Maitre Ksentini, président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH), qui malgré tout est contre la peine de mort s'était dit favorable à la peine capitale prononcée exceptionnellement dans les cas d'enlèvements d'enfants suivis d'assassinats. Dans le procès des assassins de Brahim et Haroun la justice a pris acte. Le verdict est tombé, la peine de mort a été prononcée. Cependant des condamnations à morts ont été souvent prononcées à l'encontre de certains terroristes sans qu'il n'y ait eu exécution ; la dernière exécution dans notre pays remonte à 1993. Depuis, l'Algérie songeait à un plan pour l'abolition de la peine de mort. Mais les derniers rapts suivis d'assassinats ont fait changer aux magistrats leur fusil d'épaule et soutenir la revendication populaire de rétablir la peine de mort. Le message est bien passé, la sentence a été à la hauteur des attentes de la société. Une peine capitale pour l'exemple , pour «plus jamais çà» nonobstant les humanistes et Amnesty international car comme dit si bien l'adage : «Nécessité fait loi» Les deux auteurs des crimes crapuleux commis sur Brahim et Haroun, deux enfants résidant à la Nouvelle ville de Ali Mendjeli ont été condamnés à la peine capitale. La population de Constantine n'en attendait pas moins , de voir les deux assassins condamnés à la peine de mort. Depuis le début de l'année 2013, l'Algérie vivait au rythme des rapts d'enfants. En 2012, une dizaine d'enfants ont été assassinés malgré la mobilisation citoyenne mais la justice a fait preuve d'indulgence en condamnant les auteurs à des peines minimes au regard du fait odieux et criminel. L'enlèvement et l'assassinat de Brahim et Haroun ont mis le feu aux poudres, la société civile, le réseau NADA, La FOREM ont exigé que les crimes soient punis sévèrement et ont réclamé que l'on rétablisse la peine de mort pour les auteurs de rapts et d'assassinats. d'enfants. Maitre Ksentini, président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH), qui malgré tout est contre la peine de mort s'était dit favorable à la peine capitale prononcée exceptionnellement dans les cas d'enlèvements d'enfants suivis d'assassinats. Dans le procès des assassins de Brahim et Haroun la justice a pris acte. Le verdict est tombé, la peine de mort a été prononcée. Cependant des condamnations à morts ont été souvent prononcées à l'encontre de certains terroristes sans qu'il n'y ait eu exécution ; la dernière exécution dans notre pays remonte à 1993. Depuis, l'Algérie songeait à un plan pour l'abolition de la peine de mort. Mais les derniers rapts suivis d'assassinats ont fait changer aux magistrats leur fusil d'épaule et soutenir la revendication populaire de rétablir la peine de mort. Le message est bien passé, la sentence a été à la hauteur des attentes de la société. Une peine capitale pour l'exemple , pour «plus jamais çà» nonobstant les humanistes et Amnesty international car comme dit si bien l'adage : «Nécessité fait loi»