Un organe sensible en proie aux flammes. L'aéroport paralysé durant quelques heures. Des vols détournés sur Oran... c'est la conséquence d'un incendie déclenché par d'un court-circuit à la tour de contrôle. Un organe sensible en proie aux flammes. L'aéroport paralysé durant quelques heures. Des vols détournés sur Oran... c'est la conséquence d'un incendie déclenché par d'un court-circuit à la tour de contrôle. Aéroport Houari-Boumediene, Alger. Aérogare, vols internationaux. Il est 10h en cette matinée. La journée s'annonce chaude. Les départs et les arrivées de la matinée eu début d'après-midi sont affichés sur de grands écrans dans le hall des pas perdus. Aucune perturbation n'est signalée. Mieux, pratiquement aucun vol au départ ou à l'arrivée à Alger n'accuse de retard sur l'heure prévue du décollage ou d'atterrissage des aéronefs, qu'ils soient d'Air Algérie ou des compagnies aériennes étrangères. Du moins tel qu'indiqué sur le tableau électronique des départs et arrivées. Beaucoup de voyageurs s'apprêtent à accomplir les formalités d'embarquement au moment où d'autres passagers foulent le sol algérien. D'autres attendent leurs vols à destination des capitales étrangères. Un groupe de Chinois est devant la "banque" d'enregistrement de la compagnie émiratie, Qatar Airways. Destination du vol de ce groupe Doha. "Avez-vous entendu parler de l'incendie qui s'est déclaré à la tour de contrôle de l'aéroport ?" avons-nous questionné un membre de ce groupe qui maîtrise la langue de Molière. "Non", nous répond-il. Il cherche à savoir si cet incendie a eu un impact sur le trafic aérien. Nous l'avons rassuré. Le trafic est assuré normalement, pas de crainte pour le vol à destination de Doha. Pas plus que pour les autres. De nombreux voyageurs ignoraient qu'un incendie s'était déclaré à la tour de contrôle. Certains voyageurs ont eu des échos de l'incident. Mais, ils ont été vite rassurés par les médias sur le maintien des vols programmés pour la journée du mardi. C'est que la tour de contrôle de l'aéroport Houari-Boumediene a failli vivre une catastrophe, lundi soir. Heureusement, plus de peur que de mal. Un incendie, vite maîtrisé, s'est déclaré lundi soir à la tour de contrôle de l'aéroport international Houari-Boumediene. L'enceinte qui régularise le trafic aérien a échappé à un désastre qui aurait pu paralyser tout le trafic aérien. D'ailleurs, les responsables ont interrompu momentanément le trafic aérien, avant qu'il ne reprenne quelques heures plus tard. L'incendie a été déclenché par un court-circuit dans un climatiseur de la tour de contrôle, gérée par l'Entreprise nationale de navigation aérienne (ENNA). L'incendie a été maîtrisé grâce à l'intervention de moyens de lutte de l'aéroport. Une tour mobile a été installée pour assurer la continuité du trafic. Le ministre des transports, Amar Tou, qui s'est déplacé sur les lieux pour s'enquérir de la situation, a indiqué que le sinistre avait pour origine un court circuit qui s'est déclaré dans un climatiseur dans un niveau inférieur de la tour. Aussitôt, les responsable ont arrêté le fonctionnement de la tour, et interrompu le trafic aérien en attendant l'inspection des installations de la tour, a-t-il précisé. Plusieurs vols ont été déroutés vers l'aéroport d'Oran. Les vols de et vers l'aéroport international d'Alger ont repris vers 22h15 lundi 29 juillet. "L'incendie a provoqué quelques dégâts matériels, mais les techniciens ont réussi à rétablir le fonctionnement de la tour de contrôle pour permettre la reprise des vols", explique notre source. La direction de l'aéroport avait décidé de suspendre les vols vers 18h30, après un incendie dans la tour de contrôle. "Les vols vers l'aéroport Houari-Boumedienne ont été déroutés vers d'autres aéroports du pays", avait indiqué à TSA une source à la direction générale de l'aéroport d'Alger. Aéroport Houari-Boumediene, Alger. Aérogare, vols internationaux. Il est 10h en cette matinée. La journée s'annonce chaude. Les départs et les arrivées de la matinée eu début d'après-midi sont affichés sur de grands écrans dans le hall des pas perdus. Aucune perturbation n'est signalée. Mieux, pratiquement aucun vol au départ ou à l'arrivée à Alger n'accuse de retard sur l'heure prévue du décollage ou d'atterrissage des aéronefs, qu'ils soient d'Air Algérie ou des compagnies aériennes étrangères. Du moins tel qu'indiqué sur le tableau électronique des départs et arrivées. Beaucoup de voyageurs s'apprêtent à accomplir les formalités d'embarquement au moment où d'autres passagers foulent le sol algérien. D'autres attendent leurs vols à destination des capitales étrangères. Un groupe de Chinois est devant la "banque" d'enregistrement de la compagnie émiratie, Qatar Airways. Destination du vol de ce groupe Doha. "Avez-vous entendu parler de l'incendie qui s'est déclaré à la tour de contrôle de l'aéroport ?" avons-nous questionné un membre de ce groupe qui maîtrise la langue de Molière. "Non", nous répond-il. Il cherche à savoir si cet incendie a eu un impact sur le trafic aérien. Nous l'avons rassuré. Le trafic est assuré normalement, pas de crainte pour le vol à destination de Doha. Pas plus que pour les autres. De nombreux voyageurs ignoraient qu'un incendie s'était déclaré à la tour de contrôle. Certains voyageurs ont eu des échos de l'incident. Mais, ils ont été vite rassurés par les médias sur le maintien des vols programmés pour la journée du mardi. C'est que la tour de contrôle de l'aéroport Houari-Boumediene a failli vivre une catastrophe, lundi soir. Heureusement, plus de peur que de mal. Un incendie, vite maîtrisé, s'est déclaré lundi soir à la tour de contrôle de l'aéroport international Houari-Boumediene. L'enceinte qui régularise le trafic aérien a échappé à un désastre qui aurait pu paralyser tout le trafic aérien. D'ailleurs, les responsables ont interrompu momentanément le trafic aérien, avant qu'il ne reprenne quelques heures plus tard. L'incendie a été déclenché par un court-circuit dans un climatiseur de la tour de contrôle, gérée par l'Entreprise nationale de navigation aérienne (ENNA). L'incendie a été maîtrisé grâce à l'intervention de moyens de lutte de l'aéroport. Une tour mobile a été installée pour assurer la continuité du trafic. Le ministre des transports, Amar Tou, qui s'est déplacé sur les lieux pour s'enquérir de la situation, a indiqué que le sinistre avait pour origine un court circuit qui s'est déclaré dans un climatiseur dans un niveau inférieur de la tour. Aussitôt, les responsable ont arrêté le fonctionnement de la tour, et interrompu le trafic aérien en attendant l'inspection des installations de la tour, a-t-il précisé. Plusieurs vols ont été déroutés vers l'aéroport d'Oran. Les vols de et vers l'aéroport international d'Alger ont repris vers 22h15 lundi 29 juillet. "L'incendie a provoqué quelques dégâts matériels, mais les techniciens ont réussi à rétablir le fonctionnement de la tour de contrôle pour permettre la reprise des vols", explique notre source. La direction de l'aéroport avait décidé de suspendre les vols vers 18h30, après un incendie dans la tour de contrôle. "Les vols vers l'aéroport Houari-Boumedienne ont été déroutés vers d'autres aéroports du pays", avait indiqué à TSA une source à la direction générale de l'aéroport d'Alger.