Au FLN on ne parle que de réconciliation. La nouvelle direction, incarnée par le tout nouveau secrétaire général du parti, Amar Saïdani, veut faire de la réconciliation un objectif majeur afin de mettre un terme définitif à la crise interne qui a failli faire imploser le vieux parti. Au FLN on ne parle que de réconciliation. La nouvelle direction, incarnée par le tout nouveau secrétaire général du parti, Amar Saïdani, veut faire de la réconciliation un objectif majeur afin de mettre un terme définitif à la crise interne qui a failli faire imploser le vieux parti. Amar Saïdani prend ainsi, une vingtaine de jours après son élection à la tête du parti, son bâton de pèlerin pour aller à la rencontre des cadres et des militants. La première étape de cette tournée au cours de laquelle il présidera la réunion de quatre conférences régionales, a été Oran. C‘est en effet à partir de la capitale de l‘ouest du pays que Amar Saïdani, qui s‘adressait aux cadres de pas moins de 12 wilayas de cette région, a lancé un appel à la réconciliation et au resserrement des rangs du parti et ce, dira-t-il dit, pour « surmonter la crise interne ». « J‘invite les militants et cadres du parti à dépasser la crise interne par la mobilisation des compétences et par l‘ouverture du parti au plus grand nombre de citoyens quelles que soient leurs sensibilités ». C‘est le premier discours de Saïdani devant les militants. Un discours fort attendu d‘ailleurs qui intervient donc dans une conjoncture politique particulière au plan interne, comme cela a été clairement déclaré devant les militants. Saïdani ambitionne de tourner la page des dissensions et des querelles, ce qui est loin d‘être une simple sinécure. Le FLN a traversé des zones de fortes turbulences depuis le retrait de confiance par le comité central à l‘ex-secrétaire général Abdelaziz Belkhadem, le 31 janvier dernier. Depuis ce jour et jusqu‘au 28 août, date de l‘élection de son successeur, Amar Saïdani, le FLN était plongé dans un crise sans précédent. Une crise qui risque de laisser des séquelles, ce d‘autant que l‘élection de Saïdani a été fortement contestée par une partie des membres du comité central. La session de ce dernier a été en effet contestée et les contestataires ont même saisi la justice à ce propos. L‘affaire est d‘ailleurs toujours pendante au niveau du Conseil d‘Etat, mais Saïdani et ses partisans se montrent confiants. Et d‘ailleurs il semble que son appel commence a trouvé un écho favorable, même chez ceux qui étaient contre son élection à la tête du secrétariat général du parti. En somme, la page est en train d‘être tournée et le FLN a désormais les yeux rivés vers les prochaines échéances politiques, à savoir la révision de la Constitution et l‘élection présidentielle. « Le FLN doit jouer un rôle actif dans la prochaine échéance politique » a déclaré à partir d‘Oran Amar Saïdani ajoutant que « le parti doit être la locomotive qui tirera d‘autres formations politiques partageant les mêmes idées pour soutenir le programme du président de la République ». Le secrétaire général du FLN fait ainsi cas de l‘élection présidentielle de 2014 et du soutien indéfectible que doit porter le parti au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à qui on prête l‘intention de briguer un quatrième mandat. Le FLN sera d‘ailleurs le fer de lance de cette campagne d‘où, sans doute aucun, le début, sous sa coupe, de la relance d‘une nouvelle alliance présidentielle. Pour l‘heure c‘est uniquement avec le TAJ que le vieux parti a pris langue, mais tout porte à croire que le RND et le MPA de Amara Benyounes ne vont pas tarder à rejoindre ce nouveau groupe politique. Amar Saïdani prend ainsi, une vingtaine de jours après son élection à la tête du parti, son bâton de pèlerin pour aller à la rencontre des cadres et des militants. La première étape de cette tournée au cours de laquelle il présidera la réunion de quatre conférences régionales, a été Oran. C‘est en effet à partir de la capitale de l‘ouest du pays que Amar Saïdani, qui s‘adressait aux cadres de pas moins de 12 wilayas de cette région, a lancé un appel à la réconciliation et au resserrement des rangs du parti et ce, dira-t-il dit, pour « surmonter la crise interne ». « J‘invite les militants et cadres du parti à dépasser la crise interne par la mobilisation des compétences et par l‘ouverture du parti au plus grand nombre de citoyens quelles que soient leurs sensibilités ». C‘est le premier discours de Saïdani devant les militants. Un discours fort attendu d‘ailleurs qui intervient donc dans une conjoncture politique particulière au plan interne, comme cela a été clairement déclaré devant les militants. Saïdani ambitionne de tourner la page des dissensions et des querelles, ce qui est loin d‘être une simple sinécure. Le FLN a traversé des zones de fortes turbulences depuis le retrait de confiance par le comité central à l‘ex-secrétaire général Abdelaziz Belkhadem, le 31 janvier dernier. Depuis ce jour et jusqu‘au 28 août, date de l‘élection de son successeur, Amar Saïdani, le FLN était plongé dans un crise sans précédent. Une crise qui risque de laisser des séquelles, ce d‘autant que l‘élection de Saïdani a été fortement contestée par une partie des membres du comité central. La session de ce dernier a été en effet contestée et les contestataires ont même saisi la justice à ce propos. L‘affaire est d‘ailleurs toujours pendante au niveau du Conseil d‘Etat, mais Saïdani et ses partisans se montrent confiants. Et d‘ailleurs il semble que son appel commence a trouvé un écho favorable, même chez ceux qui étaient contre son élection à la tête du secrétariat général du parti. En somme, la page est en train d‘être tournée et le FLN a désormais les yeux rivés vers les prochaines échéances politiques, à savoir la révision de la Constitution et l‘élection présidentielle. « Le FLN doit jouer un rôle actif dans la prochaine échéance politique » a déclaré à partir d‘Oran Amar Saïdani ajoutant que « le parti doit être la locomotive qui tirera d‘autres formations politiques partageant les mêmes idées pour soutenir le programme du président de la République ». Le secrétaire général du FLN fait ainsi cas de l‘élection présidentielle de 2014 et du soutien indéfectible que doit porter le parti au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à qui on prête l‘intention de briguer un quatrième mandat. Le FLN sera d‘ailleurs le fer de lance de cette campagne d‘où, sans doute aucun, le début, sous sa coupe, de la relance d‘une nouvelle alliance présidentielle. Pour l‘heure c‘est uniquement avec le TAJ que le vieux parti a pris langue, mais tout porte à croire que le RND et le MPA de Amara Benyounes ne vont pas tarder à rejoindre ce nouveau groupe politique.